Mythe Sur La Passion Amoureuse

1)Origine de Roméo et Juliette En 1597 est publié un drame de William Shakespeare, intitulé Roméo et Juliette. « D’une œuvre littéraire émouvante naît un mythe. On en fera des poèmes, on en tirera des ballets, on en peindra des tableaux, on en chantera des opéras. C’est plus qu’une histoire d’amour contrariée, c’est la force vivante de l’Amour qui s’y manifeste. Bien sûr, Roméo et Juliette meurent : nécessité de la tragédie, du mélodrame. Mais l’essentiel est qu’ils se soient aimés, malgré tout

Don Juan le tue. Pour finir, des moines s'emparent de l'affaire, assassinent Don Juan, font disparaître son corps et pour étouffer l'affaire, racontent qu'ils l'ont vu de faire foudroyé. Ce fait divers devient d'abord source d'inspiration,puis un mythe et pour finir un nom universel. Tirso de Molina, un dramaturge espagnol, est le premier à l'adapter en une pièce de théâtre puis, en 1665, c'est le fameux Molière, homme du 17 ème siècle qui va écrire une tragi-comédie présentant Don Juan. La pièce

offertes. Enfin, un violent amour trahi étant venu empoisonner ses plaisirs et désenchanter son existence, il se crut de nouveau appelé à l'état religieux et entra chez les bénédictins de Saint-Maur, où l'étude amortit, pendant quelque temps, ses passions, sans les détruire. Il eut des succès dans l'enseignement et dans la chaire, et fut associé aux immenses travaux de ses confrères à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés ; mais l'image du monde et des vains plaisirs qu'il avait goûtés se reproduisait

maitriser il faudrait, comme le dit Descartes, "un long exercice". Le personnage de Phédre pourrait illustrer cela. Celle ci est mariée et est heurese avec son mari, pourtant, elle est passionément amoureuse de son beau fils Hyppolite. Ces deux vers extraits de sa déclaration à Hyppolite mettent en avant le combat entre sa volonté et son désir; Elle se essaie de se battre contre son amour, contre ses propres désirs; 'J'aime. Mais ne crois pas qu'au moment

évoquent un dialogue entre deux amants « ma colombe ». La colombe était dans l’antiquité le symbole de l’amour. Elle était offerte en sacrifice aux déesses de l’amour, Astarté et Aphrodite. Or Jocaste et Tirésias ne sont pas censés avoir de relation amoureuse. Donc c’est encore ici une liberté de l’auteur dans la réécriture. Jocaste, elle, utilise « Zizi ». Ce dernier surnom tend vers le ridicule car c’est une abréviation du nom de Tirésias, qui n’est pas sans rappeler l’expression familière moderne pour

excellence ; il a le plus grand mépris pour Aphrodite et pour les femmes, et il I'exprime au besoin agressivement. Dans un prologue, Aphrodite vient annoncer qu'elle va se venger de cette offense, et le châtier. Elle fait de ce prétentieux I'objet de la passion criminelle de sa belle-mère, Phèdre, d'une calomnie puis d'une impulsive réaction de son père, Thésée, qui aboutit à son meurtre, avec I'aide du dieu Neptune. En effet, Aphrodite a aussi un compte à régler avec Phèdre, parce que le grand-père maternel

LE CONTEXTE Ce mouvement se développe dans le sillage de la Révolution de 1789 dont l'un des acquis a été la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. I - Le poids de la Révolution La Révolution de 1789 est un mythe pour les écrivains romantiques. Le mythe a apporté le nécessaire idéologique à leur mouvement, c'est à dire la notion d'individu essentiel. Le Romantisme revendique la singularité et l'originalité de chaque personne. Par ailleurs, la destinée de Napoléon Ier nourrit

dernier. Tous les personnages sont issus de Puygary : l'ensemble des émotions ressenties par le lecteur sont les émotions éprouvées par Mérimée.Premier niveau : rivalités intellectuelles avec M. Puygary face à la statue.Deuxième niveau : rivalités amoureuses avec Alphonse (première page : le mariage…) Il prévoit de visiter la région. « Je vais être un trouble-fête, me dis-je… » Il y a une succession de phrases courtes, le dialogue intérieur. Ils désirent troubler la fête. Ce n'est pas un trouble-fête

l’éloge d’une femme idéalisée à la manière pétrarquiste , mais célèbre les vertus de l’amour divin . Le miroir de l’amour divin se divise en trois livres non égaux . Le premier livre, lui, dont est extrait le poème étudié s’intitule « Les affections amoureuses du chrétien vraiment converti à son dieu » . Ce poème est le 53ème et ne porte pas de titre distinct. Il s’agit d’un hymne à l’amour divin , qui cela dit repose sur un fonctionnement particulier. En effet, ce sonnet se distingue en deux mouvements

3. Le nom et l’inceste * ne prononce pas le nom, sorte d’aveu atypique La culpabilité de l'aveu Et se décharge sur Oenone de la responsabilité de cet aveu : « C’est toi qui l’as nommé » (vers 264) pièces) ont pour thème principal la passion amoureuse, souvent assimilée à une maladie de l’âme ; celle-ci ne se manifeste nulle part aussi violemment que dans Phèdre : par des symptômes physiques tout d’abord : « Je ne me soutiens plus ; ma force m’abandonne », une sorte d’asthénie, d'épuisement