Mithra

société tripartie. 1- Les origines indo-européennes de la tri-fonctionnalité Ces origines ont développé des théologies polythéistes auxquelles elle ont attribué des fonctions semblables et les mêmes valeurs. Les dieux : • Inde : Mithra, Indra, Acuin • Grèce : Zeus, Arès, Aphrodite • Rome : Jupiter, Mars, Quirinus • Gaule : Taranis, Toutatis, Lug • Germanie : Odiu, Thor, Froya Cette tripartition a fait l’objet des études indo-européennes. Il faut se souvenir que ces

prédécesseurs, il n’a pas attendu sa mort pour être proclamé divin mais il l’a fait lui-même. Il a fait, entre autres, remplacer la tête de plusieurs statues divines par sa propre tête. C’est avec Caligula que les cultes orientaux (Cybèle, Isis, Mithras, les Néo-Pythagoréens, le Christianisme) ont, pour la première fois, trouvé une certaine popularité à Rome. Après son assassinat, le sénat lui a refusé la déification. Bien que frère de Germanicus, neveu de Tibère et oncle de Caligula, Tiberius Claudius

consommation en Italie, sur le Rhin et le haut Danube[22]. Les échanges ne se limitent pas aux biens matériels : à côté des cultes populaires du nombreux panthéon gaulois, apparaissent dans les villes d’autres religions d’origine orientale : culte de Mithra, de Cybèle, de Jésus, attesté à partir de 177 (cf. les Martyrs de Lyon). Ce dernier culte deviendra prépondérant dans les milieux urbains à partir du IVe siècle. Le IIIe siècle voit se succéder les crises et les guerres civiles sur le sol gaulois

sa doctrine propres, où elle assimile bien des points pris aux religions et aux philosophes des différents peuples de l'Empire, dont les Juifs, mais aussi païennes, comme certaines de leurs dates ; Noël le 25 décembre pour concurrencer une fête de Mithra sans que la date exacte de la naissance du Christ soit connue (elle ne l'est toujours pas d'ailleurs). Le Christianisme ajoute donc une autre force : celle de son attrait universel ! En 303, Dioclétien demande aux chrétiens de reconnaître la nature

complètement débauché, orgiaque. Les Sévères 192 à 284 apr. JC : Septime Sévère, à Leptis Magna, administrateur autoritaire et qui ôte tout pouvoir au sénat. Il arrive à vaincre les parthes et crée la Mésopotamie. Favorable aux cultes orientaux (Mithra) et s’oppose au christianisme. Careacalla, né à Lyon, fils de Septime Sévère. En 212, il prend l’édit de citoyenneté et accorde la citoyenneté romaine à tous les habitants libres de l’Empire. Lutte à nouveau des parthes contre les alamans, il embellit

question de la mort, ils tentent d’apporter un espoir et d’éclaircir les hommes sur ce qui les attend après leur fin terrestre. Ces cultes apportent aussi une réponse, un espoir à leurs initiés de l’existence de quelque chose après la mort. Le culte de Mithra, par exemple, dieu indo-iranien, arrive à Rome au 3ème siècle ACN. Tout comme Dionysos en Grèce et Bacchus à Rome, qui est un culte public mais tenu secret par les bacchanales (introduites vers 300 ACN). Un scandale éclate en 186 ACN : un jeune

pendu». Jamais homme en place ne fut obligé de donner tant d'audiences aux dames. La plupart venaient lui parler des affaires qu'elles n'avaient point, pour en avoir une avec lui. La femme de l'Envieux s'y présenta des premières ; elle lui jura par Mithra, par le Zenda-Vesta, et par le feu sacré, qu'elle avait détesté la conduite de son mari ; elle lui confia ensuite que ce mari était un jaloux, un brutal ; elle lui fit entendre que les dieux le punissaient, en lui refusant les précieux effets de

résurrection. Ammonius, élève de Philon le Platonicien, les jugeait stupides, et le disait à des Grecs qui se moquaient des oracles. Marcellus et Jacob s'étaient joints. Le premier narrait au second le bonheur qu'il avait ressenti sous le baptême de Mithra, et Jacob l'engageait à suivre Jésus. Les vins de palme et de tamaris, ceux de Safet et de Byblos, coulaient des amphores dans les cratères, des cratères dans les coupes, des coupes dans les gosiers ; on bavardait, les cœurs s'épanchaient. Iaçim,

consommation en Italie, sur le Rhin et le haut Danube[22]. Les échanges ne se limitent pas aux biens matériels : à côté des cultes populaires du nombreux panthéon gaulois, apparaissent dans les villes d’autres religions d’origine orientale : culte de Mithra, de Cybèle, de Jésus, attesté à partir de 177 (cf. les Martyrs de Lyon). Ce dernier culte deviendra prépondérant dans les milieux urbains à partir du IVe siècle. Le IIIe siècle voit se succéder les crises et les guerres civiles sur le sol gaulois

résurrection. Ammonius, élève de Philon le Platonicien, les jugeait stupides, et le disait à des 185 Grecs qui se moquaient des oracles. Marcellus et Jacob s’étaient joints. Le premier narrait au second le bonheur qu’il avait ressenti sous le baptême de Mithra, et Jacob l’engageait à suivre Jésus. Les vins de palme et de tamaris, ceux de Safet et de Byblos, coulaient des amphores dans les cratères, des cratères dans les coupes, des coupes dans les gosiers ; on bavardait, les cœurs s’épanchaient. Iaçim,