Mythe des races

"Deuxième Livre", rédigé en 1928, mais jamais publié de son vivant. La vision hitlérienne du monde est fondamentalement dominée par le constat darwiniste de la lutte des espèces pour la conquête d'un "espace vital" Lebensraum. Seules les «races» humaines les plus fortes, les plus "pures", en tête desquelles Hitler place lesAryens, c'est‑à‑dire les populations blanches du nord de l'Europe, parviendront selon lui à s'imposer dans cette lutte impitoyable pour la survie. Mais elles doivent à

mourir Travailler est nécessaire pour un être qui a des besoins que son milieu naturel ne lui donne pas l'opportunité de satisfaire spontanément. Le mythe de Prométhée (Platon, Protagoras) illustre parfaitement la situation précaire de l'homme dans la nature. Dans ce mythe, Prométhée et Épiméthée sont chargés par les dieux de distribuer aux races mortelles, que ces dieux ont créées, les qualités dont elles doivent être pourvues. Épiméthée, chargé de la tâche, se montre si étourdi qu’ayant pourvu

stérilisation et de la purification du génome est l’homogénéisation et la discrimination; dans Le meilleur des mondes, Huxley imagine des classes sociales génétiquement programmées. Comment alors croire au progrès s’il débouche sur le déterminisme? Le mythe du bon sauvage inscrit dans son cadre naturel, plus heureux, plus authentique et meilleur que l’homme civilisé, dénaturé et en désarroi dans un monde dépravé, explique la technophobie. Comment croire au progrès alors qu’il est source d’affaiblissement

de l’Union Soviétique) De plus, le gouvernement instaure une icone, une sorte d’allégorie du travailleur parfait (Stakhanov), que tous les soviétiques doivent s’efforcer d’imiter. Mais encore, l’URSS montre que la parité homme-femme n’est qu’un mythe dans ce pays, et que le pouvoir est dominé par les hommes. Ceci montre bien que ces régimes sont tous les deux totalitaires, mais d’autres éléments accentuent ce côté, bien qu’il convient de les développer indépendamment de l’aspect totalitaire. L’embrigadement

il faut se référer à l’Afrique. Cependant les rôles sont maintenant inversés. Si l’alma mater était le référent par excellence dans la culture haïtienne, c’est maintenant à l’Afrique de puiser dans l’Histoire haïtienne pour détruire le mythe de l’inégalité des races humaines. Au cours du XIXème siècle, les premiers auteurs haïtiens ont cherché à imiter le modèle français jusqu’à enlever toute couleur locale à leurs écrits. Ce qui importait pour eux à ce moment-là était de prouver que le noir était

élèves fassent remarquer que les juifs ont un physique facilement identifiable, leur accolent les vieux poncifs de l’antisémitisme traditionnel comme l’avarice, la richesse. Un discours plus construit peut parfois se faire jour, reprenant alors le mythe véhiculé par les « Protocoles des Sages de Sion » : les Juifs seraient partout, ils chercheraient à contrôler le monde par les médias, la finance, ils agiraient cachés et influenceraient les décisions au plus haut niveau des Etats. Enfin, des élèves

frontaliers, italiens, espagnols etc …). La question de l'immigration ne se restreint pas à ca, des francais mais que l'on considère comme étrangers, comme les coloniaux (on donne à ces populations beaucoup moins de droits que l'on considère comme des races inférieures), les vagabonds, les régionaux (les avergnats à Paris, les bretons, les basques) ils viennent dans la ville, ils partent de leur campagne pour venir dans la ville. Tout ceci se fait dans le contexte de la fabrication de l'Etat nation francaise

français s'acharnèrent à changer le cours de l'histoire littéraire : André Breton qui plaça Kafka dans son Anthologie de l'humour noir, Albert Camus qui publia en 1943 un texte sur L'Espoir et l'absurde dans l'oeuvre de Franz Kafka repris dans le Mythe de Sisyphe, Jean-Paul Sartre qui tira aussi Kafka du côté de l'existentialisme, Maurice Blanchot le plus kafkaïen de nos écrivains et Marthe Robert. Mais le premier traducteur et introducteur de Kafka en France fut Alexandre Vialatte qui publia Le

race Friedrich Albert Lange, dans son article paru en novembre 1893, expose immédiatement sa pensée raciste aux premières lignes du texte, « la race blanche devra s’unir étroitement et se sentir solidaire contre les races de couleur ». Débute alors sa « lutte au dehors ». Les « races de couleur » sont présentées comme différentes et menaçantes, l’ennemie contre lesquels il faut se battre. S’établit dès lors une certaine similitude avec la doctrine nationaliste, en rejet systématique de l’étranger

mal. Les adversaires ont échangé leurs positions : Socrate a prouvé que la vertu est une science, et Protagoras, qui le soutenait d`abord, s`en ait convaincu. Dans ce même dialogue, Platon lui fait raconter le mythe de Prométhée et d`Épiméthée chargés par les dieux de « pourvoir les races mortelles en facultés et de distribuer à chacune ce qui lui convenait ». Il lui fait également dire qu`il s`offre à « rendre les hommes bons citoyens », ce qui présuppose une conception de l`homme et de la vie en