Mort De Camille Horace

allons étudier dans cet écrit. Le premier est le groupe du Laocoon, que sculpteurs Rhodiens Agésandre, Athénodore et polydore taillèrent dans le marbre au premier siècle avant Jésus de Nazareth. Le second est une oeuvre française, Le serment des Horaces huile couchée sur la toile par Jacques-Louis David en 1794. Nous etudieront l'histoire et la composition respective de chacune de ces oeuvres, ainsi que ce qui les rapproche ou les differencie. Le groupe du Laocoon est une sculpture sur marbre

de bienséance imposent que la pièce observe les mœurs de l’époque de l’action et celles de l’époque de la représentation. Elles interdisent par exemple qu’on montre un mort sur scène. Dans Horace, Pierre Corneille évoque le meurtre de Curiace par Horace seulement par un dialogue entre Camille et Horace, puis le meurtre de Camille par un simple cri, mais toujours sans les montrer. La didascalie, « blessée derrière le théâtre » le précise bien. En cas de non-respect de ces conventions, une pièce peut

séropositivité_la maladie+la mort d’autrui=trouble + crise qui détermine son retour au foyer familial quitté 20 ans auparavant« plus tard, l’année d’après j’allais mourir à mon tour »/ « j’attendais d’en avoir fini »_conscience du danger du voyage mais acceptation« prenant ce risque et sans espoir jamais de survivre, malgré tout, l’année d’après je décidai de retourner les voir »_objectif de ce voyage : « dire sa mort prochaine », « annoncer lentement, avec soin et précision […] ma mort prochaine et irrémédiable »_La

Tout d’abord, nous allons voir les raisons de leur crime. Dans l’extrait d’Horace de Pierre Corneille et de Lorenzaccio d’Alfred de Musset, nous pouvons remarquer que les deux meurtriers ont agi leur crime par devoir. En effet, Horace a tué l’époux de sa sœur Camille pour rendre honneur à son pays que nous pouvons constater grâce à l’utilisation de la ponctuation expressive « Quiconque ose pleurer un ennemi romain ! ». Ensuite dans Lorenzaccio, Lorenzo assassine le Duc qui est haï par tous les

Les poses des hommes sont pleines de sens sous-jacents, les trois Horaces ont les bras tendus vers les épées et donc vers leur devoir d’homme. Ces trois corps, ces trois bras n’en forment qu’un seul : le bras armé de la justice. Cette théorie d’unité filiale est renforcée par le fait que les trois frères se soutiennent physiquement. La lance au premier plan, donne une impression de force, la construction en triangle des Horaces créer du dynamisme, et une certaine idée de détermination : David créer

Séance 1 - Horace et Curiace : Acte II scène 1 à 3 Situation de départ Curiace félicite Horace pour le choix que Rome a fait de lui confier le combat. Acte II scène 1 Problématique : quelles personnalités d’H et de C cette scène nous donne-t-elle à lire ? Axe 1 : La personnalité de Curiace  Quels sentiments éprouve Curiace ?  sa famille est mêlée  il craint pour Albe et pour lui-même  il se plaint, ne va pas vers l’avant 1.1. Sentiments mêlés de Curiace Antithèse

L’expression de la colère et de la rage de Camille Le passage où l’on ressent vraiment toute la colère et la rage de Camille se trouve du vers 20 au vers 51. Tout d’abord elle devient furieuse contre son frère, vers 20 « tigre altéré de sang, […] », elle le déshumanise en le comparant à une bête féroce, sanguinaire et sans cœur. On comprend plus tard que c’est surtout à Rome qu’elle en veut. C’est de la faute de Rome et de son frère si son Curiace est mort. Pierre Corneille crée une anaphore très

leur situation est toujours dramatique. Dans Phèdre, tragédie de Racine, Hippolyte finit par mourir atrocement et Phèdre se suicide, ne supportant pas la situation insoutenable dans laquelle elle se trouve. Elle est aux origine de tromperie et de la mort d'Hippolyte, ayant mentit qu'il l'aurait violentée. De plus, le langage employé est soutenu comme dans Bérénice, de Racine, ce qui s'explique par l'unique apparition de personnages de rang social très élevé. Dans cette dernière pièce, Bérénice préfère

PERSONNAGE Camille DESMOULINS de son nom entier Lucie-Simplice-Camille-Benoît DESMOULINS Date et lieu de naissance et de décès Né le 2 mars 1760 à Guise et mort guillotiné le 5 avril 1794 à Paris. Origine sociale Fils aîné de Jean-Benoît-Nicolas Desmoulins, seigneur de Bucquoy et de Sémery, lieutenant général au bailliage de Vermandois, et de Marie-Madelaine Godart, il est né noble. Formation professionnelle Il entre comme boursier au lycée Louis-le-Grand. Il est excellent élève et est primé

État civil Nom: Lucie-Simplice-Camille-Benoît Desmoulins dit Camille Desmoulins. Naissance: Né le 2 mars 1760 a Guise. Il est le fils aîné de Jean-Benoît-Nicolas Desmoulins, seigneur de Bucquoy et de Sémery, lieutenant général au bailliage de Guise, en Picardie et de Marie-Madeleine Godart. Il a sept frères et sœurs. Décès: Mort le 5 Avril 1794 à Paris. Il était âgé alors de 34 ans. Nationalité: Français. Métier: Il est journaliste, avocat, homme politique et révolutionnaire français. Relation: