Monologue Mère Ubu

en 1897, alors que le théâtre en Europe était dominé par les figures d'Henrik Ibsen, d'August Strindberg, de Tchékhov et de Wedekind, dont les oeuvres évoluent du naturalisme au symbolisme, tandis que, plus hardis encore, Jarry a fait représenter ‘’Ubu-Roi’’ l'année précédente, que Claudel a déjà écrit ‘’Tête d'or’’, que Lugné-Poe met en scène ‘’Salomé’’ d'Oscar Wilde, qu'André Antoine dirige depuis dix ans le Théâtre-Libre et propose de nouveaux rapports entre le théâtre et le public. Mais cette

en 1897, alors que le théâtre en Europe était dominé par les figures d'Henrik Ibsen, d'August Strindberg, de Tchékhov et de Wedekind, dont les oeuvres évoluent du naturalisme au symbolisme, tandis que, plus hardis encore, Jarry a fait représenter ‘’Ubu-Roi’’ l'année précédente, que Claudel a déjà écrit ‘’Tête d'or’’, que Lugné-Poe met en scène ‘’Salomé’’ d'Oscar Wilde, qu'André Antoine dirige depuis dix ans le Théâtre-Libre et propose de nouveaux rapports entre le théâtre et le public. Mais cette

d’amitié entre quatre adolescents et leur appartenance à un groupe en dehors de la cellule familiale. ● ● L’image extraite du Grand Meaulnes montre les adolescents au cours d’un repas, un moment où la famille se réunit sous le regard bienveillant de la mère mais plus sévère du père. L’image extraite de L’ami retrouvé montre deux adolescents dont l’un semble dans une situation difficile. Le regard et l’attitude de l’autre personnage laisse présager son abandon. ● L’image du film Balzac et la petite

hommes. Guillaume Apollinaire (1880-1918) Notice biographique. Né à Rome en 1880 comme enfant naturel d’une jeune fille aventureuse, d’origine slave, Angelica Kostrowitzky, et un officier italien, Guillelmus-Apollinaris-Albertus est entraîné par sa mère dans les grandes villes comme Nice, Cannes et Monaco. Ses études en souffrent et lui ont appris peu de choses à part un immense intérêt pour la littérature. Il commence à écrire lui-même et trouve son pseudonyme à l’âge de 18 ans. A 20 ans, il commence

microlectures (questionnaires organisés sous forme de plans) sur des passages clés de l’œuvre ; des groupements de textes qui éclairent le théâtre de Beaumarchais, la trilogie dramatique à laquelle appartient la pièce (avec Le Barbier de Séville et La Mère coupable) et le personnage de Figaro ; ainsi que différents supports consacrés à la mise en scène de Jean-Pierre Vincent au théâtre de Chaillot en 1987. Édition d’Antonia Zagamé. Texte intégral / Lycée général BARRIE PETER PAN -------------------------------

monde (riches et pauvres) à sa cour et procure à ses convives tout l’éventail des divertissements et des aliments qu’il est possible de trouver à l’époque. ... à vous de lire la plainte de Tristan... (p. 35) 1. Les marques de l’émotion dans le monologue La fonction expressive du langage (voir les théories de Roman Jakobson) tient un grand rôle dans cette lamentation dont l’énoncé met en évidence l’investissement affectif du locuteur, Tristan. On relèvera : – les invocations à Dieu qui, récurrentes

service ; des monceaux d’or n’arrêteront pas mes illustres parents. BARTHOLO [montrant Marceline] — Voilà ta mère. FIGARO — … nourrice ? BARTHOLO — Ta propre mère. LE COMTE — Sa mère ! FIGARO — Expliquez-vous. MARCELINE [montrant Bartholo] — Voilà ton père. FIGARO [désolé] — Oooh ! aie de moi ! MARCELINE — Est-ce que la nature ne te l’a pas dit mille fois ? FIGARO — Jamais. LE COMTE [à part] — Sa mère ! BRID’OISON 5 — C’est clair, i-il ne l’épousera pas. BARTHOLO — Ni moi non plus. MARCELINE — Ni vous

parle du racisme, du désespoir des jeunes, et du terne univers métro-boulot-dodo. Mais la roue du destin tourne : un jour les chiens se révoltent. F. Belghoul, Georgette Une enfant d’immigrés est affublée du prénom Georgette par une vieille dame. Monologue sur le monde plein de contradictions qu’elle vit et notamment la confrontation quotidienne de deux milieux étrangers l’un à l’autre : la famille et l’école. Le discours délirant de l’enfant qui mêle rêve et réalité, permet également de railler tous

service ; des monceaux d’or n’arrêteront pas mes illustres parents. BARTHOLO [montrant Marceline] — Voilà ta mère. FIGARO — … nourrice ? BARTHOLO — Ta propre mère. LE COMTE — Sa mère ! FIGARO — Expliquez-vous. MARCELINE [montrant Bartholo] — Voilà ton père. FIGARO [désolé] — Oooh ! aie de moi ! MARCELINE — Est-ce que la nature ne te l’a pas dit mille fois ? FIGARO — Jamais. LE COMTE [à part] — Sa mère ! BRID’OISON 5 — C’est clair, i-il ne l’épousera pas. BARTHOLO — Ni moi non plus. MARCELINE — Ni vous

remontrances adressées à Isabelle (III,3). Il affronte les dangers nocturnes lorsque Lyse veut se venger de Clindor (III,7), et il disparaît lorsque la comédie intérieure finit. Amoureux bafoué, faux brave, il n'inspire ni pitié ni crainte. C'est Guignol, ou Ubu-Roi ! Toutefois, il ne s'agit là que d'une analyse superficielle. Le véritable intérêt du personnage de Matamore n'est pas de détendre l'atmosphère dans quelques intermèdes comiques. Par son langage, par sa démesure verbale, il annonce Rodrigue ou Horace