Mythes Chez Nerval

PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES DU FANTASTIQUE Nous pouvons dire que nous avons affaire à une oeuvre fantastique quand sont présentes : l’apparition du surnaturel dans notre monde (autrement dit la thématique du désordre1 ), l’intention de l’auteur de créer chez le lecteur/spectateur un sentiment de malaise ou de peur face à ce "désordre", repérable à des procédés techniques récurrents. Il faut ajouter que la littérature fantastique se place d’emblée sur le plan de la fiction pure. Sont donc exclus tous

grands procès de Moscou, les agissements de l’Internationale communiste au sein du camp républicain espagnol, les cinq années qui précèdent la Seconde Guerre mondiale sont celles d’une première vague antistalinienne dont les conséquences ont pu être chez certains une attitude d’abstention face au danger hitlérien. […] La leçon du réalisme ne fut pas perdue. Doit-on dire qu’elle fut trop bien comprise ou mal interprétée ? Toujours est-il que la phase suivante de notre histoire intellectuelle – la guerre

œuvres. Exemples : Zola & Proust. Chez Zola, prépondérance unilatérale de l’OBJET. Roman essentiellement de l’objet dans sa nudité, matérialité, irréductibilité. Même les êtres humains deviennent des machines (Gervaise trépasse dans un placard comme un camembert !) Romanesque de l’intériorité, dans Proust. La pure extériorité ‘chosique’ de Zola, et de l’autre côté pure intériorité nombriliste de Proust. Proust pas de rapports sociaux ou échanges humaines. Non plus chez Zola : choses. Décadences ? Objets

Bibliographie : — Walt Whitman, Leaves of Grass (Feuilles d’herbe). — Rainer Maria Rilke, Duineser Elegien (Elégies de Duino). — Aragon, Elégie à Pablo Neruda. — Gérard Genette, Introduction à l’architexte. — J.L. Joubert, La Poésie : mythes et symboles. INTRODUCTION L’éloge et l’élégie sont deux genres très liés ; l’élégie fait presque toujours l’éloge de quelqu’un — que ce soit un homme, un animal (il y a des élégies adressées à des chiens, à des chevaux...) ou une entité abstraite

très épaisses (cothurnes). Les places des spectateurs variaient en fonction de leur importance. Les places privilégiées étaient pour les religieux. Les plus hautes pour les pauvres. Seuls les hommes y assistaient. La religion était très importante chez les Grecs. En effet, les pièces de théâtres étaient religieuses, les personnages principaux étaient des Dieux. Pour leur nécessité, les Grecs ont construit des théâtres dédiés aux Dieux ou aux Déesses, comme Mélpomène (la déesse de la tragédie), mais

préférences : la théorie et la méthodologie littéraires avec l'accent sur le structuralisme et la sémiologie à l'U. de Montréal; les théories sociales et la pratique littéraire à McGill; la théorie et la méthodologie littéraires avec la critique des mythes, l'herméneutique, la phénoménologie et le structuralisme à l'U. de Toronto; le pluralisme méthodologique, la théorie de la traduction et l'histoire de la littérature à l'U. de l'Alberta, enfin la littérature canadienne comparée à l'U. de Sherbrooke

pour celui-ci, une pension de Louis XVIII. Chef d'un groupe de jeunes écrivains, il publie en 1827 sa première pièce de théâtre en vers, Cromwell, puis Orientales et Hernani. Il s'impose comme le porte-parole du romantisme aux côtés de Gérard de Nerval et de Gautier. En 1831, il publie son premier roman historique, Notre-Dame de Paris, et en 1838 son chef-d'œuvre romantique Ruy Blas. En 1841, il est élu à l'Académie française. En 1843, la mort de sa fille Léopoldine le déchire et le pousse à réviser

napoléonienne et dresse le portrait d’une génération en deuil qui exprime son désenchantement face aux évènements. La 3ème : 1830-1840 Ce sont les romantiques dits mineurs qui se réunissent autour de Théophile Gautier et de Gérard de Nerval : ils s’intéressent aux mythes anciens, au rêve et au fantastique. Le romantisme s’épuise progressivement au profit du réalisme Les contre-modèles : Il préconise la disparition de la séparation et de la hiérarchisation des genres littéraires, fondement du classicisme

parchemin. -Article troisième: Faitez des beaux rêves… Il a bobiné le parchemin et l’a donné à son aide de camp. -Allez m’emporter vos anciens oreillers pour recevoir les nouveaux! A ordonné le public. Les citoyens ont couru chez eux, ont pris leurs oreillers et les ont amenés à Voulimios. Les gardiens ont entassé les oreillers au milieu de la place et ils les ont déchirés, et mis en morceaux avec leurs javelots. Le vent qui soufflait a dispersé les plumes dans le ciel, comme

Les séparés * Alfred de Musset : progressiste. Son œuvre exprime un douloureux décalage entre une jeunesse bercée de récit historiques et qui ne voit qu’une vie bourgeoise terne. Tristesse Trois auteurs annoncent le modernisme : * Gérard de Nerval : œuvre où se trouvent des signes qui renvoient à différentes traditions mystiques. Les chimères. * Charles Baudelaire : attirance pour le morbide. 1e représentant du modernisme. * Comte de Lautréamont : exprime le rejet et la haine. Maldoror