Minos

artifice comme le véritable visage du mari violent, ses traits humains n'étant qu'une image factice. En outre, l'environnement renvoie à la mythologie et une fois encore à la créature qui est censée avoir été enfermer dans un labyrinthe par le roi Minos, un lieu dans lequel la bête va sévir pour tuer ses proies. Or, le monde tel que Rosie le conçoit à tout de la figure labyrinthique. Lorsqu'elle s'échappe de l'emprise de Norman, elle est littéralement perdue, et la ville se présente alors comme un

préférer le séjour Au tumulte pompeux d'Athène et de la cour ? Quel péril, ou plutôt quel chagrin vous en chasse ? Hippolyte Cet heureux temps n'est plus. Tout a changé de face Depuis que sur ces bord les dieux ont envoyé La fille de Minos et de Pasiphaé. Théramène J'entends. De vos douleurs la cause m'est connue, Phèdre ici vous chagrine, et blesse votre vue. Dangereuse marâtre, à peine elle vous vit, Que votre exil d'abord signala son crédit. Mais sa haine sur vous autrefois

Dans la mythologie grecque, Phèdre (en grec ancien Φαίδρα / Phaídra, « Brillante ») est la fille de Minos, roi de Crète, et de Pasiphaé. Sommaire [masquer] 1 La légende 2 Mythes apparentés 3 Postérité 3.1 Théâtre 3.2 Cinéma 4 Notes et références 4.1 Sources 4.2 Notes 5 Voir aussi 5.1 Articles connexes La légende[modifier | modifier le code] Phèdre épouse Thésée, roi d'Athènes, qui, au retour de Crète, a abandonné sa sœur Ariane. Elle a avec lui deux fils, Démophon et Acamas. Tombée

le publique, pour éclaircir l’intrique et aider les spectateurs à comprendre la pièce. Comme dans toutes tragédies, le destin de Phèdre est malheureux mais son destin est malheureux à cause de sa famille car elle st désigne comme « la fille de Minos et de Pasiphaé ». En effet elle est une descendante de la ligne du soleil et cette périphrase rappelle le caractère divin et la fatalité de son destin. Dans la présentation de Phèdre par Hippolyte, on note le champ lexical de la haine : « fatale »

a fait arrêter ses nombreuses conquêtes amoureuses : « Ce héros n’attend point qu’un amante abusée… » (A.1, sc.1, v. 21) « Tout a changé de face, depuis que sur ces bords, le dieux ont envoyé, la fille de Minos et de Pasiphaé (Phèdre) » (A.1, sc.1, v. 34-36) Elle est la fille de Minos et de Pasiphaé. Ses origines sont nobles, son grand grand-père lui-même est le soleil : « J’ai pour aïeul le père et le maître des dieux, le ciel, tout l’univers est plein de mes aïeux » (A. 4, sc.6, v. 1275-1276)

cette évocation de Thésée et montrer ce qu’elle contient d’ironie tragique ? b) Analysez les vers 33-37 en montrant quel effet de rupture ils mettent en valeur et en commentant la paraphrase employée par Hippolyte pour désigner Phèdre « la fille de Minos et de Pasiphaé ». c) Commentez le vers 56. En quoi donne-t-il une indication sur les motifs énigmatiques du départ d’Hippolyte ? d) En quoi la curiosité du lecteur et du spectateur est-elle éveillée à la fin de ce passage ? II. Pour faire le point

chthoniennes, sataniques de dessous ? Le labyrinthe serait dans ce cas un "nœud" qui bloque toutes ces "forces" et sépare donc le profane du sacré dans un lieu saint. Cosmos était le sanctuaire de la hache, l'emblème du Roi, équivalent du Z de Zeus / Minos, la foudre qui relie la Terre au Ciel. Pour nous, Maçons, la hache est l'instrument qui sépare la pierre cubique à pointe en 2 parties, le terrestre et le céleste, au rite Français. Une autre origine du nom serait "labra" qui désigne les cavernes

dans la fable de La Fontaine, qui ruse, mais tout en oubliant son compagnon. Ou comme les Troyens, dans l’extrait de Attali, qui sont détruits, car ils ont manqué leurs paroles vis-à-vis de Poséidon, donc il demande aux rusés de le venger. Et comme Minos, dans le même extrait qui est puni pour avoir refusé de sacrifier le taureau promis à Poséidon, donc il obtiendra le même sort que les Troyens. Ensuite, par des héros humains, comme Ulysse, dans l’extrait de Balandier, qui a été vu comme le « modèle

renonce à l’épouser et la renvoie chez son frère en Galilée. ( Les lois de Rome interdisaient un empereur romain d’épouser une reine). Déchirés, les trois personnages décident de se séparer. Du côté des sources antiques, Phèdre, fille de Pasiphaé et Minos (roi de Crète,) est un personnage d’une tragédie de Jean Racine, qui porte son nom. Elle épouse Thésée, roi d'Athènes, qui au retour de Crète a abandonné sa sœur Ariane. Tombée amoureuse de son beau-fils Hippolyte (que Thésée a eu avec Antiope, la

de toutes ses souffrances était la mort. Elle est seul dans sa misère car même sa nourrisse Oenone a qui elle faisait confiance ne lui à rien dit : (v.1232)  « Tu le savais. », (v.1234 »ne pouvais-tu pas m'instruire ? ».Par l'héritage de son père Minos juge des Enfers elle c'est jugée elle même coupable de ses souffrances pour avoir aimé Hippolyte. Elle ne pouvait rien faire face a se couple innocent : (v.1238)  « approuvait l'innocence », (v.1240) « clairs et sereins pour eux ». Nous avons donc