Mouvement des démocrates socialistes

politique et juridique Stabilité politique Alors que la Constitution uruguayenne de 1966 avait instauré un régime de république démocratique, le pays est tombé sous le contrôle des militaires dès 1973, à la suite de l’émergence d’un mouvement de guérilla urbaine (le Mouvement de libération nationale, plus connu sous le nom de Tupamaros). La dictature militaire se prolonge jusqu’au milieu des années 1980. En 1984, des élections générales ouvrent la voie à un retour du pouvoir civil et à la démocratisation

touche 25% de la population active, les prix de gros ont chuté de 50%, la réserve fédérale est presque vide, les banques ont été fermées dans 22 Etats. Dans ce contexte d'urgence, les Républicains sont désavoués par l'opinion, et c'est le candidat démocrate, F. D. Roosevelt, qui remporte le suffrage aux élections de novembre 1932. Sa longévité en tant que président des États-Unis, il a été réélu 4 fois, lui a permis de déployer une politique sociale et économique novatrice sur le long terme, baptisée

Européenne dont la population Russe était de 26% alors qu’au XIXème siècle, elle n’était que de 22%. De nos jours, la population Européenne vaut environ 10% de la population mondiale. Mais aussi, il faut prendre en compte qu’il y a eut de nombreux mouvements migratoires de l’Europe vers les pays neufs (USA, Afrique du Sud, Canada, Australie). Depuis 1895, cette vague de migration ne concernait que 20 000 000 d’Européens jusqu’en 1913 où l’Italie du Sud, l’Espagne, les Empires Russes et Austro-hongrois

sociale – mais nous avons déjà ça en Allemagne, dans l’économie de marché social, sur un modèle adapté à l’Allemagne, n’est-ce pas ? » se demandent d’autres. « Démocratie sociale – mais c’est l’affaire du SPD et ça ne concerne donc que les sociaux-démocrates, femmes ou hommes1 , puisque c’est leur théorie », pensent de tierces personnes. « Démocratie sociale, et pourquoi pas le socialisme démocratique ? Mais ce n’est rien d’autre que cet ancien concept ! », pensent d’autres encore. Qui donc a raison

Fiche de lecture : Le Mouvement Social Les nationalisations d’après guerre en Europe occidentale Revue de janvier-mars 1986 Numéro 134 Publié aux éditions ouvrières Introduction : Cette revue apparaît dans les années 1960, fondée par Jean MAITRON, historien français et acteur important du mouvement ouvrier en France. Cette revue est publiée par l’association Le mouvement social en collaboration du centre d’histoire sociale du XXe siècle et l’aide du CNRS, diffusé par le centre national du

Clémentine résumé - André GorzClémentine Bourdon - M1 COMEDD Résumé - Chapitre 4 «Capitalisme Socialisme Écologie», André Gorz Le SPD, parti social-démocrate d’Allemagne, est un vieux parti politique créé en 1863. Parti de référence auprès de la gauche européenne, il doit cependant se renouveler en prenant en compte les réalités du siècle dans lequel nous vivons. D’après l’opinion de l’auteur, le programme du SPD est en avance sur les autres partis politiques dans trois thématiques qui visent à l’inscrire

dirigeants de la SFIO mais surtout chef du gouvernement. D'orientation socialiste, il entra en politique suite à l'affaire Dreyfus car il a toujours attaché une certaine importance à la solidarité juive. Il fut trois fois chef du gouvernement : tout d'abord en 1936-1937 puis en 1938 et enfin en 1946. Il a été à la tête du gouvernement de Front populaire, coalition de partis de gauche réunissant notamment la SFIO, le parti radical socialiste et le parti communiste. Dans le discours de Luna park le 6 septembre

C’est le début des guerres coloniales. I/ La construction de l’idée européenne : Les 2 conceptions de l’unification de l’Europe A/ Le courant social démocrate : = initiative du comte Coodenhave-Kalagi En 1930 il a présenté un projet de pacte européen (Paneuropéen) en faveur de la construction européenne. B/ Le courant socialiste : Aristide Brillant a été ministre des affaires étrangères. Il prononce le 5 septembre 1959 un discourt qui prône l’instauration d’un lien de fédération

associations plus nombreuses et offensives, comme le Forum démocratique en Hongrie, ainsi que par des mouvements pacifistes et écologiques en RDA. b) La contestation par la culture Dans les démocraties populaires, sur le plan culturel, on voit se mettre en place dans la jeunesse une contre-culture, c’est à dire des activités culturelles ou artistiques opposées à la norme officielle – le réalisme socialiste – et développées par des opposants au régime communiste. Elle est surtout musicale, et s’inspire

ce qu’il restait du Front Populaire. En effet, mis à part le PCF et le Parti Démocrate Populaire dont tous les membres étaient antimunichois, tous les partis en leur sein étaient scindés en deux. Etre de droite n’empêchait pas d’être antimunichois. Par exemple, le vote de confiance fut refusé à la Chambre le 4 octobre par 75 députés : les 73 députés communistes, le nationaliste de droite Henry de Kérillis et le socialiste Bouhey. De même, être de gauche n’empêchait pas d’être munichois. En effet