Mustafa Kemal Atatürk

nation arabe, avec un socialisme arabe et laïque. • la “nassérisme” désigne la conception panarabe propre au défunt président égyptien G. A. Nasser. Mustafa Kemal Atatürk • la Turquie, pays musulman mais non arabe, développe sa propre conception républicaine et laïque (inspirée du modèle français), sous la direction du visionnaire Mustapha Kemal. 23 EC1_2AJCI01_Le Monothéisme 6.4 • L’islamisme • l’islamisme est apparu au XXe s. contre l’échec des politiques de modernisations économiques

musulmane, tantôt les peuples, les pays ou la civilisation. §           L'islamisme, avec un i minuscule, est un phénomène politique et religieux récent, né vers 1928 suite à l'effondrement de l'empire ottoman. La Turquie devenue un état laïc avec Mustafa Kemal Atatürk, les musulmans sunnites craignirent de voir disparaître leur religion, et leur mode de vie traditionnel au profit d'un mode de vie européen. C'est en réaction à cette perte potentielle d'identité que sont nés en Egypte les premiers islamistes

sentiment, une opinion, etc. : Abdiquer toute fierté, toute pudeur. Renoncer à imposer son autorité, sa volonté. http://media-2.web.britannica.com Doc.6 Auréolé du prestige que lui vaut la réputation acquise au cours du conflit mondial, Mustapha Kemal prend la tête d'un mouvement de résistance qui entend rejeter les tutelles étrangères et balayer un État ottoman devenu impotent, rendu responsable de l'abaissement du pays. Trois ans d'une guerre féroce permettent au jeune nationalisme turc d'inverser

dessine dès décembre 1936 la caricature ci- dessous. Elle montre la Louve romaine-Mussolini en grand habit fasciste allaitant non Romulus et Rémus, mais une génération de dictateur : Hitler reconnaissable à sa croix gammé et son salut ; Mustafa Kemal Atatürk dans sa fameuse queue de pie et haut de forme, portant le fez au pied pour illustrer ses volontés progressistes ; Ioánnis Metaxás dictateur en Grèce depuis son coup d’État du 3 août 1936, arborant l’uniforme de pa- rade des militaires grecs

(barrière de la langue). Chaque peuple possède sa langue et cela donne la nationalité. Découvrir une langue étrangère c'est découvrir une culture car la langue est une culture, elle est donc un facteur de pouvoir, d'intégration et d'exclusion. Mustafa Kemal Atatürk est le fondateur de la Turquie moderne dans les années 20, il impose une nouvelle langue, rompant ainsi avec le monde arabe et marquant la fin de l'empire Ottoman. La condition d'une nation c'est de parler une même langue, ainsi si on veux

car la Russie est un ennemi ancestral, et faisait partie des alliés. Le front entre Turquie et Russie est vraiment très sanglant La 1ère GM va vraiment signer la fin de l'Empire ottoman. Pendant la guerre, un militaire se faire remarquer: Mustafa Kemal Atatürk (1881-1938): C'est une image très célèbre encore. L'empire ottoman va avoir beaucoup de pertes…. Et pour la 1 ère fois, il est en guerre contre la Grandeère Bretagne. A propos du génocide arménien, il est certains que le Triumvirat s'est servi

its economic power, it makes from now on started from various organizations such as OMC, nonpermanent member UNO and G20. 2. Analysis of the legislative framework and of transaction cost: 3.1 Turkish willingness of integration Mustafa Kema Atatürk was the first Prime Minister of the Turkish Republic. He used to say that “Peace in the country brings peace in the world”. The goals of the Turkish Nation are first the development of friendship with every country around the world. Secondly

traité, qui instituait une Arménie indépendante dans le nord-est de la Turquie actuelle, un Kurdistan autonome dans le sud-est, et laissait à la Grèce la Thrace orientale et la région de Smyrne, fut refusé par le mouvement national mené par Mustafa Kemal Atatürk. Suite à la victoire de ce dernier sur les forces d'occupation étrangère à la fin de la Guerre d'indépendance (1919-1922), une conférence internationale s'est réunie pour remplacer le traité de Sèvres. Le chef de la délégation turque

C’est pourtant d’Asie Mineure que vient la surprise : la résistance nationaliste parvient à contrôler l’Anatolie et finit par reprendre Istanbul. La ville est sauvée, mais soumise désormais aux règles du nouveau régime fondé par Mustafa Kemal Pacha – le futur Atatürk -, dont la capitale est transférée à Ankara. Istanbul est de ce fait marginalisée, politiquement et économiquement. La ville s’en ressent fortement : elle se dépeuple, particulièrement de ses communautés non-musulmanes. Toutefois

échoue néanmoins mais affaiblit considérablement l’Empire. Dans cette période de crise, un homme dénommé Kémal (qui devient officié de l’armée) deviendra populaire. Après le Traité de Sèvres en 1920 (capitale sous contrôle allié, 52 accroissement de l’influence francobritannique, perte de territoire, etc), le mouvement des Jeunes Turcs se sent humilié. Dès lors, sous l’attaque des Grecs, Kémal va réussir à renverser la tendance et va se venger ceux-ci par des massacres terribles à l’égard des populations