Mort civile

flou juridique sur les enfants mort-nés Les arrêts de la Cour de cassation sur les enfants nés sans vie ne remettent pas en cause le droit à l’avortement. En revanche, ils soulignent certaines failles du droit français concernant le tout début de la vie. Éclairages Que dit l’arrêt de la Cour de cassation ? En réalité, il s’agit de trois arrêts rendus le 6 février 2008 par la Cour de cassation Concernant la situation de trois familles dont les enfants sont mort-nés entre 1996 et 2001. Ces familles

SUCCESSORALE EANCE N ND GN TE SUCCESSORALE SOMMAIIRE OMMA RE I. LA NOTION D’INDIGNITE SUCCESSORALE Civ.1ère, 18 décembre 1984 Article 955 du Code civil Civ.1ère, 7 avril 1998 3 3 4 4 II. A. B. LES CAS D’INDIGNITE SUCCESSORALE LES CAS D’INDIGNITE OBLIGATOIRES Article 726 du Code civil LES CAS D’INDIGNITE FACULTATIFS Article 727 du Code civil 5 5 5 7 7 III. A. LE REGIME DE L’INDIGNITE SUCCESSORALE LA DEMANDE EN DECLARATION D’INDIGNITE Date de création du document : année universitaire

L’ensemble des règles juridiques destinées à l’ensemble de la vie en société. On parle de droit français, de droit allemand... - Droits subjectifs : Les prérogatives dont peut se prévaloir les personnes prises individuellement. Ex : Article 144 du code civil : Enonce une règle de droit objectif, il reconnait à tout individu ayant atteint l’âge de 18 ans le droit de se marier. Tout homme ou femme ayant atteint l’âge de 18 ans peut exercer cette prérogative individuelle. Les personnes sont dotées de l’aptitude

ENFANT MORT-NE «  A Rome l’enfant mort né était répute partie résiduelle de viscères de la femme. Les droits de cette dernière étaient lapidaires. On devine ceux qui étaient accordés à ce détail de son anatomie »  Cette citation, qui nous montre l’intérêt quasi nul que l’on portait au fœtus a l’époque Romaine nous amène à nous interroger sur le statut juridique de l’enfant mort né. Il convient alors de définir les termes. « L’enfant mort né » est dit de l’enfant qui est mort dès son arrivé

droit civil INTRODUCTION GENERALE : Paragraphe 1 : LES CLASSIFICATIONS : La grande classification du droit civil est une opposition entre les personnes et les choses. Au regard du droit civil, nous sommes des personnes, nous ne sommes pas des choses. Cette classification fonctionne sur le mode de l’étanchéité et des vasques communicants. La catégorie des choses est dite résiduelle : elle récupère tout ce qui n’est pas dans la catégorie des personnes. En droit, les

Chapitre I- Vie et mort des personnes physiques : Le droit civil traite des personnes physiques, morales et de la famille. Le mot « personne » vient de « persona » qui désigne le masque spécifique donné à un acteur dans le théâtre antique (masques très déterminés, qui permettent d’identifier rapidement le rôle du personnage.) Le Droit civil va s’intéresser à la personne en ce qu’elle a une personnalité juridique (capacité à agir juridiquement).Pour cela, il faut être titulaire de droits. Le

et une capacité d'exercice. la capacité de jouissance est la faculté d'une personne à être titulaire de droit. Celle-ci est octroyée par principe à toute personne. Une incapacité générale de jouissance n'existe pas depuis la disparition de la mort civile. La capacité de jouissance peut être, en revanche, limitée concernant certains actes. Exemple : on peut être déchu de l'autorité parentale. la capacité d'exercice est l'aptitude d'une personne à exercer ses droits librement. Toutes les personnes

DROIT CIVIL. Introduction. Définition des personne au sens juridique : être une pers au sens juridique c’est être un sujet de droit. Faculté d’être titulaire de droits et de les exercer. Le plus souvent les deux vont ensemble. Il existe des situations dans lesquels une personne est titulaire de droits mais ne peut pas les exercer. Elle est toujours un sujet de droit donc elle a toujours cette titularité de droits, elle les possède en revanche elle ne pourra pas les exercer seule. Deux parties

du Code civil (C.civ). Elle se déduit de *l'art 318 du C.civ qui indique « Aucune action n'est reçue quant à la filiation d'un enfant qui n'est pas naît viable ». *Art 725 du C.civ : « Pour succéder, il faut exister à l'instant de l'ouverture de succession ou, ayant déjà conçu, naître viable ». L'enfant mort-né, n'a pas la personnalité juridique de même que celui qui n'est pas apte à survivre. Dans cette hypothèse le décès donné» toutefois lieu à la rédaction d'un acte de l'état civil. *Art 79-1

et s’il né à l’étranger dans les 15 jours avec une déclaration faite aux agents diplomatiques et consulaires : art55 du code civil. 2 : Les conséquences Le mort-né n’a pas de personne, l’enfant mort-né dans le ventre de la mère ou à l’accouchement n’a pas de personnalité juridique. Cette situation oblige à rédiger un certificat d’enfant sans vie, l’officier d’état civil va, avec un certificat médical, établir l’acte d’enfant sans vie. Pendant très longtemps appliqué la condition de viabilité de