Mort aux rats

d’Albert Camus, il a était publié en 1947, son genre est romanesque. Albert Camus est né en novembre 1913 à Mondovi en Algérie dans une famille très pauvre. Son père est mort un an après sa naissance en 1914. En 1957 on lui a donné le Prix Nobel pour son œuvre qui traitait des problèmes de nos jours à la conscience des hommes. Il est mort dans un accident de voiture en 1960. Albert Camus est un des plus importants écrivains français du vingtième siècle. Sa philosophie s’occupe de l’absurdité de la vie

préservé par les Dieux : Un poète fait les louanges à un athlète, les dieux se vengent en cassant une jambe à l'athlète et retournant la maison. La Mort et le Malheureux : un homme malheureux demande la mort, elle vient et il ne veut plus mourir il lui demande alors de repartir, ce qu'elle fait. La Mort et le Bûcheron : un bûcheron malheureux appelle la mort pour l'aider à ramasser du bois, il préfère souffrir que mourir. L'Homme […] maîtresses : un homme à le choix entre deux veuves pour se marier

soldat passe le plus de temps. Ce sont des chemins de bataille creusés dans la terre dans le but de protéger les troupes contre les attaques ennemies.La vie dans les tranchées a souvent été horriblement dure : le danger permanent, le froid en hiver, les rats, les poux, les odeurs nauséabondes, l’absence presque totale d’hygiène et le ravitaillement mal assuré. La pluie et la boue ont été de grands ennemis pour les soldats. Le plus terrible était la relève qu’ils vivaient comme un véritable supplice malgré

Tranchées La guerre dans laquelle la France s'engage en août 1914 n'est pas la guerre courte à laquelle chacun s'attendait. Elle s'avère être une guerre de quatre ans de combats au prix de terribles sacrifices des soldats ; Ces derniers côtoient la mort au quotidien dans l'enfer des tranchées, ce qui vaudra à cette guerre le surnom de "Grande Boucherie" Mais l'épreuve est aussi douloureuse pour les civils restés à l'arrière, confrontés à d'importantes difficultés matérielles et à la crainte permanente

l’ouvrage se concentre à Oran avec le docteur Rieux qui retrouve un rat mort au pied de son palier. Le concierge du docteur Rieux pense que c’est une blague de personnes mal intentionnées. Par la suite, le docteur Rieux dépose sa femme, malade, à la gare pour qu’elle aille dans la ville voisine afin de se soigner. La ville commence à s’affoler lorsqu’elle apprend par le biais d’une agence de presse que plus de six mille rats ont été ramassés dans la même journée. La colère commence à se faire entendre

La vie dans les tranchées a été horriblement dure : le danger permanent, le froid hivernal, les rats, les poux, les odeurs nauséabondes, l’absence presque totale d’hygiène et le ravitaillement mal assuré, ainsi que la pluie et la boue, qui ont été de grands ennemis pour les soldats. L'enfer des tranchées reste difficilement imaginable: les combats sporadiques, les gazages, les pilonnages toujours plus violents, les attaques au lance-flammes mais surtout la peur, omniprésente. "Ce que

cachés dans leurs tranchées et ils surveillent les Allemands qui sont parfois très proches. Ils vivent au milieu des cadavres de soldats et d'animaux, ils chassent les rats qui courent dans la boue, ils subissent le gel, les pluies ou la canicule… . L’atrocité de cette bataille fait que très peu d’hommes échappent aux blessures ou à la mort, soit ils sont mutilés, brulés ou asphyxiés. Bien que la bataille de Verdun ait été violente, d’une part du fait de l’intensité des combats (en particulier à Fleury

...........................................6 Le coq et le renard..................................................................... 7 Le coq et le diamant..................................................................8 Le chat pendu et les rats ...........................................................9 L’aigle et le renard ..................................................................10 Les paons et le geai ..................................................................11 Le coq

De plus, elle avait une odeur fétide insupportable parce qu'elle était imprégnée de l'urine des rats. L'eau que nous buvions était putride et puante. Nous nous sommes vus, pour ne pas mourir de faim, obligés de manger les morceaux de peau de bœuf qui couvrait le grand mât afin que les cordes ne s'abîment pas contre le bois... Très souvent, nous étions réduits à nous alimenter de sciure; et les rats, si répugnants pour l'homme, étaient devenu une nourriture si recherchée, qu'on payait jusqu'à un

concitoyens le sentiment de leur exil et de leur séparation.» Le thème de l’amour est démontré par la mère de Rieux à son fils aussitôt qu’elle arrive en ville: lorsqu’elle apprend la nouvelle des rats, elle ne s’étonne pas et dit tout simplement: « je suis heureuse de te revoir Bernard, les rats ne peuvent rien contre ça», démontrant ainsi que l’amour d’une mère pour son enfant, malgré la misère humaine, ne changera pas. Aussi, quand les soins de ménage ne l’occupaient plus, s’asseyait-elle sagement