Modernité De Verlaine

transcription du réel Le rapport entre littérature et réel = problématique principale qui traverse tous les genres. 2 positions: représentation la plus concrète du réel / totale recréation. (Apollinaire intègre à sa poésie toute la réalité et la modernité de la société industrielle en voie d’expansion dans « Zone ») L‘évolution de la peinture est similaire à celle de la poésie. En conformité avec la théorie de la mimesis(imitation) inspirée d’Aristote, la fonction première de la peinture est de représenter

la subjectivité d’un lyrisme personnel et développent un goût pour une nature sublime. Ils expriment le fameux mal du siècle et certains dont Hugo s’engagent politiquement. Ils restructurent l’alexandrin et varient les rythmes. C’est un vent de modernité sur la poésie qui apparaît. Ils pensent que tout l’art du poète vient de l’inspiration. * Le Parnasse et l’art pour l’art La doctrine de ce groupe de« l’art pour l’art » est mise en place par Théophile Gautier : il refuse l’utilité dans la poésie

Baudelaire ; ceux qui, au XXe siècle, vont choisir le vers libre loin de toute contrainte de rimes ou de métrique.
La révolution peut se faire plus dure encore avec les tenants de l'ordre établi : on pense aux parodies des poètes traditionnels faites par Verlaine, Queneau et tant d'autres. On pense à l'objectif provocateur de Baudelaire : en finir avec les "provinces fleuries" de la vieillerie poétique et "extraire la beauté du mal". On pense enfin à l'ironie virulente dont fait preuve Rimbaud dans l'extrait

l’exposition au grand palais d’edouard Hoper, 6.400 visiteurs par jours. Triomphe d’un illustre inconnue. Subconscient collectif. Il a pu construire, a travers l’art le monde qui etait le sien. Territoire, mondialisation, individu collectif, modernité. En 1989, premiere expo de l’œuvre d’E.H. SUN IN AN EMPTY ROOM, 1963. Aujourd’hui la situation n’a guere changé. NEW YORK MOVIE, 1939. MOMA NY POLLOCK, DUCHAMPS, HOPER. Hitchcock, n’a pas comparé la maison isolé de psychose HOUSE BY THE RAILROAD

d'autres thèmes comme la peur de la mort, les dieux, la nature, l'Homme, la musique … avant le symbolisme au XIX° siècle, le lyrisme était le registre préféré des poètes : quoi de plus sincère que de chanter des sentiments ? Par exemple, Baudelaire et Verlaine, pourtant des poètes modernes, ont choisi la facilité en parlant de la musique, ce chant qui révèle les passions. En deuxième temps, certains sujets sont tabous, presque inabordables. Comment, pour un poète, parler de viol, de drogue ? Même si c'est

poèmes Charles-Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et mort dans la même ville le 31 août 1867. Nourri de romantisme, tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité », il occupe une place qui lui est propre dans l'histoire littéraire du XIXe siècle. Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale, la proclame tout entière destinée au Beau et non

Baudelaire ……………………… 6 Veni, vidi, vixi de Victor Hugo ……………………………………….. 7 Bêtise de la guerre de Victor Hugo ………………………………... 8 L’Etranger de Charles Baudelaire …………………………………. 9 La Pipe de Charles Baudelaire ………………………………………. 10 Colloque sentimental de Verlaine …………………………………. 11 Dizain de neige de Clément Marot ………………………………… 12 Chanson de Victor Hugo ………………………………………………... 13 Wheat Field with Crow (Champ de blé aux corbeaux) est une huile sur toile de Vincent Van Gogh datant de Juillet 1890, de dimensions

lecteur éprouve ainsi une certaine contemplation à l'égard des mots employés et de la manière d'écriture du poète qui lui livre un univers différent de la réalité. Au XXème siècle, ce n'est plus vers la nature que le poète se tourne mais vers la modernité de la ville comme nous pouvons le voir chez Apollinaire, qui dévoile dans son poème « Zone » une vision de la ville de Paris, à travers une poésie moderne, évoquant la ville par son lexique, ses images, ses sonorités ou de ses mouvements. Mais la

naturalisme, mouvement littéraire qui prolonge le réalisme en l’exacerbant. La modernité de ce siècle parfois vue comme une chance mais aussi comme une fatalité par des écrivains tel que Baudelaire et Rimbaud, engendre une méfiance envers les risques encourus à cause des nouvelles puissances scientifiques et technologiques. Cette méfiance est particulièrement présente dans les œuvres des poètes symbolistes comme Verlaine ou Mallarmé. Le symbolisme témoigne du désir de remettre en cause le réel autant

Adèle Hugo rapporte, dans son Victor Hugo raconté, que le jeune Victor, alors âgé de quatorze ans, aurait écrit en 1816 dans ses cahiers d’écolier : « Je veux être Chateaubriand ou rien »1. L’illustre aîné, érigé en souverain modèle incarnant la modernité littéraire, aurait surnommé son jeune admirateur l’« enfant sublime » 2, suite à l’Ode sur la mort du Duc de Berry, dans laquelle son influence se fait nettement sentir. Cette ode est publiée en 1820 dans la revue fondée par Hugo et ses frères