Mythe Sur La Passion Amoureuse

traitant du même sujet : la passion coupable de Phèdre pour son beau-fils Hippolyte, passion destructrice qui la mènera à sa perte. Présentation du texte : - Situation de l'extrait dans la pièce : voilà plusieurs mois que Thésée est parti à l'aventure. Tous le croient mort. Phèdre, son épouse est dévorée depuis longtemps par sa passion pour Hippolyte, le fils de Thésée qui, lui, aime Aricie. Dans la cinquième scène de l'acte II, elle va s'abandonner et avouer sa passion coupable/monstrueuse

Le mythe de Don Juan I. Le mythe 1.1 Définition générale Citez l’un ou l’autre mythe qui vous vient spontanément à l’esprit : .......................................... ....................................................................................................................................................... Comment définir la notion de mythe ? Observez les points communs des mythes que vous venez de citer. .................................................

Le mythe de Don JuanLe mythe de Don JuanI. Le mythe1.1 Définition généraleCitez l’un ou l’autre mythe qui vous vient spontanément à l’esprit : .......................................... ....................................................................................................................................................... Comment définir la notion de mythe ? Observez les points communs des mythes que vous venez de citer. .............................................................

la gravité (type argumentatif) ou encore d'installer l'émerveillement dans la page (texte descriptif). La démarche générale de la séquence consiste à montrer le mythe, de son expression tragique à sa parodie, dans la diversité des styles et des approches. - Quel est le poids de la forme (genre, type de texte) dans l'expression du mythe ? Dans quels registres s'exprime-t-il ? Pourquoi passe-t-on de la tragédie à la parodie ? par quels moyens littéraires ? C- Un enjeu méthodologique et culturel

Continuations), compose des Hymnes savants (1555-1556) et divers Discours (1560-1563), ainsi qu’une épopée relatant l’origine du royaume de France, la Franciade (1572). On fait souvent de Ronsard le chantre de l’amour par excellence ; sa poésie amoureuse est certes dominée par une certaine forme d’épicurisme, allant de pair avec une méditation sur la fuite du temps et sur la mort. Mais il est aussi un auteur érudit et un polémiste de talent. Du Bellay, son rival et ami, brille surtout dans le ton

Flaubert démystifie un certain nombre de poncifs. La grande passion romantique qui emporte l’âme devient un mariage d’affaires où les sentiments sont sacrifiés à l’intérêt. Tout au long du roman, les questions d’argent empoisonnent les idylles successives d’Emma. Elle finira par se suicider. Belle du seigneur d'Albert Cohen : Solal et Ariane incarnent les amants éternels, jusqu'à ce que l'ennui et la médiocrité s'emparent d'eux et la passion est mise à mort. Si la vie n'est pas facile dans les grands

dans le monde de la bourgeoisie provinciale. Malgré sa timidité naturelle, il parvient peu à peu à séduire madame de Rênal, jeune femme assez belle, mais également d'une naïve timidité. La vie de Sorel chez les Rênal est donc marquée par sa vive passion pour madame de Rênal et par son ambition démesurée. Il rêve de devenir une sorte de nouveau Napoléon Bonaparte. Sa vie est donc dominée par l’hypocrisie. Au château de monsieur de Rênal, il doit cacher ses sentiments pour la maîtresse de maison, et

attente, offre désespérément sa vie, sa propre histoire, au héros fou qui n’attend le repos que dans les ténèbres. C’est donc un quintette, où l’amour se trompe toujours d’interlocuteur. Les héros sont jeunes, refusant de choisir entre la raison et la passion. Aucun espace pour la conciliation dans cette œuvre. Il y a aussi les trois accompagnants, Phœnix, revenu du monde aveugle, visionnaire et politique, tout comme Céphise qui saura protéger l’enfant ou Cléone subissant l’humiliation d’un destin imposé

Le mariage lebou La cérémonie du mariage (« céét ») chez les Lebou du Cap Vert est rythmée par 9 chants (« woyi céét ») : « Sevi Leen » chanté par les tantes lorsque tout le monde prépare le départ de la fiancée, « Yaya Ndiaye » évoque un mythe facteur de cohésion social dans le groupe, « Salaan » chanté par les amis de la fiancée au moment de son départ, « Taaqu Maam Ndime » fait éloge de la fiancée (ici Maam Ndime), « Gor Siin Bi » chanté en cours de route souligne la force morale et le

personnages secondaires tiennent au courant les héros de la pièce et les met à jour sur le déroulement de l’action, c’est donc un espace de transition 3 LA HORDE 1 Le héros tragique est enfermé, ne peut sortir sans mourir, captif et limité. À l’image du mythe d’Oedipe, la nature des hommes les pousse à vouloir tuer leurs pères pour épouser leurs mères mais une fois le père mort, les fils sont contraints de faire la paix pour ne pas s’entretuer = la « horde primitive » 2 Le Père, il est le grand dominant