Mémoire Les Mères Adolescentes

d’acteurs et représentations : un objet d’étude spatio-temporel Présenté par : Alexandre Geffroy Sous la direction de : Emmanuel Eliot Session de septembre 2013 Remerciements Je tiens, en premier lieu, à remercier mon directeur de mémoire, Emmanuel Eliot, pour m’avoir accompagné tout au long de ce premier travail de recherche. Ses conseils ont guidé mes réflexions, à la fois dans l’orientation de mes lectures et dans leurs inscriptions méthodologiques, me permettant de toujours

l’intérêt littéraire (page 17)· l’intérêt documentaire (page 24)· l’intérêt psychologique (page 31)- l’intérêt philosophique (page 35)- la destinée de l’œuvre (page 38).Bonne lecture !RésuméChapitre I Le narrateur est Éliezer, un jeune adolescent juif, studieux et profondément pieux, dont la famille (son père, Chlomo, sa mère, ses sœurs, Hilda, Béa et Tsipora) appartenait à la communauté juive de la ville de Sighet, en Transylvanie, région de Roumanie, où elle vivait sans inquiétude. Il

Violâtres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne Les enfants de l'école viennent avec fracas Vêtus de hoquetons et jouant de l'harmonica Ils cueillent les colchiques qui sont comme des mères Filles de leurs filles et sont couleur de tes paupières Qui battent comme les fleurs battent au vent dément Le gardien du troupeau chante tout doucement Tandis que lentes et meuglant les vaches abandonnent Pour toujours

peut-être de ressentiment. A vingt Lire 13 ans, sans expérience ni conseils, ma mère se déchirait entre deux moribonds inconnus; son mariage de raison trouvait sa vérité dans la maladie et le deuil. Moi, je profitais de la situation: à l'époque, les mères nourrissaient elles-mêmes et longtemps; sans la chance de cette double agonie, j'eusse été exposé aux difficultés d'un sevrage tardif. Malade, sevré par la force à neuf mois, la fièvre et l'abrutissement m'empêchèrent de sentir le dernier coup de ciseaux

Violâtres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne Les enfants de l'école viennent avec fracas Vêtus de hoquetons et jouant de l'harmonica Ils cueillent les colchiques qui sont comme des mères Filles de leurs filles et sont couleur de tes paupières Qui battent comme les fleurs battent au vent dément Le gardien du troupeau chante tout doucement Tandis que lentes et meuglant les vaches abandonnent Pour toujours ce

Violâtres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne Les enfants de l'école viennent avec fracas Vêtus de hoquetons et jouant de l'harmonica Ils cueillent les colchiques qui sont comme des mères Filles de leurs filles et sont couleur de tes paupières Qui battent comme les fleurs battent au vent dément Le gardien du troupeau chante tout doucement Tandis que lentes et meuglant les vaches abandonnent Pour toujours

Ressente en rougissant de puissants paradis ; Cimes qu'un feu féconde à peine intimidées, Bois qui bourdonnerez de bêtes et d'idées, D'hymnes d'hommes comblés des dons du juste éther, Îles ! dans la rumeur des ceintures de mer, Mères vierges toujours, même portant ces marques, Vous m'êtes à genoux de merveilleuses Parques : Rien n'égale dans l'air les fleurs que vous placez, 360 Mais dans la profondeur, que vos pieds sont glacés ! De l’âme les apprêts sous la tempe

l’anormalité, l’enfant est par voir de conséquence perçu comme étant handicapé jusqu’au bout. Ainsi il est fréquent que les personnes en situation de handicap mettent tout en œuvre pour en quelque sorte, prouver leur normalité : exploit sportif ; adolescent en situation de handicap qui refuse la réalité de leur déficience afin de pouvoir s’intégrer au groupe de pairs. Et pourtant le jeune déficient est toujours normal Tout enfant, qu’il soit ou non en situation de handicap est toujours normal

questions relatives à la parentalité. En effet, il s’agissait là d’un aspect essentiel dans l’accompagnement quotidien des femmes accueillies. Je me suis interrogé sur la place que je pouvais prendre afin de conseiller ou de répondre aux besoins de ces mères. C’est précisément pour continuer la réflexion entamée lors de ce stage que j’ai souhaité effectuer mon dernier stage au sein d’un service d’Assistance Educative en Milieu Ouvert (AEMO). Ce dispositif relevant de la protection de l’enfance a pour

que près de 50 000 décès maternels survenus en 2008 étaient liés au VIH. Il faut que les deux types de programmes – santé maternelle et infantile et lutte contre le VIH – donnent lieu à une synergie en vue d’atteindre leur but commun : sauver des mères et des bébés. Nous devons relier nos progrès en matière de sida aux autres objectifs du Millénaire pour le développement et suivre une stratégie ambitieuse qui nous conduira vers 2015 et au-delà. Dans ce numéro Dans ce premier numéro, le rapport