Modernité Du Poeme Zone

Objet d’étude : La poésie, du XIXème au XXème siècleParcours associé  : « Modernité poétique ? » Guillaume Apollinaire, « Zone », extrait du recueil AlcoolsIntroduction  : Guillaume Apollinaire né à Rome 1880, est une figure incontournable du renouvellement poétique au début du XXème siècle, Apollinaire s’installe en 1907 à Paris, où il devient un critique d’art et se noue d’amitié avec des peintres comme Picasso, Derain, ou Delaunay. Guillaume

train
Qui roule
La vie
S'écoule Note: amour, art poétique, poème élégiaque En quoi "Automne malade" est il une représentation de la mélancolie du poète face à la fatalité de l'existence ? I) L'automne, thème lyrique revisité par Apollinaire II) L'entre-deux III) Le parcours vers une fin imminente 1 quatrain, 1 septain, 1 distique, quatrain, sizain: alexandrin verticalisé verticalité du poème idée de chute effet de ralentissement poème de crise d'angoisse divinité paiene transformé en démonte

par Guillaume Apollinaire en 1913, regroupe des poèmes écrits de 1898 à 1913. Le poème ouvrant le recueil, « Zone », inscrit l’œuvre dans la modernité en utilisant le vers libre et en faisant de la ville ou de l’industrie des thèmes poétiques. Au contraire, le second poème intitulé « Le pont Mirabeau », même s’il date de 1912, semble plutôt renvoyer à la tradition du poème d’amour associé à la fuite du temps. Ce poème est inspiré par Marie Laurencin, peintre avec qui Apollinaire a eu une liaison de

Zone. De « Tu es debout devant le zinc d’un bar crapuleux » (p13) à la fin On a tenté d’associer A au cubisme mais ne s’inscrit dans aucun courant littéraire Cubisme caractérisé par déconstruction, éclatement en peinture, A. ici nous peint son ouvrage dont la structure divisée, en pointillés, peut dc être cohérente avec ce courant. Zone est le premier poème d’Alcools → synthèse de toutes les lignes de force du recueil. Poète lyrique, Apollinaire se sert de ses expériences pour les transcender

conséquent sur la profusion et la variété de l’inspiration. Une certaine énergie se dégage du titre et des images qu’il évoque : l’image de l’ivresse poétique. L’absence de ponctuation est remarquable ; cette absence marque l’affirmation de la modernité poétique revendiquée par le poète. Il veut rompre avec la tradition et inviter le lecteur à trouver lui-même le rythme. Sans ponctuation, les mots deviennent plus ambigus mais aussi plus oraux. La fluidité de la lecture convient bien à cet esprit

.............................................. 6 Sites de référence ............................................................................................................................ 6 Piste 4 : Pratiques de la ville : poétiques de la modernité ................................................................... 6 Quelques œuvres de référence ....................................................................................................... 8 Pour aller plus loin....................

Rimbaud incarne la modernité par les nouvelles formes poétiques (poème en prose) mais également car il s’interroge sur le langage poétique. · Il veut s’attaquer contre ce qu’il appelle « la vieillerie poétique » et « trouver une langue » au moyen du poème en prose. · Il publie le recueil Illuminations en 1874 dont le poème « Les Ponts » est tiré. PROBLEMATIQUE : En quoi ce poème présente-t-il

merveilleuse vers monostiche : « N’entendra-t-on jamais sonner minuit » détourne la phrase du conte de Perrault : « elle entendit sonner le premier coup de minuit ». La référence à Cendrillon est ici évidente. L’emploi itératif de l’imparfait reporte le poème dans le temps du conte de fées, « du temps passé », à jamais dormant. la description de celle que le poète appelle, comme un auteur du Grand Siècle, « la belle Dame ». L’adjectif laudatif revient comme un leitmotiv : « Avec de beaux bras » (vers 13)

prédominant, le souci de faire varier les formes, de faire alterner les poèmes de facture différente, afin que le lecteur passe du poème le plus traditionnel d’apparence, au plus audacieux, au plus « moderne ». L’ensemble est encadré par deux poèmes manifestes : « Zone » et « Vendémiaire ». « Zone » intègre les tentatives du modernisme et de simultanéisme (espace/temps). C’est le poème de l’échec amoureux. Il se termine par l’impression de lassitude et de dégradation. « Vendémiaire » est une quête poétique

pourrait citer Victor Hugo qui nie toute thématique particulière à la poésie:« Tout a droit de cité en poésie » ;le même poète revendiquait aussi une rénovation du langage poétique, l’usage en poésie du vocabulaire courant, voire familier :dans un poème extrait de son recueil Les Contemplations (I856),il fait un parallèle entre les nobles de l’Ancien régime et les mots nobles réservés à la poésie classique et le peuple et les mots courants;de même que le peuple s’est