Modulation du signal

d’utilisation……………………………………. 3 II-Conception matérielle……..……….………………………. 4 1-Choix de composants…………………………………... 4 2-Schéma bloc……………………………………………. 5 3-Détails techniques……………………………………… 6 -Microcontrôleur (PIC)…………………………….…. 6 -Modulation de Largeur d’Impulsion (MLI)……….… 18 -Générateur de signal triangulaire ………………….... 19 -Convertisseur Numérique Analogique(CNA)……….. 24 -Moteur à Courant Continu(MCC)………………….... 25 4-Réalisation……………………………………………... 29 -Nomenclature………………………………………….29 -Schéma câblage……………………………………

années 80 voient le développement du numérique tant au niveau de la transmission qu'au niveau du traitement des signaux, avec pour dérivés des techniques de transmission fiables, grâce à un encodage particulier des signaux préalablement à l'envoi dans un canal, et l'obtention de débits de transmission raisonnables pour les signaux (par exemple 9, 6 kilobits par seconde, noté [kb/s], pour un signal de parole). Ainsi, en 1987, le groupe GSM fixe les choix technologiques relatifs à l'usage des télécommunications

en émission et réception pour la transmission de données, et des fonctions assurées par les protocoles spécifiés pour l’UE. Rappels sur le canal radio En communications, le canal de transmission représente toutes les transformations subies par le signal entre l’émetteur et le récepteur, de par sa propagation dans le milieu de transmission, ainsi que dans les équipements d’émission et de réception. Le canal de transmission détermine la manière dont les données doivent être mises en forme à l’émetteur

ADSL A. Schéma de présentation B. Le Modem C. Le DSLAM D. Le BAS Page 5 Page 5 Page 6 Page 6 Page 7 1.4. Protocoles de communication Page 7 1.5. Composition d’une Trame ADSL Page 8 1.6. Les différents types de modulation pour transmettre un signal ADSL A. Modulation FDM B. Modulation DMT Page 8 Page 8 Page 9 1.7. Les limites de l’ADSL Page 10 II. Projet Maquette DSLAM Page 12 2.1. Présentation de la maquette et répartition des tâches 2.1.1. Présentation de la maquette 2.1.2. Répartition

[CPL] LE COURANT PORTEUR EN LIGNE TABLE DES MATIERES LA TECHNOLOGIE CPL __________________________________________________ 5 I. I.A. LE CPL, C’EST QUOI_______________________________________________________ 5 I.B. TECHNIQUES DE MODULATION _______________________________________________ 6 I.A.1. I.A.2. Définition ____________________________________________________________________5 Une technologie vieille de plus d’un demi siècle ________________________________5 I.B.1

B. Comment ça marche 4 1. Techniques de Multiplexage 4 a) FDM (Frequency Division Multiplexing): 4 b) TDM (Frequency Division Multiplexing) 5 2. Techniques de modulation 5 b) DWMT (Discrete Wavelet MultiTone) 6 c) QAM ou MAQ (Modulation d’Amplitude en Quadrature) 6 d) CAP (Carrierless Amplitude and Phase Modulation) 7 C. Performances et limites : 8 Conclusion 8 Introduction : Le rapide développement des technologies de l’information a fait apparaître de nouveaux services

venir 5’. Filtrage 5’’. Contre-Réaction. Stabilité. Oscillateurs sinusoïdaux 6’. Algèbre de Boole Annexe 7. Modulation Bibliographie [1] [2] [3] [4] [5] [6] [7] [8] [9] J. Auvray R. Beauvillain / J. Laty A. Deluzurieux / M. Rami J.M. Fouchet / A. Perez-Mas M. Girard A.P. Malvino F. Manneville / J. Esqieu J.M. Poitevin J.J. Rousseau « Electronique des signaux analogiques » « Electronique » « Electronique analogique » « Electronique pratique » « Amplificateurs opérationnels

Dan ou Fouad c) Signaux de commande des interrupteurs du pont en h Photo d) Etude de la modulation de largeur d’impulsion (MLI) Aurélie 3) Manipulation 4) Analyse de l’algorithme de fonctionnement Guillaume c) Etats des interrupteurs électriques du pont en H Afin de savoir dans quel sens va le courant, donc dans quel sens tourne le moteur, il nous faut savoir, les états des 4 transistors NMOS, soit saturé, soit bloquer, soit en mode MLI (Modulation à Largeur d’Impulsion)

années 80 voient le développement du numérique tant au niveau de la transmission qu’au niveau du traitement des signaux, avec pour dérivés des techniques de transmission fiables, grâce à un encodage particulier des signaux préalablement à l’envoi dans un canal, et l’obtention de débits de transmission raisonnables pour les signaux (par exemple 9, 6 kilobits par seconde, noté [kb/s], pour un signal de parole). Ainsi, en 1987, le groupe GSM fixe les choix technologiques relatifs à l’usage des télécommunications

thermostat E 1 à mode de régulation permanent (0 - 10 V) permet de raccorder des servomoteurs proportionnels motorisés, comme EMO 1 or EMO TM. Le thermostat E 3 à signal de sortie en trois point est utilisé en combinaison avec les servomoteurs trois points motorisés, EMO 3 de HEIMEIER par exemple, ou en cas de réglage sur signal de sortie à modulation de largeur d’impulsion (PWM) avec servomoteurs deux points, comme EMO T ou EMOtec. La valeur de consigne peut être réglée entre 10 °C et 30 °C. Des butées