Morale Dans Les Contes De Perrault

d'étude concerné. Tentez de repérer des points de convergence et de divergence entre les textes puisqu'il est nécessaire de les confronter dans votre réponse.   Texte A: "Le Petit Poucet" Charles Perrault, 1697 Ce que je sais de l'auteur: écrivain du XVII°, siècle du classicisme. Connu pour ses contes. L'ogre est ici un être de sexe masculin dont l'auteur ne donne pas une image positive. La majuscule du mot "Ogre" semble le rendre encore plus redoutable. Il suscite la peur: les enfants

celui-ci tandis que l'autre partie est en désaccord. C'est pourquoi l'argumentation directe par ses prises de positions trop radicales peut se couper d'une partie du public. D'un autre côté, l'argumentation indirecte qui se trouve, elle, dans les contes, les fables, ou bien d'autres genres narratifs délivre un message de manière implicite. En effet, l'idée y est plus dissimulée, mais le texte est souvent plus plaisant. Par exemple, Le Petit Chaperon Rouge qui est une histoire pour enfant, traite

une esthétique fondée sur une recherche de la perfection. Après son poème connu, Adonis, La Fontaine devient le protégé de Fouqué, le surintendant du roi Louis 14. C’est donc à Vaux le Vicomte qu’il fréquente les artistes d’alors : Racine, Molière, Corneille, Perrault, Scarron… Il est reçu par différents nobles personnages, tous curieux de science et de philosophie comme Fouquet, Madame (la duchesse douairière d’Orléans) et Mme de La Sablière. En effet, au XVII° siècle, un auteur ne peut exister sans le soutien

REPONDANT A LA PROBLEMATIQUE DE LA SEQUENCE Le monstre est de manière générale un individu qui est par certaines de ses caractéristiques différent et qui se démarque de façon significative à son espèce. Ces caractéristiques peuvent être physiques, morales ou intellectuelles. À la fois objets et moteurs de l’action, emblèmes d’une société et modèles de vie,les héros ont une importance indéniable dans l’étude de ces traits caractéristiques. Si dans L’Homme qui rit et dans Gargantua le monstre ne compte

séances. Dans la Querelle des Anciens et des Modernes, il se range résolument dans le clan des anciens qu'il défend avec acharnement. A l'Académie, il retrouve Boileau, Perrault, Furetière. La vieillesse et la maladie amenèrent sa conversion (1692). Il est obligé de renier ses écrits licencieux. Il meurt en 1695. Outre les contes, et surtout les fables qui constituent toute sa gloire, La Fontaine s'est essayé dans tous les genres. Il faut citer Philémon et Baucis en 1685, et particulièrement les

analytique 5 : le pouvoir des fables PB : comment montre t-il dans son apologue, le pouvoir des fables Lecture analytique n°5 I). UN SCHÉMA NARRATIF CONVAINCANT a). Un discours où le personnage s’adresse directement à la foule Afin que sa morale soit bien reçue, La fontaine met en place un schéma narratif convaincant. Il commence par une argumentation directe de son personnage. Les paroles de l’orateur, ou plutôt du « harangueur » sont résumées en quelques vers.  Même si l’on connait la thèse

nous essayerons de découvrir s’il est préférable de présenter directement ses arguments ou bien d’utiliser une argumentation indirecte pour défendre sa thèse. Le message de l’auteur peut-il être mieux perçu par les lecteurs à travers une histoire morale ou les lecteurs préfèrent-ils avoir une présentation directe des arguments pour prouver son opinion ? A travers un plan thématique, nous analyserons les cotés positifs que peut offrir une argumentation indirecte puis nous verrons qu’elle a aussi des

dans les dernières années du règne de Henri Second ». - Utilisant très librement les données biographiques-son héroïne est inventée- elle a prêté à beaucoup de personnages, à commencer par le duc de Nemours, une élégance et une grande distinction morale. - C'est dans ce cortège d'êtres d'exception, décrits de manière superlative et abstraite, que paraît tout à coup l'héroïne, Mlle de Chartres, future princesse de Clèves : personnage de fiction, elle est encore plus extraordinaire que les plus prestigieuses

on peut appeler l’une le corps, l’autre l’âme. » Ainsi Jean de la Fontaine, décrit cette forme d’expression comme à double sens : le corps est la fable et l’âme la morale. L'apologue est donc un genre littéraire ou artistique qui a la particularité d'être accessible au plus grand nombre tout en délivrant un message ou une morale à un public plus averti. Au cours de l'histoire des auteurs célèbres comme La Fontaine ou Voltaire y ont eu recours, pour transmettre leurs idées ou émettre des critiques

problèmes de la société de son temps, parmi lesquels trois contes au programme. Valérie André (membre de l'Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique) écrit dans son article "Diderot: contes politiques et politique du conte": « La fin des années 1760 et, plus encore, les années 1770 constituent une période charnière dans la pensée de Diderot qui s'oriente de plus en plus nettement vers les problèmes posés par la morale et par la politique. L'approfondissement de la théorie