Mort Du Personnage

Dès le titre de la pièce, le personnage de Lorenzo s'impose comme le protagoniste du drame. Musset n'a pas seulement cherché à redessiner les contours de nouvelles pratiques théâtrales, il a également veillé à créer, avec son personnage de Lorenzo, un héros à la fois original et profondément romantique. 1. Une identité trouble : qui est Lorenzo ? Un personnage historique Il faut commencer par rappeler que le personnage représenté par Musset n'est pas une création de l'auteur : il appartient à

procès puis a sa condamnation à mort. L’extrait présenté ici est l’incipit. On y découvre la narrateur-personnage confronté à la mort de sa mère dont il apprend la nouvelle par télégramme. Pour se rendre à l’enterrement de sa mère à Marengo, il va demander un congé a son patron car il vit à Alger. Plan L’incipit de L’Etranger ne suit pas le plan normal d’un incipit. Le narrateur est censé donner dans cette partie, des informations sur le temps, les lieux, les personnages et l’intrigue au lecteur afin

annoncer sa mort prochaine.Texte : Prologue qui ouvre la pièce (= parole avant les paroles échangées), comme dans les tragédies antiques… Monologue du personnage principal ; monologue qui ressemble à un poème en vers libres… Longue phrase plaine de digressions qui progresse grâce aux redites, et précisions successives (=épanorthose). Style faussement simple. La mise en page suggère de nombreux silences.La crise se joue à trois niveaux : crise personnelle du personnage, crise familiale

bouleversant livre de sagesse. La mort de son fils est une donnée fondamentale de l’analyse critique que nous pouvons faire de ce texte. Dans un Duché « hors du temps » semblent reclus les personnages de ce récit, il y a un homme qui marche, sa femme, le centaure-écrivain, la femme aux filets, le cordonnier et la sage –femme, le duc lui-même et un chroniqueur qui rapporte tout, qui décrit les circonvolutions mêlées de la mémoire et de la douleur des personnages. Tous ont perdu un enfant. L’auteur

d'écriture pour écrire leur pièce. Par exemple, la mort d'un personnage est souvent reliée au registre pathétique. Celui ci permet a l'auteur de susciter la pitié pour un personnage dans une situation douloureuse. En prenant cette exemple on peut alors se demander si la mort doit nécessairement avoir une dimension pathétique ? Nous essayerons de répondre a cette question grâce a deux grandes parties : l'une montrera qu'il est possible d’associer l'image de la mort avec le registre pathétique et l'autre nous

cursive 1. Présentation de l'oeuvre Identité du livre lu : Auteur : Laurent Gaudé Titre : La mort du roi Tsongor Date de Publication : 20 août 2002 Genre : Roman Contexe : Place du livre lu dans l’œuvre de l'auteur : 2ème roman de l'auteur Lien du livre avec son époque : œuvre contemporaine Caractéristiques liées à un mouvement littéraire : présence de thèmes, notamment la mort et la guerre caractérisant la tragédie Réception de l’œuvre lors de sa publication : prix Goncourt

Victor HUGO, au 19è siècle, puisque l'auteur a publié ce roman pour protester contre la peine de mort surtout le narrateur, puisqu'il est dans un monologue, mais apparaissent aussi différents gardiens de prison, des gendarmes, des prisonniers, le directeur de la prison, sa fille, le prêtre, un notaire et les bourreaux au début du livre, le personnage commence par se rendre compte qu'il est condamné à mort, et qu'il lui reste donc une semaine à vivre l'élement perturbateur n'est pas précisé, mais on

évenement d'une tragédie qui est malheureux (mort ou séparation). Il y a donc obligatoirement des passions violentes qui opposent les personnages et finissent par les broyer. Dans la tragédie de Racine cette règle est bien présente, notamment le suicide de Phèdre, la mort d'Hippolyte, le chagrin de Thésée qui a envoyé son fils à la mort, la tristesse d'Aricie qui pour la seconde fois perd un être aimé, assassinés les deux fois par Thésée. Les personnages sont dominés par le Destin, la fatalité. C'est

[les] spectateurs qu’à les divertir » Présentation de l’œuvre : C’est ce qu’il revendique d’avoir fait dans Phèdre. Il met ainsi en place un personnage qui « regard[e] avec autant d’horreur que le crime même » que « la pensée du crime ». En effet, Phèdre, femme de Thésée est passionnément éprise de son beau-fils Hippolyte. Suite à l’annonce erronée de la mort de son mari, elle avoue son amour à H. Cet aveu, au retour de Thésée la pousse, par peur, à laisser sa confidente accuser H. Celui-ci meurt

C'est le message qu'elle avait pour lui, avant d'être mortellement touchée. Elle vacille sous la lumière de midi. Le sang coule de sa blessure. A mesure qu'elle avance, des images de son passé surgissent, emportées par une mort au ralenti que rien n'arrêtera. D'autres personnages l'aident, comme aimantés par ce lieu où la vie, le hasard et le destin mélangent leurs cartes. Dans ce roman, son premier depuis "L'Enfant multiple", paru en 1991, Andrée Chedid convoque tous les massacrés, les fusillés,