Molière Amphitryon Résumé

machina :Intervention inattendue d'un personnage qui, de façon souvent invraisemblable, résout tous les problèmes à la fin de la pièce. - Exemples : Aristide et ses fausses lettres qui, dans les Femmessavantes de Molière, permet de démasquer Trissotin, rendant ainsi possible le mariage de Clitandre et d'Henriette ; l’intervention du Spectre dans Dom Juan . Le dénouement :Marque la fin de l'intrigue, la résolution du conflit. Il varie

Phèdre de Racine. Le deus ex machina : Intervention inattendue d'un personnage qui, de façon souvent invraisemblable, résout tous les problèmes à la fin de la pièce. - Exemples : Aristide et ses fausses lettres qui, dans les Femmes savantes de Molière, permet de démasquer Trissotin, rendant ainsi possible le mariage de Clitandre et d'Henriette ; l’intervention du Spectre dans Dom Juan. Le dénouement : Marque la fin de l'intrigue, la résolution du conflit. Il varie en fonction du genre de la

part du succès de la pièce, car l'expérience fut bien reçue du public. Rarement un écrivain a été aussi maître de soi, assuré de ses moyens, fier de ses ressources, au point de s’en amuser, de se citer pour rire et de se pasticher lui-même. Avant Molière, il avait compris qu’au théâtre il s’agit de plaire au public plutôt que de convaincre les doctes. La pièce fut jouée pour la première fois à Paris, au théâtre du Marais, en 1636, et publiée en 1639. ____________________________________________________________

part du succès de la pièce, car l'expérience fut bien reçue du public. Rarement un écrivain a été aussi maître de soi, assuré de ses moyens, fier de ses ressources, au point de s’en amuser, de se citer pour rire et de se pasticher lui-même. Avant Molière, il avait compris qu’au théâtre il s’agit de plaire au public plutôt que de convaincre les doctes. La pièce fut jouée pour la première fois à Paris, au théâtre du Marais, en 1636, et publiée en 1639. _________________________________________________________________________________

de Molière mise en scène Marc Paquien avec Anne Caillère, François De Brauer, Eric Frey, Jany Gastaldi, Nathalie Kousnetzoff, Matthieu Marie Daniel Martin, Pierre-Henri Puente Alix Riemer, Agathe Rouillier scénographie : Gérard Didier lumières : Dominique Bruguière son : Anita Praz costumes : Claire Risterucci maquillages et coiffures : Cécile Kretschmar collaboration artistique : Daisy Amias. 24 janvier >>> 19 février mardi, mercredi, vendredi, samedi 20 h 30, Jeudi 19 h 30 dimanche

proUne large sélection de scènes adaptées aux enfants. Classées par thèmes, les scènes, extraites du répertoire théâtral français, allant du Moyen Âge à nos jours, sont accompagnées d'un dossier pédagogique avec :- une brève biographie de l'auteur, résumé de la pièce d'où est extraite la scène,- des propositions de questions aux élèves,des prolongements possibles en classe. Dans la dernière partie de l'ouvrage, le chapitre Repères donne aux enseignants les références de base :- une brève chronologie

..........................................................................  17   MOLIERE,  L'ECOLE  DES  FEMMES  (1662),  ACTE  III,  SCENE  2.  ................................................................  18   MOLIERE,  DOM  JUAN,  ACTE  II,  SCENE  1  (1662)  ........................................................................................  19   MOLIERE,  LES  FOURBERIES  DE  SCAPIN,  I,  1.  (1671)  ....................

(46-125 ap. J.-C.) sont composées par une cinquantaine de biographies regroupées par paires. Une source de réflexions pour les critiques et les lecteurs : Nombres de dramaturges, de romanciers et de poètes s'inspirent des œuvres antiques. Molière dans Amphitryon (1668) et dans L'Avare (1668) s'inspire de Plaute (vers 254-184 av. J.-C.). Jean Anouilh s'inspire de la tragédie de Sophocle (vers 495- vers 405 av. J.-C.) pour son Antigone représentée en 1944. Le Moyen Âge : La Courtoisie : un art de

Adam de la Halle, Eustache Deschamps Corneille (comédie, tragédie et tragicomédie) Monteverdi (opéra) Goldoni (commedia dell’arte) Théâtre français : Corneille (comédies et tragédies : le dilemme cornélien) Racine (tragédies : fatalité du destin) Molière (comédies 3 du théâtre grec). Il y a aussi la règle de bienséance (on ne peut représenté la violence sur scène) Bourgogne, qui est devenu la Comédie française. Les autres troupes n’avaient le droit de se produire que durant les foires en été.

la première moitié du XVIIème siècle. L’influence espagnole. Honoré d’Urfé. Charles Sorel. (p.21) 6.Les mouvement des idées. Descartes. Pascal. (p.23) 7.L’essor du théâtre. Corneille. (p.29) 8.La préciosité. Voiture. Mlle de Scudéry. (p.34) 9.Molière. La comédie « à l’espagnole ». (p.36) 10.L’appogée du classicisme. Boileau. Racine. La Fontaine. (p.41) 11.Le roman et la nouvelle dans la 2e moitié du XVIIème siècle. Mme de la Fayette. (p.47) 12.Lettres et mémoires : Mme de Sévigné. Cardinal