Muses

AbdellahFaculté des Lettres et des Sciences Humaines Dahr Elmahraz Fes Département de langue et littérature françaises Master : Lettres et expressions artistiques Génie, inspiration et redite Réalisé par: EL YOUSFY MY AHMED 1 Les Muses, les gnomes, le génie, autant de forces surnaturelles des quelles les poètes antiques prétendaient détenir l’art de ficeler la langue. En effet, jadis les poètes sont considérés comme des êtres originaux, hantés par des esprits ou privilégiés par les

« Commençons par invoquer les Muses de l'Hélicon1, les Muses qui, habitant cette grande et céleste montagne, dansent d'un pas léger (…). Lorsque le sol a frémi sous leurs pieds bondissants, dans leur pieuse ardeur, enveloppées d'un épais nuage, elles se promènent durant la nuit et font entendre leur belle voix (…). Jadis elles enseignèrent à Hésiode d'harmonieux accords, tandis qu'il faisait paître ses agneaux au pied des montagnes divines de l’Hélicon. Ces Muses de l'Olympe, les filles de Zeus

en mon premier malheur. Las, où est maintenant... de Joachim du Bellay (1522-1560), paru en 1558 dans Les Regrets, est aussi un sonnet régulier, je le trouve donc aussi mélodieux, spécialement avec le rythme tertiaire du dernier vers: « Et les Muses de moi comme estranges s'enfuient ». C'est un poème clair aux images plaisantes, comme « vert tapi » pour de l'herbe. Ceci crée un grand réalisme et les mots ont plus d'impact. C'est aussi un poème de la Pléiade on le voit grâce au nombreuses références

mon premier malheur. "Las, où est maintenant... "de Joachim du Bellay (1522-1560), paru en 1558 dans Les Regrets, est aussi un sonnet régulier, je le trouve donc aussi mélodieux, spécialement avec le rythme tertiaire du dernier vers: « Et les Muses de moi comme estranges s'enfuient ». C'est un poème clair aux images plaisantes, comme « vert tapi » pour de l'herbe. Ceci crée un grand réalisme et les mots ont plus d'impact. C'est aussi un poème de la Pléiade on le voit grâce au nombreuses références

milliers d’ouvrages!) Elle fut brûlée accidentellement après l’entrée de César pas son armée puit elle fut reconstruite mais, de nouveaux détruite en -391.Elle était située près du musée. LE TEMPLE ou LE TEMPLE DES MUSES: du grec « le Mouseîon » C’était un temple consacré aux Muses, divinités des arts, dont la croyance attribuait l'inspiration artistique mais aussi philosophique et scientifique. Il a été fondé par la dynastie de rois grecs en -280. Après avoir survécu à un incendie qui le détruisit

Première partie du livre : Des muses aux musées. Cette première partie nous montre qu’il y a beaucoup de lieux qui conservent des objets de toutes sortes et de toutes provenances. Schaer dans ce première chapitre parle d’Alexandrie qu’il désigne comme « une communauté de savants pensionnés par le mécénat royal » ces mêmes savants consacraient leur journée à la « curiosité » des objets. Tous ces objets étaient disposés dans des salles, consacrées essentiellement aux Muses et à Apollon. C’est ici que

(gothique, baroque, impressionnisme, etc.). I Dans l’AntiquitéLes grecs de l'Antiquité n'ont pas eu ni le concept ni le mot correspondant à « art », mais distinguaient parmi certaines activités, appelées tekhne, celles qui étaient parrainées par les Muses, dont le nombre a fini par se stabiliser à 9 : Calliope : la poésie épique ; Clio : l'histoire ; Érato : la poésie érotique et lyrique; Euterpe : la musique; Melpomène : la tragédie ; Polymnie : la pantomime, la rhétorique

les servantes de Perséphone, et elles aidèrent Hadès à l'enlever. Elles furent punies par Cérès, la mère de Perséphone, qui les changea en monstres mi-femmes, mi-oiseaux. Encouragées par Héra, elles défièrent les Muses dans un concours de chant. Elles perdirent et les Muses arrachèrent leurs plumes pour confectionner des couronnes. Elles entrainaient par leur chant les marins à la mort. Toujours selon la légende, elles chantaient des prophéties ou des chansons inspirés par Hadès. ANNEXE

visiteur, plus de public. Cette obligation d’un résultat quantitatif «  la folie des chiffres du nombre de visiteur » a fait que ces sites voient le jour et cette obligation de toucher «  le grand public » a pousser a la création de ces sites « musés virtuels » surtout. « Les sites musées par exemple au départ se limitaient à informer le public sur les modalités d’accès au musé réel, on ne montrait pas les ouvres ou les exposer mais avec le temps et surtout l’évolution des sites concurrent qui

qui sort des ténèbres. Cette idée est rappelée par les couleurs sanguinaires et sombres s’opposant à la virginité du blanc et du bleu. Mais par opposition à cette idée de vice et de tentation, l’intention de l’auteur est de représenté également les Muses, sources d’inspiration des artistes. En effet, dans ses essais, Picasso dessinent des silhouettes féminines au nombre de cinq, mais laissant l’imagination du spectateur découvrir par lui-même d’autres silhouettes dans ses coups de crayons. Ainsi, dans