Chorologie

Les différents groupes d'oiseaux ne sont pas répartis de façon uniforme à la surface du globe. Il y a très peu d'espèces cosmopolites (chouette effraie) et, pour toutes les autres, l'aire de répartition, c'est-à-dire la zone où l'espèce se reproduit régulièrement, est bien délimitée. Certains groupes ne se rencontrent que sur un continent, où ils sont qualifiés d'endémiques : les colibris ne vivent qu'en Amérique, les pintades sauvages qu'en Afrique. La répartition des espèces varie aussi selon l'altitude

la surface du globe, qu'on cherche à modéliser, de manière notamment à mieux exploiter certaines ressources sans les surexploiter, et de manière à mieux anticiper les effets des modifications climatiques si cela est possible1. Voir Biogéographie, Chorologie et Théories de distribution des espèces. Informatique[modifier | modifier le code] On parle souvent de distribution pour désigner un ensemble de logiciels formant un tout cohérent et prêt à installer, incluant des jeux de paquetages, le noyau

à cause de la Méditerrannée. Aspect descriptif, mais aussi explicatif de la biogéographie. La répartition du vivant à la surface du globe est abordée par la chorologie (= science qui étudie la répartition des espèces.) On peut prendre chaque espece à part, ou étudier l'espèce à l'intérieur d'une communauté vivante. La chorologie délimite les aires de distribution (=aire sur laquelle on trouve spontanément une éspèce.) Une aire de distribution peut concerner différents niveaux. Par exemple

Région méditerrenéenne de l'Europe, de l'Asie, de l'Afrique. Noms communs FR : Caroubier GB : Algaroba, Carob, Carob Tree, Carob-tree Synonymes Taxonomiques : aucun Nomenclaturaux : Ceratonia coriacea Salisb. Informations complémentaires Chorologie : méditerranéen Inflorescence : racème simple Sexualité : hermaphrodite Pollinisation : anémogame Fruit : gousse Dissémination : endozoochore Couleur des fleurs : vert Type biologique : a-semp Formation végétale : magnophanérophytaie Caractérisation

mais ne négligera pas les aspects anthropiques ou sociétaux toujours importants dans le monde vivant. Les thèmes abordés durant les séances de CM et de TD seront les suivants : - Présentation de la biosphère et classification des êtres vivants - Chorologie des êtres vivants (notion d'aires et causes de la distribution actuelle des espèces) - Etres vivants et facteurs écologiques (influence des facteurs du milieu sur le déterminisme végétal) - Liens bioclimat-sol-êtres vivants - Les dynamiques (spatiales

certains arbres formé de toutes petites fleurs très serrées. chaume (nm) : tige aérienne des Poacées (graminées) ; le chaume est creux le plus souvent, sauf au niveau des noeuds. choripétale (adj) : = apopétale. chorisépale (adj) : = aposépale. chorologie (nf) : étude de la répartition actuelle et passée des espèces. cil (nm) : poil fin qui se situe sur la marge de certains organes (feuilles, sépales, pétales etc.). cilié (adj) : qualifie un organe bordé de cils. circiné (adj) : qualifie un organe

principalement ? L’équipe, de chercheurs, mandatée par l’UICN, s’est proposée dans le présent document : • de pister dans la nature une vingtaine d’espèces ayant fait l'objet d'études poussées (Botanique, Pharmacognosie, Pharmacologie, Galénique, chorologie etc..). • de connaître les principales tendances de l'évolution des ressources médicinales (et les possibilités des marchés) ; • d'identifier les enjeux de leurs utilisations et une stratégie visant l'amélioration de la filière de commercialisation ;

pas de la simple intuition ou d'une démarche politique prédéfinie. Il pose en fait les bases de ce qui deviendra l'économétrie. Son ouvrage de 1879, le plus célèbre en la matière met en parallèle une série chiffrée de la production anglaise et une chorologie des éruptions solaires, il établit un lien mathématique entre les deux et déduit que l'agitation du soleil, en perturbant le climat, modifie les récoltes et fixe les rythmes d'évolution de la production. Cet ouvrage suscitera une vaste polémique

nom de D. bourgaei Coss., nous conservons la position de Cd. [Fl. Tun.: 46 (1954)], Quézel & Santa [Nouv. Fl. Alg. 1: 56 (1962)], Valdés et al. [Cat. Pl. Vasc. Nord Maroc, CSIC: 725 (2002)] et Ibn Tattou & Fennane [Flore vasc. Maroc, inventaire et chorologie, 2: 128 (2008)], qui le conservent au rang de sous-espèce. ALLIACEAE [par Le Floc’h E., Boulos L., Vela E. & Tison J.M.] Allium ampeloprasum L., Sp. Pl., ed. 1, 294 (1753). Allium ampeloprasum var. typicum Regel, All. Mon. 53 (1875). Notes: Ce taxon