Mythe des races

rassurantes. * la théorisation de l’art dégénéré: - la réaction politique contre « quatorze ans de république des juifs », alliant la haine de la république de Weimar à la recherche de coupables - la suite logique des lois raciales de Nuremberg (races inférieures, donc musique inférieure noire et juive) : « Les juifs sont incapables de manier la musique et le verbe et empoissonnent le beau » - le mauvais goût nazi : on a peur du moderne on veut rejoindre l’ordre grec mais en démesure (défilé, architecture)

la grande période d'esclavage dans le sud des états-unis rendant ainsi tout esclave vivant sur le territoire américain libre , les premières lois de discrimination raciale font leurs apparitions , marquant ainsi une ségrégation stricte entres les races blanches et noires. Par exemple pour les moyens de transports où les places étaient dictées par les blancs , certains lieux publics comme les plages interdisant la présence de noirs ou toutes autres infrastructures : elles seront désormais noire

appelle le "Deuxième Livre", rédigé en 1928, mais jamais publié de son vivant. La vision hitlérienne du monde est fondamentalement dominée par le constat darwiniste de la lutte des espèces pour la conquête d'un "espace vital" Lebensraum. Seules les «races» humaines les plus fortes, les plus "pures", en tête desquelles Hitler place les Aryens, c'est-à-dire les populations blanches du nord de l'Europe, parviendront selon lui à s'imposer dans cette lutte impitoyable pour la survie. Mais elles doivent à

et d’experts parfois membres de la ligue des droits de l’homme. Elle aboutit à une différenciation entre les immigrés aptes à jouer un rôle actif dans l’industrie et l’agriculture et les « indésirables » issus des races dites « antagonistes » - les Allemands au premier chef – et des races dites « inférieures » représentées par les indigènes des colonies. La France, premier pays d’immigration entre les deux guerres Le plus grand pays d’immigration du monde qu’est devenu la France voit les provenances

entière (principe de masse). Principe mis en place pendant la 1er Guerre Mondiale : idée d’une lutte du bien contre le Mal. Ici, « liturgisation d’une idéologie » b) Hitler justifie « sa guerre » par les motifs idéologiques au nom de l’inégalité des races : « la race contre la masse ». c) Les autres camps ripostent en avançant à leur tour leurs idéaux et leurs valeurs : -côté occidentale : combat pour les valeurs fondatrices de la démocratie. -« guerres de patriotes » en URSS à partir de 41. Moyens

(1860-1890) Construction d'une identité américaine fondée sur la violence : les pionniers dans l'Ouest ▪Mythe de la Frontier (Turner), culture de la résistance à l'ennemi, pionniers confrontés à la sauvagerie de l'ouest, la « wilderness » + conditions difficiles, violence de l'idéologie pionnière, cf thématique du cowboy qui ne peut compter que sur son arme dans l'imaginaire collectif, cf mythe de l'individu américain né dans l'ouest, nature hostile. Les « guerres indiennes » ▪ invasion des caravanes

donc controversée. Le temps que lui offre les cinq mois d’emprisonnement est consacré à l’édification de son idéologie qui transparaît fortement dans Mein Kampf, son récit autobiographique. Il instaure sa théorie irrationnel de l’étagement des races humaines selon ses propres préceptes fallacieusement scientifiques. Mais sa haine englobe également d’autres sujets qui le touchent de près comme la démocratie, la France ou le socialisme. Jusqu’en 1928, le NSDAP obtient des résultats encore modestes

allemands), parti politique allemand fondé en 1920. Cette vision du monde divise hiérarchiquement l’espèce humaine en races, dont la « race humaine » qui est supposée être au sommet de celle-ci. Le nazisme est une forme dérivée de fascisme qui est caractérisée par son extrémisme antisémite et raciste. Pour les nazis, il existe une race supérieure (les aryens) qui a pour but de gouverner les races inférieures (noirs, asiatiques, tziganes et juifs), et dominer le monde au nom du mérite. L’idéologie nazie dénature

contester la domination coloniale. 2) L’idée de la supériorité de la civilisation européenne Convaincus de leur supériorité, les Européens se sont assignés la tâche de civiliser les indigènes : « les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures… elles ont le devoir de civiliser les races inférieures » (Ferry, id.). L’Europe, forte de sa supériorité technologique, justifie sa domination sur les peuples colonisés par un devoir de civilisation. C’est le thème du « fardeau de l’homme blanc

dans la vaillance », « il faut choisir, se reposer ou être libre ». E’ L'histoire comme rupture contre le mythe. Jean-Pierre Vernant, L'Univers, les dieux, les hommes, Editions du Seuil, 1999. « Mythe, mythologie, ce sont bien, en effet, des mots grecs liés à l'histoire et à certains traits de cette civilisation. Faut-il en conclure qu'en dehors d'elle ils ne sont pas pertinents et que le mythe, la mythologie n'existent que sous la forme et au sens grecs ? C'est le contraire qui est vrai. Les légendes