Médee Euripide

et Phrynichos[2]. Représentation théâtrale aux origines religieuses indéniables, la tragédie grecque nous est principalement connue à travers trois grands auteurs aux vies successives et rapprochées : Eschyle (né en 525), Sophocle (né en 495) et Euripide (né vers 485-480) et grâce aux trente-deux tragédies de ces auteurs qui nous sont parvenues[3]. L'âge d'or de la tragédie grecque s'achève dès la fin du Ve siècle av. J.-C. : aucune pièce complète n'a été conservée après 404[4], et le programme des

- Antigone, Œdipe Roi, Œdipe à Colone par Sophocle - Les Troyennes, Hécube par Euripide 2. La comédie : - Lysistrata, Les Cavaliers par Aristophane Le théâtre romain : 1. La tragédie : - Sénèque est un philosophe a composé des tragédies inspirées de Sophocle et Euripide : Médée, Phèdre, Troades (adaptation des Troyennes d'Euripide) 2. La comédie : - Pseudolus de Plaute -

chœur quitte alors le théâtre. La littérature grecque[->4] a trois grands auteurs de tragédie[->5] : Eschyle[->6], Sophocle[->7] et Euripide[->8]. Le théâtre romain[->9] ne semble pas avoir assez apprécié la tragédie pour que se développe une littérature tragique importante. Sénèque[->10], cependant, a adapté en latin[->11] des tragédies grecques comme Phèdre[->12] ou Médée[->13]. A la renaissance. La tragédie humaniste est un genre théâtral du Théâtre de la Renaissance. Elle consiste en une déploration

complets au contraire des jésuites qui s’attachaient au latin et qui formaient les caractères par des extraits soigneusement choisis). Il dévore les tragédies d’Euripide (poète tragique grec né à Salamine en 480 acn et mort à pella en 406, auteur de Médée, Hyppolyte, Andromaque, Iphigénie en Tauride et Hélène, où les analyses psychologiques sont importantes). Venu à Paris pour terminer ses études, il fréquente de plus joyeuses sociétés et malgré les reproches de ses anciens maîtres qui voudraient faire

peuple. Il présente le contexte et résume la situation pour aider le public à comprendre l’œuvre. 4. Le théâtre avait pour but de rassembler toute la cité. Tout le monde se rendait au théâtre. Le théâtre avait une composante religieuse. 5. Tragédie : Euripide, Sophocle, Eschyle/ Comédie : Aristophane Moyen Âge et Renaissance 1. Les drames liturgiques étaient représentés à l’intérieur des églises. 2. Les prêtres organisaient des Mystères lors des célébrations en honneur du Christ qui mettait en scène

Acte V, scène 7, vers 1622-1644 Introduction: C’est en 1677 que Racine fait représenter Phèdre, pièce inspirée de deux tragédies antiques : Hippolyte, de l’auteur grec Euripide, et Phèdre, de l’auteur latin Sénèque. Racine place au centre de l’intrigue une héroïne déchirée entre sa passion violente pour son beau-fils, et sa conscience qui juge sévèrement cet amour interdit. Situation du texte : (cf. textes précédents) À la fin de l’acte III, le retour de Thésée a accéléré l’action. Le roi a cru

ceux des jésuites, enseignait le latin à leurs élèves. Il reçoit une solide éducation littéraire marquée par le jansénisme. Racine en garda une solide culture classique, et une bonne connaissance des tragiques grecs (Eschyle, Sophocle, et surtout Euripide), qui furent pour son théâtre des modèles et des sources d'inspiration. Après avoir vainement tenté d'entrer dans la carrière ecclésiastique il vint s'établir à Paris. Il écrit une Ode sur la convalescence du roi (1663) afin de s'attirer les faveurs

Le théâtre prend naissance au Vème siècle avant Jésus Christ. Des auteurs antiques comme Aristophane, Euripide, ont contribué au développement de ce tout nouveau genre. Dès lors, le théâtre subit de profondes évolutions. Au moyen Age il quitte la scène théâtral pour être représenté sur le parvis des Eglises. A cette époque, sa fonction est purement religieuse, il est destiné à communiquer au peuple les idées théologiques du pays. Les dramaturges classiques du XVII siècle imposent au théâtre des règles

spectateur. a) Le travestissement du comédien au profit d’une identification nécessaire -Entretiens sur le Fils naturel Diderot b) Mais un bouleversement nécessaire du réel permettant au spectateur de se « voir » tel qu’il ne « l’oserais ». -Médée Euripide -Rhinocéros Ionesco La question du  « monstre » représenté c) La scène, un miroir déformant. Préface de Cromwell Hugo : « Le drame est un miroir où se réfléchit la nature. Mais si ce miroir est un miroir ordinaire, une surface pleine et

Acte V, scène 7, vers 1622-1644 C’est en 1677 que Racine fait représenter Phèdre, pièce inspirée de deux tragédies antiques : Hippolyte, de l’auteur grec Euripide, et Phèdre, de l’auteur latin Sénèque. Racine place au centre de l’intrigue une héroïne déchirée entre sa passion violente pour son beau-fils, et sa conscience qui juge sévèrement cet amour interdit. Situation du texte : (cf. textes précédents) À la fin de l’acte III, le retour de Thésée a accéléré l’action. Le roi a cru la calomnie