Musée Juste pour rire

elle m'avait permis de dissiper les ombres, m'avait restitué mon histoire." (p. 169). Indirectement elle a délivré Maxime de son secret car Louise connaît la vérité à propos de l'arrestation d'Hannah et de Simon. Ce dernier lui confiera sa peluche juste avant de se faire arrêter. Elle ne dira jamais à Maxime ce qui c'était réellement passé ce jour-là. "Louise me dit qu'elles ne s'étaient senti ni l'une ni l'autre le courage d'évoquer l'acte suicidaire d'Hannah et avaient choisi de parler d'une imprudence

le site de l’Académie de Strasbourg avec l’accord de l’élève. 3. envoyée par courriel à Jean-Claude Carrière, qui a répondu par un mot aimable. SUJET : Imaginez une scène insérée dans le texte de J.C. Carrière La Controverse de Valladolid, juste après la didascalie (page 85, ligne 1580, édition « Etonnants classiques », GF Flammarion) : « Les Indiens semblent vouloir fuir ; mais ils ne trouvent aucune issue. L’enfant s’accroche à sa mère. Il a peur. L’homme s’approche alors vivement de la

du texte " les yeux fixés" , " revit distinctement" , "contemplait" , "il le vit" . Il faut rappeler que Quasimodo souffre de surdité , et que la vue est le sens utilisé par le sonneur de cloche . Nous avons un contraste l.39 : " n'entendit pas ce rire mais il le vit" . Le point de vue qui va être utilisé est un point de vue interne qui est celui de Quasimodo ce qui donne de l'intensité à la scène dans la mesure où il regarde l'exécution à travers le regard de Frollo . Nous avons des verbes de mouvements

de carrefour, et il passait avec aisance à travers les mailles du filet de police tendu à cette époque par toute l’Angleterre pour éplucher les bandes nomades, et particulièrement pour arrêter au passage les « comprachicos ». Du reste, c’était juste. Ursus n’était d’aucune bande. Ursus vivait avec Ursus ; tête-à-tête de lui-même avec lui-même dans lequel un loup fourrait gentiment son museau. L’ambition d’Ursus eut été d’être caraïbe ; ne le pouvant, il était celui qui est seul. Le solitaire

près de là un banc de bois, s’y assit et s’absorba dans ses pensées. Mais voici que, tout d’un coup, derrière les espaliers et les haies, du côté de l’église, monta gaiement vers le ciel, en fusées claires, parmi les cris de joie et les éclats de rire, un chœur de fraîches voix enfantines chantant la vieille ronde 8 du Moulin : Meunier, tu dors ! Ton moulin, ton moulin, va trop vite. Meunier, tu dors ! Ton moulin, ton moulin va trop fort. « Parbleu ! fit notre homme en relevant la tête

heures dans ces bois, affrontant la boue, le froid me laisse indifférent. _Mais profite de ces bois, de ces montagnes. On est tellement petits à côté. Explore ce paysage, les feuilles sont toutes vertes, sent cette bonne odeur de fleurs. Elles viennent juste de s’ouvrir ! Les montagnes sont dentelées et parsemées d’énormes rochers blancs parfaitement ronds. Bon maintenant, allons-y ! _Allez, c’est parti! Mais j’aurais préféré regarder le match de football ! _Arrête avec la télévision et tes matchs de foot

« La ressemblance d’une figure oubliée depuis des années se dessinait désormais avec une netteté singulière ; c’était un crayon estompé par le temps qui se faisait peinture, comme ces vieux croquis de maîtres admirés dans un musée, dont on retrouve ailleurs l’original éblouissant » èenfin dans la voiture qui l’emmène de Paris à Loisy et où il « recompose »lucidement ses souvenirs » : »pendant que la voiture monte les côtes, recomposons les souvenirs » (III) ; »la

et à un point de vue plus étendu encore, tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles. Hauteville-House, 1er janvier 1862. 5 Première partie Fantine 6 Livre premier Un juste 7 I M. Myriel. En 1815, M. Charles-François-Bienvenu Myriel était évêque de Digne. C’était un vieillard d’environ soixante-quinze ans ; il occupait le siège de Digne depuis 1806. Quoique ce détail ne touche en aucune manière au fond même de ce que

la chose impossible. La maison victorienne qu’ils partageaient n’avait pas vocation à se transformer en club de jazz, entendre leurs conversations à travers les murs était déjà suffisamment désagréable. Puis il était retourné dans son appartement, juste en face. Les amis d’Alice avaient passé manteaux, écharpes et bonnets, et l’on s’était donné rendez-vous le lendemain matin à dix heures à Victoria Station, sur le quai du train de Brighton. Une fois seule, Alice remit un peu d’ordre dans la grande

lycée Janson ? Ma barbe peut-être ? Rassurez-vous, ma barbe est fausse. Isidore Beautrelet arracha les quelques boucles qui ornaient son menton, et son visage imberbe parut plus juvénile encore et plus rose, un vrai visage de lycéen. Et, tandis qu’un rire d’enfant découvrait ses dents blanches : Ŕ Êtes-vous convaincu, maintenant ? Et vous faut-il encore des preuves ? Tenez, lisez, sur ces lettres de mon père, l’adresse : « M. Isidore Beautrelet, interne au lycée Janson-de-Sailly. » Convaincu ou non