Mouvement des démocrates socialistes

guerre, l’Amérique traverse une crise économique qui est ponctuée par un certains nombres de troubles sociaux et une vague d’intolérance. Cette situation va permettre le retour au pouvoir des Républicains alors que la pays était gouverné par les démocrates depuis 1912 et ils vont pratiquer une politique de passivité de l’Etat et qui vont favoriser les milieux d’affaire et choisir de se replier sur eux-mêmes. Situation des années 1919 à 1922. A partir de 1922 la conjoncture se retourne, le pays retrouve

KD. Il vise à la création d’un Parlement sans forcément supprimer la monarchie, et agit dans la légalité à la Douma, par le vote. Les courants socialistes et révolutionnaires s’y opposent : les SR, socialistes révolutionnaires, sont pour le partage des terres, mais agissent par le terrorisme. Parmi eux, Kerensky. Les SD, socialistes démocrates, sont quant à eux divisés en deux groupes : les Mencheviks, majoritaires, prêts à s’allier à la bourgeoisie pour obtenir des mesures, et les Bolcheviks

le Fidesz, le parti du premier ministre, Viktor Orban, entend faire adopter une nouvelle loi fondamentale, d’inspiration ultraréactionnaire et libérale. Lors des élections d’avril 2010, le Fidesz s’est adjugé, avec son allié le Parti populaire démocrate-chrétien (KDNP), les deux tiers des sièges. Ce qui lui permet de procéder à une modification de la Constitution. Le hic est que si l’actuelle opposition retrouvait la faveur des électeurs, il est fort vraisemblable qu’il ne rééditerait pas le score

cours du XXe siècle, il se divise entre une branche toujours révolutionnaire, le communisme, et un socialisme réformiste moins soucieux de révolution que d’améliorations concrètes des conditions de vie des travailleurs I/Durant la guerre, les socialistes encouragent les ouvriers à soutenir l’effort de guerre et à travailler toujours plus pour augmenter la production. Cependant, la situation intérieure devient catastrophique. En raison du blocus naval allié, les pénuries deviennent générales. De

d’un gouvernement révolutionnaire, la Räterepublik ou « République des conseils », proclamée par le socialiste Kurt Eisner et virant de plus en plus à gauche après l'assassinat de ce dernier début 1919. La propre caserne de Hitler est dirigée par un conseil. Dégoûté, Hitler quitte Munich pour Traunstein. Cependant, en 1919, alors que le pouvoir est hésitant entre communistes du KPD et sociaux-démocrates du SPD, il se fait élire délégué de sa caserne, une première fois lorsque le pouvoir en Bavière est

anti-communistes. Ainsi, au Chili en 1973, le coup d’Etat militaire dirigé par le général Pinochet (commandant en chef de l’armée qui, après le putsch, devient le chef de la dictature militaire, grand allié des E.U. jusqu’en 1990) contre le gouvernement du socialiste (d’inspiration marxiste, partisan des nationalisations et de la redistribution des terres) Salvadore Allende, est soutenu par les E.U. De 1973 à 1983, Les dictatures latino-américaines instaurent, avec le soutien logistique de la CIA (moyens logistiques

crime, aux yeux de l’opinion nationaliste est d’avoir ratifié le Diktat de Versailles. Jusqu’en 1923, la République de Weimar s’appuie sur une coalition de centre gauche rassemblant le Zentrum (Centre Catholique), le DDP (parti démocrate), et le SPD (parti social-démocrate). Après 1924, le DVP (Deutsche Volkspartei) ou parti populaire de Stresemann se rallie à la République. L’opposition au régime vient des extrêmes : A droite, le Parti National Allemand DNVP, monarchiste, luthérien et soutien

Un médecin qui administrerait à un patient des substances à dose létale encourt 3 à 5 ans d’emprisonnement et 45 000 € à 75 000€ d’amende. L’euthanasie est considérée comme un empoisonnement et un homicide volontaire. Robert Badinter, sénateur socialiste des Hauts de Seine est contre l’euthanasie car d’après lui « le droit à la vie est le premier des droits de l’homme, personne ne peut disposer de la vie d’autrui ». A cause des souffrances le malade peut ne plus être en mesure de prendre correctement

(1867), puis un Empire allemand (1871), tous deux soumis à l'hégémonie de la Prusse. Ce Reich bismarckien, le deuxième de l'histoire de l'Allemagne, Bismarck s'applique à le consolider en luttant contre ses ennemis – catholiques (Kulturkampf), socialistes, minorités ethniques –, en le dotant d'institutions communes et surtout d'une armée puissante. Celle-ci permet à l'Allemagne de jouer en Europe, pendant près de vingt ans (1871-1890), un rôle prépondérant. L'« Europe bismarckienne » est celle dont

saisi d'une étrange ambivalence au sujet de cette ville. Il ne cesse en effet de la dénoncer pour son antisémitisme et son hypocrisie, mais dans le même temps, la ville le fascine et le retient.La vie et l'oeuvre de Freud sont baignés dans le grand mouvement de dislocation de l'empire d'Autriche. L'effervescence des créations dans le domaine de l'art témoignent en effet, à la fin du XIXème siècle, du besoin d'expression d'une détresse culturelle fondamentale, quelquefois combattue par une rigidité des