Naitre Et Mourir Au Xviième Siècle

poétique (aidée par un ami de PREPA) | Sommaire Préface : 3 La pléiade : 4 Les regrets 5 Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle 6 Le baroque : 7 Liberté douce et gracieuse 8 Mais si faut-il mourir 9 Le classicisme : 10 Epitaphe 11 Le siècle le plus anti-poétique : 12 La jeune Tarentine 13 Le romantisme : 14 L’enfant 15 Recueillement 16 Le parnasse : 17 La mort d'un lion 18 A une ville morte 19 Le symbolisme : 20 Mémoire IV 21 Apparition 22

d’Isabelle afin de surmonter l’épreuve de la mort et s’en trouve transfiguré : « Je meurs trop glorieux, puisque je meurs pour vous ! ». Pendant un instant, il semble retomber dans la peur de la mort et dans le désespoir ("la peur de la mort me fait déjà mourir"). Au cours d’une longue hypotypose ("Je vois le lieu fatal où ma mort se prépare"), il vit en imagination son supplice. Mais c’est encore l’image d’Isabelle qui vient effacer cette macabre vision. L’amour lui permet donc de dépasser la pensée et

désagréable, de se sentir naître et mourir à la fois. MERCURE : Ce ne l’est pas moins, par opération séparée. JUPITER : As-tu maintenant l’impression d’être devant un homme ? MERCURE : Pas encore. Ce que je constate surtout, devant un homme, devant un corps vivant d’homme, c’est qu’il change à chaque seconde, qu’incessamment il vieillit. Jusque dans ses yeux, je vois la lumière vieillir. JUPITER : Essayons. Et pour m’y habituer, je me répète : je vais mourir, je vais mourir… MERCURE : Oh ! Oh ! Un

octosyllabes et alexandrins de 12 syllabes (que ne coïncident pas avec les alexandrins espagnols, qui ont 14 syllabes). - Genre : il est difficile de définir le genre par des critères formels parce qu’il y a eu beaucoup de transformations au long des siècles à cause de la transmission orale manuscrit version en prose (remaniements, modifications). Orale Certains érudits de la chanson de geste, par exemple Bédier, ont montré le décalage qu’il y a entre le monde carolingien et le monde capétien. Il

mais elle a beaucoup évoluée avec les époques; elle a connu de multiples mouvements et courants littéraires comme le baroque, la préciosité ou le symbolisme. Cette anthologie comprend 30 poèmes, classés par siècles, tous biens différents. J’ai choisi trois poèmes dans le XVème siècle, le siècle de la Renaissance. Tout d’abord, j’ai choisi celui de Charles d’Orléans, En la forêt d’Ennuyeuse Tristesse, il confronte l’amour et la nature et m’a inspiré de la tendresse et de la pitié. De plus, du même

compassion en employant des phrases interrogatives ou exclamatives. Tragique : exprime le sentiment de l’homme qui prend conscience de forces qui le dépassent (divines, politiques…). C’est une situation est sans issue telle qu’un homme condamné à mourir. Il utilise le lexique de la fatalité, du désespoir… Lyrique : chant que le poète accompagne de sa lyre. Ce registre est celui de l’expression des sentiments personnels du poète. Il utilise la 1ère personne. Épique : célèbre les exploits d’un héros

Charlemagne 843 : Dislocation de l’empire carolingien par le partage de Verdun. Réunion des petits fils de Charlemagne pour se partager l’empire carolingien. L’Europe occidentale va prendre la figure qu’on lui connait aujourd’hui (Etats nationaux formés au XVIIème s et qu’on connait aujourd’hui) 3 branches : Capétiens directs (987-1328) - Valois (1328-1589) - Bourbons (1589-1789) Les capétiens direct vont bénéficier du miracle capétien. Ces rois ont eut pour leur succéder des fils de 987 à 1328 où commence

comédie nommée : ”Mélite”. Il écrivit ensuite d’autres œuvres tels que des tragédies, (Cinna, 1641) ou (Le Cid, 1637) qui connurent alors, un véritable succès. Le contexte socio-historique, spatio-temporel : En France, le XVIIe siècle est appelé : le “Grand Siècle”, il s’y passe de nombreux conflits religieux. C’est durant cette période, que notre pays connût une grande évolution dans la politique et dans les arts. Henri IV de Bourbon arriva sur le trône de 1589 jusqu’en 1610. Protestant

l’enfant, on est beaucoup plus dans le pathétique. Les poèmes de l’enfance sont souvent accompagnés d’une morale. On voit apparaitre des points communs ainsi que des divergences entre les poèmes. On va voir l’évolution du thème de l’enfance au cours des siècles. Les poèmes de Bouchet et de La Fontaine font passer une morale assez explicite. Ce qui montre que l’enfance est portée sur l’éducation, les enfants sont des futurs citoyens donc il faut bien les éduquer. Dans certain poème on voit apparaitre un

Aristote. Notons que le premier sens donné au substantif tragédie en français est « conversation, discours sur des sujets déplorables ». Il se modifie ensuite dés le XVIème siècle pour retrouver le sens donné à la tragédie dans l’Antiquité, c’est-à-dire une pièce de théâtre à caractère sacrée, puis évolue encore au XVIIème siècle où la tragédie devient celle qui nous est la plus familière, elle désigne en effet un « genre dramatique noble et comportant des éléments tristes et sanglants, déplorables