Naissance De Narcisse

un prince idéal après avoir été identifié comme Tiran. On voit un monstre se transformer en prince accomplit. Mauvaise conscience qu’il a chaque fois qu’il se rappel sur quoi il a construit son règne. Alors que Britannicus = on assiste sur la naissance d’un monstre, qui apparait d’abord la promesse d’un prince parfait. Réflexion sur Burrhus = son rôle dans la pièce par rapport à Néron = son mentor, il lui apprend à gouverner, c’est son maître politique, c’est le conseillé du prince. Motivation

« ici ». Rome désigne tantôt la ville, maîtresse du monde, tantôt le peuple romain mais est toujours synonyme de puissance et de grandeur ; c’est la référence par excellence « Rome, c’est la réduction de l’histoire universelle, puisqu’on en saisit la naissance, l’apogée, la décadence et la chute, déroulées sur un millénaire » (Georges Forestier) et elle est l’enjeu de la lutte qui s’engage. Temps : Temps absolu : « au temps des consuls » 28 (époque de la République), Auguste, Caïus 30 et 40 : règnes des

rompre le silence », « dont le peuple est muet » - références méthodologiques qui font qu’on ne peut qu’imaginer en y ayant recours -> Daphné et Apollon -> Narcisse (il est tombé dans l‘eau à force de regarder son reflet car il se trouvait beau d‘où l‘expression « Narcissisme ») : « je vois renouveler aux arbres l’histoire de Narcisse » (l.3) - l’eau omniprésente dans le texte est le symbole du reflet « miroir fluide ». C’est la métaphore du baroque. Elle amène à percevoir l’illusion : CL d’illusion

belle image que vous avez de vous-même, sans jamais vous intéresser à eux. Nous faisons preuve dans ce cas de narcissisme. Le narcissisme, c'est l'amour de soi. Ce nom vient de Narcisse qui, voyant son propre reflet dans l'eau, tombe amoureux de lui-même et ne peut se résoudre à s'éloigner. Il est changé en fleur, le narcisse, une fleur qui s'incline au-dessus de l'eau, comme pour s'y regarder. Être narcissique, c'est donc s'aimer, s'adorer un peu trop, parfois jusqu'à devenir aveugle au reste du

inaugure une quête d’adéquation, de fusion avec l’objet vu au miroir. Dans la contemplation au miroir, s’exacerbe le désir d’une unité réalisée, avec l’être désiré ou de l’homme avec Dieu, dans la béatitude d’une vision directe et sans médiation. Narcisse rêve ainsi d’embrasser son reflet, le héros de cueillir la rose et le pèlerin du Pèlerinage de Vie humaine de gagner la Jérusalem céleste. Quête de la dame ou de Dieu 8 : le miroir 6 Évrard de Conty, op. cit., p. 702-703. 7 Pluriel, Hachette

Bachelard, L’Eau et les rêves, Essai sur l’imaginaire de la matière, Paris, José Corti, 1993. Madeleine Barthelemy-Madaule, L'Idéologie du hasard et de la nécessité, Paris, Seuil, 1972. Pierre Barucco, « Les miroirs brisés - Paradoxes sur le mythe de Narcisse », in : Annales de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de Nice, n°23, 1975. François Bédarida, La Société anglaise du milieu du XIXe siècle à nos jours, Paris, Seuil, 1990. Ronald M. Benson, David B. Pryor, "Quand les amis se volatilisent

accourus. Tous trois, animés de sentiments divers, entourèrent leur pasteur d’une garde noble pour recevoir avec tous les honneurs dus à son rang la nouvelle arrivée. Le curé attendait avec une émotion mal contenue. – Une criature ! s’était écrié Narcisse, l’homme engagé. Et il s’élança en avant. Un moment, il tint entre ciel et terre la criature, qu’il déposa précieusement sur le sol comme une fleur dont il faut prendre garde de ne pas briser la tige. Leurs regards se croisèrent. De cet instant naquit

chose de surnaturel, son corps est-il fait de chair divine ? » 14. La femelle de l’homme-scorpion dit de Gilgamesh qu’« en lui, deux tiers sont divins, un tiers humain », ce qui justifie son ambivalence. Cette double nature s’explique par sa naissance. En effet, Gilgamesh est le fils d’un mortel, Lugalbanda, roi d’Uruk, et d’une déesse, Ninsuna la Bufflesse. On retrouvera avec Héraklès (Hercule, en latin) cette origine semi-divine et cette force peu commune du héros. u Le thème de l ’

: émotion, pensée, affect, conflit, fantasme) : donc somat - faillite des systèmes de refoulement (plutôt déversement de l'excitation pulsio du côté somat : l'angoisse ne peut se métaboliser) - Ils ont des relations d'objet délibidinalisés (éco narciss : autre : pas ou très peu d'intérêt) Colloque : maladie et création : Maladie : rupture dans la vie et dans le fonctionnement psychique : crise existentielle majeure puis gestion de la crise et réorganisation. névrose actuelle : s'explique

l’amour que porte le sujet à lui-même (terme phychanalytique). C’est la base de la confiance en soi, et un excès d’attention ou d’importance porté à l’image de soi. D’où vient le narcissisme ? D’après la mythologie grecque, un jeune homme nommé Narcisse, exceptionnellement beau et tellement fier de lui-même, aurait repoussé de nombreuses prétendantes. Après avoir éconduits certaines de ses admiratrices, il ne se crut pas digne d’amour ou d’être aimé un jour. Il alla s’abreuver à une source et tomba