Musique médiévale

------------------------------------------------- Tannhäuser de Wagner, ------------------------------------------------- Sa réception à Paris de 1861 à 1880 ------------------------------------------------- L’œuvre TANNHÄUSER Opéra en trois actes Musique et poème de Richard Wagner Création de la version originale : 19 octobre 1845, Dresde, Hoftheater Création de la version parisienne : 13 mars 1861, Paris, Opéra Portrait

expérience de l’esthétique ? A partir d’un art tel que la musique III)1) a)« L’oreille et le nombre » D’où vient le plaisir prit à l’écoute de la musique ? Deux grande réponses se sont exposé et opposées dés l’Antiquité : La réponse sensualiste et la réponse rationaliste. Pythagore (VI avant JC), Aritoxène de Tarente (IV, élève et Discipline d’Aristote). Pour les pythagoriciens, la définition de la musique rationaliste est « la musique est un exercituim, cet exercice est arithmeticae (exercice

nobles. A l'inverse, les pratiques culturelles faiblement légitimes sont plus courantes et abordable par tous. (intermag, 2004 et Jamar 2004) Illustration : Faiblement légitime Hautement légitime Domaine musical La variété Le karaoké La musique classique L’opéra  Profil dissonant et profil consonnant : Lahire, à la différence de Bourdieu, ne va pas s’intéresser à la culture du groupe mais à celle de l’individu. De ce fait, il remarque que chez un même individu, il peut coexister

l'émergence des chefs d'œuvre intemporels de Corneille, Racine, Molière et La Fontaine. J'ai écrit mes premières chansons à l'âge de 17 ans. Je le reconnais volontiers aujourd'hui : il s'agissait d'imitations maladroites de Félix Leclerc, paroles et musique, tics vocaux en prime. Où est l'influence américaine chez Leclerc, m'objectera-ton ? Je répondrai qu'elle constitue l'un des fondements de sa manière musicale si singulière, comme l'a bien observé Marie-José Chauvin (citée dans Leclerc, 1970: 206

fumes occis » (12), « sommes transis » (15), « sommes morts ». => L'évocation des suppliciés est pathétique, et pourtant, esthétique. 3- Musicalité - La forme du poème : une ballade, est la forme la plus célèbre du lyrisme médiéval, directement inspirée de la musique et de la danse. - Elle consiste en trois strophes identiques (dizaine de décasyllabes) suivies d'un envoi. Chaque strophe s'achève par un refrain (10-20-30-35). - Le refrain fait entendre un effet de rythme propre au chant et

fumes occis » (12), « sommes transis » (15), « sommes morts ». => L'évocation des suppliciés est pathétique, et pourtant, esthétique. 3- Musicalité - La forme du poème : une ballade, est la forme la plus célèbre du lyrisme médiéval, directement inspirée de la musique et de la danse. - Elle consiste en trois strophes identiques (dizaine de décasyllabes) suivies d'un envoi. Chaque strophe s'achève par un refrain (10-20-30-35). - Le refrain fait entendre un effet de rythme propre au chant et

fumes occis » (12), « sommes transis » (15), « sommes morts ». ; L'évocation des suppliciés est pathétique, et pourtant, esthétique. 3- Musicalité - La forme du poème : une ballade, est la forme la plus célèbre du lyrisme médiéval, directement inspirée de la musique et de la danse. - Elle consiste en trois strophes identiques (dizaine de décasyllabes) suivies d'un envoi. Chaque strophe s'achève par un refrain (10-20-30-35). - Le refrain fait entendre un effet de rythme propre au chant et

hantise de la mort et l’ambivalence de la femme (douce et inquiétante à la fois). * Charles Brugnot : poète régional, ami d’A. Bertrand * « je croyais entendre » : incertitude, entre deux mondes : illusion et réel * Champ lexical de la musique : entendre, enchanté, chant, harmonie, voix, murmure… * Atmosphère onirique : climat de rêve (mélange de réalité et d’illusion) : réalité à laquelle on ne comprend rien (« entre coupée »). L’alliance entre le mot « triste » et le mot « tendre »

autre genre de composition d'une violence bien plus explicite. 2)Des visions cauchemardesques du monde contemporain La Guerre, 1896, Dresde, Staatliche Kunstsammlungen Gemäldegalerie Ce tableau reprend un thème important de l'iconographie médiévale, celui des Quatre Chevaliers de l' Apocalypse. Les Quatre Cavaliers de l' Apocalypse sont mentionnés dans la Bible, dans le sixième chapitre du Livre d' Apocalypse, qui prédit qu'ils chevaucheront avant la fin du monde. Les quatre cavaliers sont

mots « souffrir », « douleur », « sang »... Par ailleurs, « C » de Louis Aragon nous fait penser à un chant de par sa forme, c'est-à-dire un poème en distiques et construit en octosyllabes avec des rimes en « é ». Il fait référence à la France médiévale en utilisant les mots « château », « chevalier », « armes ». De plus, Aragon joue avec la lettre C (d'où le titre du poème) qu'il utilise dans l'intégralité du poème. A la pointe de celui-ci, aux vers 17 et 18 « Ô ma France, ô ma délaissée; J'ai