Misère de la philosophie

génie » d'après Chateaubriand: les qualificatifs ne manquent pas pour décrire Blaise Pascal. Né en 1623 à Clermont-Ferrand, Pascal reçoit de son père une éduction inspirée des principes humanistes: il étudie les lettres, les mathématiques, la philosophie et se distingue très tôt par son intelligence. À 11 ans il compose un traité sur les sons et à 16 il publie un essai sur les coniques. Il invente une machine arithmétique, « la Pascaline », sorte d'ancêtre de la calculatrice. Il s'intéresse aussi

lecture de La Peste et du Premier Homme, il découvre un auteur français majeur du XXème siècle, Albert Camus, ayant reçu le Prix Nobel de littérature en 1957, qui s’inscrit dans la culture de son pays et s’impose comme un écrivain partisan de la Philosophie de l’absurde. La lecture des deux œuvres citées ci-dessus, permet alors aux adolescents un aperçu de la pensée de l’auteur, pour qui l’Homme ne doit pas se décourager face à sa solitude et son univers totalement dépourvu de sens, face à l’absurdité

1755 à Lisbonne, il y a eu un grand séisme qui a détruit la ville et qui a fait un très grand nombre de victimes. L’écrivain et philosophe Voltaire a été profondément touché quand il a appris la nouvelle et cet évènement l’a poussé à attaquer la philosophie de l’optimisme soutenue par des philosophes tels que Leibniz. Après cette catastrophe il ne pouvait plus supporter l’idée du ‘tout est bien’ et pour réagir il a écrit un long poème intitulé ‘Sur le désastre de Lisbonne’. Ce poème a été publié en

rébellion. Il enseigne alors les mathématiques et devient le disciple et secrétaire de Saint-Simon avec lequel il se brouille en 1824.Il étudie Monge, Condorcet, Montesquieu. Confronté à des difficultés financières, il ouvre, à son domicile un cours de philosophie positive qui rencontre beaucoup de succès. Il y expose sa théorie des trois états de l'esprit humain, qu'il compare aux stades de l'évolution de l'homme : théologique, ou fictif, dans sa jeunesse; métaphysique, ou abstrait, dans son adolescence;

faut d’abord comprendre que la religion, selon Marx, est tout d’abord une illusion, un monde fantastique produit par notre imaginaire, dans lequel l’individu se réfugie pour oublier sa propre misère (« la religion est le soupir de la créature opprimée » dit-il dans ce fameux passage de la Critique de la philosophie du droit de Hegel (1843) d’où est extraite la formule. La religion est une réponse à la souffrance par le moyen de l’espérance d’une vie meilleure, l’attente de la vie éternelle et la promesse

registre pathétique. En effet, on retrouve le champ lexical de la souffrance, avec des termes comme « misère » (l.1), « saisissent le coeur » (l.1), « manque » (l.1), « appréhendent » (l.2) et « malheureux » (l.8). Une autre spécificité du pathétique est de donner la souffrance « à voir », ici grâce aux expressions « à la vue » (l.10) et « L'on voit » (l.11). De plus, la première phrase (« Il y a des misères sur la terre qui saisissent le coeur » l.1) donne le ton au texte : toute la description des paysans

fugues. Une d'entre elles le conduira à Paris où il découvrira " la Commune ", un Paris dur et nouveau qui vivra peu . Dans ce Paris misérable qu'Hugo décrira dans les " Misérables ", Rimbaud décrira, lui, une scène qu'il aura vue, une scène de la misère des rues de Paris. Ce poème est issu des " poésies ", écrites en 1870. Le titre " Les Effarés " est un terme du symbolisme rimbaldien, revenant à grande reprise, notamment dans " Ophélie ", c'est l'oil darne, grand ouvert, ou encore la voyance.

il est éloigné à l’Université de Berlin en 1836. De 1836 à 1841 Karl Marx fait des études de droit, de philosophie et d’histoire. Il fréquente le milieu des jeunes hégéliens de gauche (disciples radicaux du grand philosophe Friedrich Hegel, 1770-1831). En 1841 il est reçu docteur en philosophie (Differenz der demokritischen und epikureischen Natur-philosophie, Différence de la philosophie de la nature chez Démocrite et Epicure) mais ne peut entrer dans l’enseignement comme il le souhaiterait à

Philosophie La sagesse est un idéal de vie qui permet de ne pas éprouver de compassion a l'égard des autres et ainsi accéder au bonheur. Aussi le texte de Sénèque, philosophe de l'école stoïcienne, dramaturge et homme d'Etat romain du Ier siècle de l'ère chrétienne, dans « De la Clémence » nous développe que la compassion peut avoir des effets négatifs, ceci

PRE-SOCRATIQUE Avant Socrate, il y avait les présocratiques qui n'étaient pas des philosophes à proprement parlé, mais plutôt des penseurs qui racontaient des mythes ou des poèmes, concernant les Dieux, l'origine de l'Homme, et la pensée ( philosophie ). Pensons à Homerg dans le naufrage ( l'odyssée ). Ses penseurs sont Tales et Pythagore ( il est peut être le premier à s'interroger sur un principe explicatif unique de l'univers ) → l'eau pour Tales → physicien Pythagore → père des Théorèmes