Mouvement national républicain

janvier 1871 : Paris capitule. Occupation prussienne. Election demandé par Bismarck, remportée par les monarchistes parce que les républicains veulent la guerre. Février 1871 : Thiers élu chef du pouvoir exécutif. Signe que l’assemblée ne tient pas à la république. [COLOR=brown]2° La levée d’une république révolutionnaire.[/COLOR] 2 grands courants : monarchistes, républicains 18 mars 1871 : la Commune. Paris se révolte et instaure un gouvernement autonome, avec différents conseils. La Commune n’a

Troisième République l'Enracinement de la République (1879-1885) • Jules Grévy (1879-1887, un républicain) est élu Président de la République. Il adopte une pratique minimaliste de ses prérogatives présidentielles, renonçant en particulier à l'usage du désormais trop controversé droit de dissolution. Pour accéder à la version en clair, vous devez souscrire un abonnement par lutte renonçant Président une désormais 6 du élu contre sincérité interprétation Versailles exprimée controversé la

une naissance qu'un constat de décès». I la République provisoire (1870-1879) 1 le gâchis monarchiste - succès monarchiste aux élections législatives de février 1871 → Versailles de nouveau capitale politique - acceptation du régime républicain à titre provisoire pour le discréditer (cf. occupation prussienne partielle et traité de paix draconien → perte de l'Alsace- Lorraine et réparations de guerre) et pour aboutir à un accord entre légitimistes et orléanistes - échec

youtube.com/watch?v=9OK4aBW2-gE INTRODUCTION Le régime républicain s’est enraciné en France dès les années 1880 en s’appuyant essentiellement sur les populations des campagnes et sur la classe moyenne naissante. En revanche, s’étant édifié sur la base du rejet de la Commune et de son modèle révolutionnaire, le régime républicain se construit sans intégrer la classe ouvrière. C’est pourquoi, les ouvriers ne se reconnaissent pas dans le régime républicain qu’ils identifient plutôt à la bourgeoisie. En outre

1940 : une période de laïcisation, une période de séparation et une période de cohabitation. I-1871- 1894 : Une période de laïcisation Quelques mois après la fin de l’Empire par la proclamation de la IIIe République en 1871, une Assemblée nationale à majorité royaliste est élu (2/3 des députés sont royalistes). Ce résultat s’explique par le vote de la province très rurale. Mac Mahon dira que c’est « une société de l’ordre morale ». Les parisiens, non contents de ce résultat, déclenchent la

article traduit la défiance notamment des Républicains à l’égard du droit de dissolution dont ils craignent l’aspect arbitraire. L’expérience désastreuse de la première dissolution En mai 1973 est élu le premier Président de la République. Il s’agit du Maréchal MAC MAHON, un aristocrate militaire plutôt royaliste. Il se trouve rapidement en opposition avec la chambre des députés car les élections législatives de 1876 ont donné une majorité républicaine. Suit un conflit au cours duquel le Président

République le 4 Septembre 1870. Républicains des villes minorité face aux conservateurs des campagnes. Plusieurs années pour que le régime soit accepté. I/ L’assemblée nationale et la présidence de Thiers A/ Les élections du 8 Février 1871 à l’Assemblée nationale. -Le gouvernement de la défense : résistance donc pas d’élections. Bismarck ne voulait pas signer la paix. -Armistice: 28 Janvier 1871 permet les élections. (Gambetta aurait voulu victoire des républicains mais les collègues s’y opposent

effet, l’année 1848 constitue un tournant dans la vie politique française vers la conquête de la démocratie. La chute de la Monarchie de Juillet, dans un climat de crise et de tensions sociales, semble donner naissance à une vague d’enthousiasme nationale : le peuple français quelque soit ses divergences politiques ou ses antagonismes sociaux se rallie à la République et fonde tous ces espoirs sur le nouveau régime. C’est le temps de l’ « illusion lyrique ». On peut alors tenter de comprendre la

régime républicain semblent au tournant du siècle finalement devenir possible et surtout souhaitable. I/La fin de la guerre et la Commune A/ La défaite La proclamation de la République est une journée révolutionnaire : pas de morts, pas de blessés, c'est une journée non sanguinaire. Le fait déclencheur de cette journée est l'emprisonnement de Napoléon III. Paris a été devancé par les villes de provinces (en matière de révolution), cela montre l'ampleur de cette opposition républicaine. Le

l'Europe, redonnent une puissante impulsion aux manifestations anti-autrichiennes. Si l'on conçoit le « Printemps des peuples » à la fois comme l'aboutissement de l’idée d’un mouvement prônant des revendications libérales et une réforme des institutions sociales, et comme une nouvelle étape dans l’émergence de l’idée nationale, ou du « principe de nationalité », est-il alors légitime de parler de « Printemps des peuples » italiens à propos des années 1848-1849 ? Il nous faudra, pour répondre à cette