Musique traditionnelle

système occidental traditionnel. Pierrot Lunaire annonce les œuvres dodécaphoniques de Schonberg, par l’utilisation importante des 12 sons de la gamme chromatique, les effets de « dissonance » qui en résultent et l’utilisation de l’atonalité. Avec cette œuvre Schoenberg se démarque dès 1912, des compositeurs postromantiques de son époque. 1) Le texte. Il est extrait d’un recueil de 50 poèmes d’Albert Giraud traduit en allemand. Schoenberg en a choisi 21 pour les mettre en musique et les a organisés

Paris Paris est ici une ville «sonore» et «mélodieuse» lui joue une musique mélancolique  : « Les orgues de barbarie y sanglotent » et « Les tramways […] musiquent au long des portées de rails leur folie de machines ». Le néologisme « musiquent » assimilent les tramways, « feux verts sur l’échine » Avec «les tramways feux verts sur l’échine/Musiquent au long des portées», assimilation entre les tramways et les notes de musique entraînées sur la portée des rails. Le poète fait alors un rapprochement

Louise Labé, surnommée «  la Belle Cordière », est un grand écrivain lyonnais du XVIème siècle. Fille d’un riche cordier, elle bénéficie d’une éducation moderne, influencée par la culture italienne. Elle sait donc entre autre le latin, l’italien, la musique et est maître d’arme. Cette femme atypique crée un des premiers salons littéraires, fréquenté par Maurice Sève et Pelletier du Mans. Ainsi, elle est l’une des premières à revendiquer le droit des femmes à la création littéraire et elle apporte son

pas spécifiquement cette activité artistique créatrice dans le langage courant. La danse a de multiples formes sociales, de multiples fonctions sociales. Dans de rue (rap, break dance), « danses sociales » (rock, valse, tango, zouk…), danses traditionnelles, école de danse municipale, spectacle chorégraphique… II. IO II.1 Compétences spécifiques • Concevoir et réaliser des actions à visée artistiques, esthétique ou expressive. (cycle 1 : seulement réaliser….). C.1 Utiliser

parfois même menacées de | | |disparaître. Parallèlement, l'arrivée de ces deux jeunes birmans va permettre créer une rencontre, un dialogue | | |entre ces enfants porteur du culture traditionnelle et les écoliers de la région. Ces derniers découvriront | | |donc le danser Tun Aung, et Phyo Wei Thu, son cadet, chanteur et joueur de xylophone. Ce jeunes pourront aussi| | |assiter

« Sa nou yé » de SOFT - En Guadeloupe les rythmes traditionnels sont : la Biguine , le Gwoka , le Zouk. - La biguine : née vers les années 1930, elle est inspirée du rythme des orchestres de jazz de la Nouvelle Orléans. Le mot biguine viendrait de l'anglais " begin " lancé par les chefs d'orchestre pour faire débuter la musique. Le rythme de la biguine est binaire et marqué par la fameuse cellule rythmique présente dans de nombreuses musiques des caraïbes : le cinquillo. Le Gwoka : trouve

l'une des principales ressources concernant les études Américaines. L'auteur du texte, R. Serge Denisoff est le fondateur de la revue Popular Music and Society, créé en 1971 et qui publie des articles, des critiques littéraires ou musicales sur la musique populaire de n'importe quel genre, n'importe quelle période ou situation géographique tout en incluant des approches historiques, critiques, sociales ou culturelles. L'article se concentre sur les « Protest Songs » et leur impact dans le « Top Forty »

jour qui vient ». Elle pardonne à sa mère les maux subis. Quelques pistes d'analyse : décors africains ou pseudo-africains ? Le rapport au réel la psychanalyse le rapport ambigu à la religion le rapport primordial à la mère musicalité et musique la voix de Musango, porte-parole d'une génération décors africains ou pseudo-africains ? Si les lieux sont nommés et dépeints avec un certain réalisme, le pays est imaginaire: il est nommé le Mboasu et le fleuve aussi porte un nom fictif,

La Samba La samba est un genre musical et une forme de danse populaire du Brésil. Les amateurs de samba sont appelés sambistes. Le genre musical La samba (LE samba/O samba en portugais) est une musique binaire à deux ou quatre temps née au Brésil. Elle serait basée sur une composition rythmique syncopée, issue d'un mélange entre les traditions des noirs africains amenés en esclavage dans les plantations, celles des indigènes et celles des colons européens. Musicalement, sa structure rythmique

écoute, c'est la facilité d'accès et la simplicité de la mélodie. En effet, en plus d'être particulièrement connu grâce au contexte sociopolitique qui l'a vu naître, cette œuvre révèle la volonté du compositeur Copland de rendre plus accessible la musique moderne. Pour cela, il a, au départ été refoulé par les institutions musicales qui le jugeaient trop populaire, trop simpliste. Mais, "l'habit ne fait pas le moine". En effet, derrière l'apparente simplicité de la fanfare, se cache une construction