Métaphores Giono Regain

| |L’évocation du monde sensible – Célébrer le monde (STG – avril 2008) |Questions : 1) Relevez dans chaque texte du corpus une comparaison ou une métaphore, et montrez ce que ce recours à l’image apporte à | |- Hugo, « L’araignée et l’ortie », Les Contemplations, III |l’évocation du monde sensible.

moment que le romanticisme arrive à la France, il se termine à l’Europe (France : 1820-1850). Romanticisme 1820-1830 : le romanticisme s’impose NATURE → paysages tourmentés… ACTIONS → guerre, révolte… PASSION AMOUREUSE → métaphore de la guerre, désespoir… tous les sentiments de l’homme romantique. La révolution française provoque uniquement un changement politique. Dans la mentalité tout était pareil et les romantiques la veulent changer. La sensibilité devient plus

parution. Dans un courrier de lecteurs, un admirateur d’une telle esthétique du laid défend l’idée qu’il n’existe pas d’objet poétique privilégié. Vous rédigerez cette lettre. Questions : 1) Relevez dans chaque texte du corpus une comparaison ou une métaphore, et montrez ce que ce recours à l’image apporte à l’évocation du monde sensible. 2) Quel rôle Hugo et Ponge accordent-ils au poète dans les deux textes proposés ? Commentaire : Heredia, « Midi », Les Trophées Dissertation : Le rôle principal du poète

parution. Dans un courrier de lecteurs, un admirateur d’une telle esthétique du laid défend l’idée qu’il n’existe pas d’objet poétique privilégié. Vous rédigerez cette lettre. Questions : 1) Relevez dans chaque texte du corpus une comparaison ou une métaphore, et montrez ce que ce recours à l’image apporte à l’évocation du monde sensible. 2) Quel rôle Hugo et Ponge accordent-ils au poète dans les deux textes proposés ? Commentaire : Heredia, « Midi », Les Trophées Dissertation : Le rôle principal du poète

ses qualités ou de ses parties (nombreux adjectifs). On peut aussi le situer dans le temps, dans l’espace ou en fonction d’autres éléments. Pour faire cette mise en relation, on peut avoir recours à des procédés tels que les comparaisons et les métaphores. Il vise à caractériser (définir les caractéristiques) d'un objet, d'un lieu ou d'une personne. Souvent, on le reconnaît par ces indices : - l'emploi de l'imparfait (s'il décrit au passé), ou du présent de narration. Exemple, poésie descriptive :

1923), la condition féminine avec Colette et la série des Claudine ou La Chatte (1933), la nature et le régionalisme avec Louis Pergaud (La guerre des boutons, 1912), Charles-Ferdinand Ramuz (La grande peur dans la montagne, 1926), Jean Giono (Colline, 1928 - Regain, 1930), Henri Bosco (L'Âne Culotte, 1937) ou l’interrogation morale et métaphysique avec Georges Bernanos(Sous le soleil de Satan, 1926) ou François Mauriac (Thérèse Desqueyroux, 1927)). Le roman d'approfondissement psychologique initié

"structuralistes" ne rapportent pas le texte à la conscience de l'auteur, ni d'ailleurs à son inscription socio-historique, mais prétendent l'appréhender dans son "immanence". Là où le romantisme pensait la totalité à travers des métaphores organiques, ce sont surtout les métaphores mécaniques ou géométriques qui passent au premier plan : "fonctionnement", "isomorphismes", "réseau", "clôture", "niveaux"...Ce type d'approche de l'œuvre littéraire est souvent solidaire d'une conception "conventionnaliste"

Le personnage dont l’apparence est définie de façon floue n’enferme pas l’imaginaire mais libère celui-ci. Franz Kafka choisit de réduire son personnage à une seule et simple initiale : « K ». L’énigme du nom rejoint celle de l’existence. Jean Giono dans Le Hussard sur le toit choisit de donner très peu de détails physiques sur le personnage féminin, Pauline de Théus, qui acquiert ainsi une aura et un charme mystérieux. À peine le lecteur sait-il la couleur de ses cheveux. Le seul portrait

Le personnage dont l’apparence est définie de façon floue n’enferme pas l’imaginaire mais libère celui-ci. Franz Kafka choisit de réduire son personnage à une seule et simple initiale : « K ». L’énigme du nom rejoint celle de l’existence. Jean Giono dans Le Hussard sur le toit choisit de donner très peu de détails physiques sur le personnage féminin, Pauline de Théus, qui acquiert ainsi une aura et un charme mystérieux. À peine le lecteur sait-il la couleur de ses cheveux. Le seul portrait

1923), la condition féminine avec Colette et la série des Claudine ou La Chatte (1933), la nature et le régionalisme avec Louis Pergaud (La guerre des boutons, 1912), Charles-Ferdinand Ramuz (La grande peur dans la montagne, 1926), Jean Giono (Colline, 1928 - Regain, 1930), Henri Bosco (L'Âne Culotte, 1937) ou l’interrogation morale et métaphysique avec Georges Bernanos (Sous le soleil de Satan, 1926) ou François Mauriac (Thérèse Desqueyroux, 1927)). Le roman au 20ème Le roman d'approfondissement