Mythe Sur La Passion Amoureuse

littérature courtoise B/ L’allégorie amoureuse III ) La Renaissance de l’amour A/ La renaissance de la poésie 1° Le poème d’amour 2° L’amour selon les poètes de la Pléiade B/ L’amour Baroque 1° L’amour précieux 2° L’amour entre libertinage et poésie C/ L’amour : sujet de base du théâtre classique 1° Une vision pessimiste de l’amour 2° Les mœurs amoureuses dans la comédie IV ) L’amour à l’ère

entendu comme le désir qu’éprouve autrui pour moi, dont on se souvient qu’il est le désirable par excellence, ce qui exacerbe, dramatise le désir et le rend incomparable à tout besoin. « L’amour est une promesse de bonheur », dit Stendhal. Selon le mythe d’Aristophane, dans Le Banquet, on s’en souvient, les hommes aspirent à un bonheur dont ils découvrent, lorsqu’ils le rencontrent enfin, qu’il correspond à ce qu’ils ont toujours désiré, sans avoir jamais pu le définir précisément jusque-là, à l’image

œuvres plus importantes aux yeux de Vian: les romans signés de son nom. En effet, seuls ces derniers, d'après lui, avaient une véritable valeur littéraire. Après l'échec de « l'Arrache-cœur », Boris Vian décide donc d'abandonner la littérature. Passionné de jazz, il joue de la trompette de poche (rebaptisée « trompinette ») au Tabou, célèbre club de Saint-Germain-des-Prés. Il est aussi directeur artistique chez Philips et chroniqueur de Jazz. Son œuvre connut un immense succès public posthume dans

|-Religion |Fragilité, doute, mort, rêve, |Mort, Passion, Religion, Pouvoir, |Tolérance, Liberté, altérité, libertinage, | | |- Amour |-Education |raffinement désordre, instabilité,|Asymétrie, Guerre, Paix. |passion, amour, égalité, exotisme, mythe du bon | | |- Volupté |-Corps

théâtre antique puisque reprenant le mythe grec de Phèdre, est l'une des tragédies les plus connues de la littérature. En effet, les auteurs grecs Sophocle et Euripide auraient écrit des pièces à propos de Phèdre, mais certaines sont perdues; et Sénèque, auteur latin, une également. Comment la pièce de Phèdre a-t-elle été interprétée à travers les différentes époques et mouvements littéraires ? Pour répondre à cette question, nous nous rappelerons tout d'abord le mythe de Phèdre, avant de nous interesser

 Raymond Radiguet est un auteur du XXème siècle, influencé par le mouvement du surréalisme, qui domine à cette époque. Il a publié Le diable au corps en 1922, à l'âge de dix-neuf ans, quelques mois avant sa mort. Il y raconte une passion amoureuse entre un jeune de quatorze ans et une femme plus âgée et déjà fiancée, Marthe. Ce roman est inspiré de sa propre histoire d'amour avec une prénommée Alice. Dans cet extrait, Marthe vient d'annoncer sa grossesse. Les amants s’apprêtent à passer la

Mythe de Phèdre Selon Sénèque Phèdre est la fille de Minos, roi de Crète et de Pasiphaé.Lors de sa venue en Crète pour tuer le Minotaure, Thésée avait promis d'épouser Ariane, la fille aînée de Minos, mais il l'avait abandonnée sur l'ïle de Dia. Son frère, Deucalion, qui participa en même temps que Thésée à la guerre contre les Amazones, ne sembla pas lui en avoir tenu rigueur puisqu'il lui proposa la main de sa sœur cadette, Phèdre sans doute pour resserrer les liens entre Athènes et la

ironiquement deux fois les termes qu'a utilisé Kephren pour désigner sa reine : "ou as-tu laissé la divine Cléopâtre" "si la divine Cléopâtre n'est pas là, aux fers". Toutefois, Sardou disperse tout de même quelques signes avant-coureur de la future passion entre Antoine et Cléopâtre. Par exemple cette réplique d'Antoine:"où est cette reine d'Égypte que tu nous as promise?" Cléopâtre apparaît ici en filigrane comme la future, la promise d'Antoine; ou bien encore dans la conversation entre Thyrseus et

progressif (3 oste) : ôte, le sens : la raison, privation, débouche sur de la folie, fureur amoureuse (3 cele) : cacher désaccord entre l’apparence (grand’ beauté) et (4 cruauté), expression de la douleur par le reproche. lyrisme de la passion, de la fureur amoureuse (4 tant) 2ème quatrain : accusation, expression élégiaque (5 cruelle) : s’adresse directement a Olive, expression de la violence de la passion insatisfaite (Obstinée) : absence de réciprocité, insistance sur son indifférence -

................................................ 5 A) L’évolution du mythe, d’Euripide à Sarah