Moïra

dune soe individ its [algré ce que Yon pence couramment, Smith insist sur Vprets (eat en faveur dum slae minimum pennerant ia produ da aval de Tourir que le capitalise hi prend our Smith fa oe misierd ‘provenant de ceteeatogrs sociale rx ches les Moira, guilt de marché. i Q>D prix din sugmente — ds persone ‘vou arrive sur le marche aires par les perspectives de profit int pas avant car les coite de ‘production étaient top sles. Méme i avec I nouveau pr des preonnes peuvent de exclues de Tact,

not be drunk but anyone would think you are, the way you’re driving. No wonder you hit that girl. And it wasn’t just a shove. I think you’ve killed her.” “For God’s sake, Freda, shut up!” “Well, it was a good party, wasn’t it? “Yes.” “Moira Brady’s a marvellous hostess.” “Yes.” “Jack Brady’s a lucky man. We ought to ask them back some time, don’t you think?” “Yes.” “What’s got into you? Cat got your tongue? You’re a fine companion. We go to a terrific party and all you can

démontrer, qu’elles n’ont rien de victimes qu’il faudrait sauver d’un patriarcat « d’un autre âge » qui les contraindrait au silence et à la reproduction mimétique de normes sociales. À titre de dernier exemple, je souhaite encore citer l’article de Moira Justin et Anne Phillips (2008), Whose agenda is it ? : abuses of women and abuses of « culture » in Britain, dont l’analyse porte sur les différentes lois votées en Grande-Bretagne autour des mariages forcés, des crimes d’honneur, des mutilations génitales

Fileuse » tisse le fil de la vie· Lachésis  « la Réparatrice » le déroule· Atropos « l’Inflexible » le coupe> associées aux cycles cosmiques, aux grandes déesses de la nature, de la végétation et de la fertilité. Les Moires : moïra (=destin, =part, =portion, =lot) > conception grecque de la destinée Lien avec la naissance et avec la mort Dans la République, Platon en fait les filles d'Ananké, déesse de la Nécessité Dans la République de Platon, Lachésis

LE DESTIN -Le terme destin signifie moira, il connote plutôt l’idée de « lot », de ce qu’on a reçu en partage. Le mot latin fatum qu’on retrouve dans les mots fatalité et fatalisme signifie le destin dans la mesure où il est annoncé par la parole, les prédictions du devin ou les oracles. C’est aussi la destinée qu’on peut lire en consultant les astres. De manière générale, le destin exprime l'idée de la prédétermination de la temporalité par le jeu de causes indépendantes de la volonté humaine

Bovary, Paris, Gallimard, 1978. (en) Margaret Lowe, Toward the Real Flaubert: A Study of Madame Bovary, Oxford, Clarendon, 1984. (fr) Matthew MacNamara, La Textualisation de Madame Bovary, Amsterdam, Rodopi, 2003. (fr) Henri Raczymow, Madame Bovary, la Moïra et les moires, Les Temps modernes n°629, novembre 2004/février 2005. (fr) Patricia Reynaud, Fiction et Faillite : économie et métaphores dans Madame Bovary, New York, Peter Lang, 1994. (fr) Géraud Venzac, Au pays de Madame Bovary, Paris, Genève, La

temps que la démocratie, à un moment où le héros du mythe ou de l’épopée devient incompréhensible et incommensurable à l’habitant de la polis : le héros est désormais un problème, parce qu’il est un être excessif, il est celui qui excède sa part (moira) et qui met en danger la cité par sa démesure. 1)     Ubris La démesure d’Œdipe, l’ubris qui en fait un personnage tragique, est mise en valeur dès les premiers mots de la tirade qui ouvre cet extrait : il est celui qui excelle en tout, qui peut

on attend d’un personnage de roman d’aventure qu’il soit courageux, brave, qu’il aille toujours plus loin, qu’il repousse ses limites pour une bonne cause : un vrai héros qu’on admire pour son charisme, sa force, sa beauté… Dans la trilogie de la Moïra (Henri Loevenbruck), on est entraîné par la jeune orpheline Aléa qui fait tout ce qui est en son pouvoir pour accomplir l’importante prophétie qui peut changer le cours de la vie sur l’île de Gaelia. Déterminée, elle surmonte des épreuves grâce à son

temps que la démocratie, à un moment où le héros du mythe ou de l’épopée devient incompréhensible et incommensurable à l’habitant de la polis : le héros est désormais un problème, parce qu’il est un être excessif, il est celui qui excède sa part (moira) et qui met en danger la cité par sa démesure. 1) Ubris La démesure d’Œdipe, l’ubris qui en fait un personnage tragique, est mise en valeur dès les premiers mots de la tirade qui ouvre cet extrait : il est celui qui excelle en tout, qui peut

Madame Bovary, Paris, Gallimard, 1978. (en) Margaret Lowe, Toward the Real Flaubert: A Study of Madame Bovary, Oxford, Clarendon, 1984. Matthew MacNamara, La Textualisation de Madame Bovary, Amsterdam, Rodopi, 2003. Henri Raczymow, Madame Bovary, la Moïra et les moires, Les Temps modernes no 629, novembre 2004/février 2005. Patricia Reynaud, Fiction et Faillite : économie et métaphores dans Madame Bovary, New York, Peter Lang, 1994. Géraud Venzac, Au pays de Madame Bovary, Paris, Genève, La Palatine