Modernite Camus Etranger

veulent changer les choses mais ils ne peuvent pas, ils vivent à la marge de la société. Ils ont une attitude pessimiste qui va jusqu’à le désespoir. Le mot important pour eux c’est ABSOLU. MELANCOLIE = le mal du siècle, la vague à l’âme… Camus → absurde Baudelaire → applet Giano → ennui Dépression, goût des larmes. MOI → devient un refuge. Religion → ils veulent trouver un paradis, pour eux Dieu est la Nature. Il faut lutter pour la passion de la liberté. Le poète romantique

Nanterre I. Une poésie de la modernité a) Baudelaire : aux origines de la modernité b) les découvreurs du modernisme poétique : Verhaeren, Larbaud, Romains et l’Unanimisme c) Les chantres de l’esprit nouveau : Apollinaire, Cendrars, Max Jacob I. Une poésie de la Modernité a) Aux origines de la Modernité - Baudelaire Au début du XXème siècle, de nombreux mots tournent autour de la notion de modernité : modernisme, moderne... Ces mots

occidentale. 2. Le tragique redéfinit/complété par Cocteau : « Et voila » le tragique ressort d’une certaine évidence. « arrive aux pieds du mur » « le piège se ferme » Le tragique est une cérémonie. C’est une mise en scène des hommes. Camus «  les sanglantes mathématiques de notre destinée » Cette définition du tragique est donnée par les métaphores filées. On a bien ici un tragique propre à Cocteau. Au fond, pr C, le tragique c’est un enchainement mécanique de la fatalité. Cette idée

pourrez observer le jeu produit par la présence du poète dans ce poème. En quoi la dernière ligne est-elle représentative de la structure et du sens du poème ? De quelle aventure est-il question dans ce poème ? En quoi ce poème répond il à la modernité poétique ? Etudiez le système énonciatif du texte (les différentes voix narratives) Etudiez le thème de l'aube dans ce poème En quoi le titre illustre t-il la poésie de ce texte ? Quelle vision du monde se dégage de ce poème ? Sartre Huis Clos

cadre du roman 8 Lecture analytique n°4 – Incipit de L’Etranger, d’A. Camus Eléments pour l’introduction Auteur engagé politiquement puisqu’il fait partie du parti communiste de 1935 à 1937 avant d’écrire pour des journaux de gauche. Il s’implique dans la Résistance pendant la seconde guerre mondiale dans le journal combat. Puis il s’oppose à la guerre d’Algérie en 1956. S’il a débuté par le journalisme, Camus s’est vite tourné vers la littérature. Il débute par des essais, et des poèmes

annule, exclut hélas ! celle de « révélateur ». Et comme il ne lui est pas loisible de lire d’un œil objectif sa création, il a besoin d’un intermédiaire, d’un autre qui se charge de l’acte de lire ce qu’il a écrit, puisque «l'objet littéraire est une étrange toupie, qui n'existe qu'en mouvement. Pour la faire surgir, il faut un acte concret qui s'appelle la lecture, et elle ne dure qu'autant que cette lecture peut durer. Hors de là, il n'y a que des tracés noirs sur le papier.» (p.48) Par conséquent la

SARTRE ET ALBERT CAMUS SONT DES PILIERS DE L’ENGAGEMENT INTELLECTUEL 1 SOMMAIRE INTRODUCTION p.4 PREMIERE PARTIE : L’Engagement intellectuel et les figures de Sartre et Camus au lendemain de la seconde guerre mondiale. p.8 1. Définition de l’engagement intellectuel p.8 2. Camus et Sartre : Modèles de l’engagement p.12 DEUXIEME PARTIE : Deux hommes de gauche au service du théâtre. 1. 2. p.25 Sartre et le Théâtre de Situation p.25 Camus : le Théâtre de

poétiques, “aux ondulations de la rêverie” à lʼimagination en général, “aux soubresauts de la conscience” Ici B. parle de la prose, donc de la phrase, du syntagme, du style, pas fluide (scorrevole), mais fragmenté, et ça cʼest important, cʼest la modernité de B. (1869), cʼest provocant; dire quʼil utilisait ces attributs, “souple” et “heurtée” surtout, cʼest assez nouveau pour son époque; “heurtée” cʼest un adjectif fort, la poésie normalement cʼest la mélodie, lʼharmonie, tandis que lá cʼest la

pour ne pas mourir. » L’écriture permet à l’écrivain de se sortir du temps et d’atteindre ainsi l’éternel, l’auteur vainc sa peur de la mort et de l’oubli par l’écriture. Nous notons aussi la définition de la modernité donnée par Baudelaire dans Le peintre de la vie moderne, « la modernité c’est le transitoire, le fugitif, le contingent, la moitié de l’art dont l’autre moitié est l’éternel et l’immuable. » Le paradoxe d’une œuvre c’est qu’elle s’inscrit dans le temps présent, mais un chef-d’œuvre

prennent souvent la couleur de nos intérets. Les fables de la Fontaine À travers un genre mineur et non codifié, La Fontaine (1621-1695) s’inspire, comme les autres classiques, dans ses fables, des Anciens mais aussi du folklore français et étranger. Il imite ses maîtres avec une grande liberté. Tout comme les personnages de Molière, ses personnages représentent toutes les couches sociales . En moraliste La Fontaine dépeint toute la société française de la seconde moitié du siècle. La recherche