Mine

les soldats qui se mettent à tirer sur les manifestants, Maheu, l'ouvrier chez qui Étienne avait logé, est tué. Les mineurs reprennent le travail. C'est alors que Souvarine, un ouvrier anarchiste, sabote la mine. Quelques mineurs meurent. Étienne, Catherine et Chaval, sont bloqués dans la mine. Chaval provoque Étienne qui le tue. Il devient enfin l’amant de Catherine qui meurt dans ses bras avant l'arrivée des sauveteurs. Étienne sort vivant de cet enfer et repart pour vivre à Paris. Personnages

rejoindre Montsou, quand il apercevait "deux feux rouges". Ceci pour montrer la réalité de la mine à cette époque, c'est pourquoi après avoir étudié les caractéristiques de ce roman nous verrons comment l'auteur à su placer un tel réalisme transformé par la suite en vision métaphorique dans cet incipit de germinal. 1) GERMINAL : UN INCIPIT REALISTE Une description rigoureuse et précise des paysages de la mine et du nord de la France, avec la "survie" d'un ouvrier vagabond dans se monde, font de ce

L’intrigue se déroule dans le bassin minier du nord de la France et décrit la dure vie des mineurs de la seconde révolution industrielle, ainsi que l’organisation politique et syndicale de la classe ouvrière. En 1884 , Pour écrire le roman, Zola visite la mine de la société minière d’Anzin, la plus importante de son temps. Zola est le chef de file du mouvement naturaliste, en effet le roman a une ambition naturaliste, donc décrire la vie des ouvriers d’une manière réaliste mais Zola ne respecte pas totalement

Catherine, de Jeanlin, d'Alzir, de Lénore, Henri et la dernière Estelle. Dans cette famille ils sont cinq à travailler à la mine, il y a Maheu, Zacharie, Catherine, Jeanlin et le vieux Bonnemort qui lui travaille de nuit. Un jour un jeune homme se prénomant Etienne ancien machineur venant de Lille alla voir Maheu pour lui demander si il n'y avait pas du travail pour lui à la mine. Maheu le prend dans son équippe. Durant les premiers mois il va vivre dans une chambre d'hôtel chez Rasseneur un ancien

brusquement devant lui. Il fait la rencontre d’un homme âgé, un charretier surnommé Bonnemort, qui lui apprend que la fosse devant eux est la mine de Voreux. On apprend que le jeune homme est Étienne Lantier, et qu’il erre sur les routes depuis une semaine à la recherche d’un emploi. Il se renseigne auprès du vieux, sans succès il n’y a pas de place pour un machineur à la mine. Chapitre 2 Le deuxième chapitre est l’occasion de la présentation de la famille Maheu, dont le vieux Bonnemort est le grand-père. Toussaint

travail, arrive à la mine de Montsou et découvre le Voreux. Avec cette plongée dans le monde des mineurs, Zola ouvre tout un pan de la société moderne, celle de la lutte du Capital et du Travail. Mais au sein de la peinture réaliste et souvent technique du travail des mineurs, le romancier construit aussi une représentation mythologique, donnant un souffle épique à ses descriptions et faisant du naturalisme un art visionnaire. Sous le regarde d’Etienne Cette scène de la mine est toute entière vue

ont ainsi été perdus faute d’eau. D’après les constats, l’appauvrissement de la ressource hydrique est due au pompage excessif effectué par la SMI. Plusieurs canalisations partent de plusieurs puits et convergent vers la mine qui consomme de grandes quantités d’eau. La mine utiliserait 1555 m3 d’eau par jour, soit plus de 12 fois la consommation journalière de tous les habitants de Imider. Si la situation devait perdurer, elle menacerait directement la vie dans cette localité. __________

I- Condition ouvrière au XIXème siècle 1)La mine 1-La condition du mineur Les dangers de la mine Lorsque les mineurs parlent de la mine, ils la décrivent comme l'enfer. Il y a tout d'abord leur environnement : très humide et des températures étouffantes pouvant atteindre jusqu'à 50°c. Il fait tellement chaud dans la fosse que certaines personnes, pour se désaltérer, boivent l'eau sale coincée entre les rails et dans les abreuvoirs pour les chevaux. Déjà avec ceci, les conditions sont épouvantables

précise et objective de ce milieu souterrain, la mine est décrite dans ce livre comme une véritable fournaise où les mineurs travaille à cinq cent cinquante- quatremètres. De plus, la mine est apparentée à un labyrinthe « boyaux géants ». Nous pouvons également affirmer que ce récit est fataliste car plusieurs éléments appuient la notion du fatalisme. Lapersonnification de la mine est l’une des choses les plus marquante de ce texte. En effet, la mine est ici décrite comme un monstre affamé « avalait

capitalisme, Etienne Lantier découvre le « Voreux », le plus grand puits de la mine où il vient de se faire embaucher. Qu’est-ce qui donne un effet réaliste au texte ? Nous verrons dans un premier temps les éléments qui donnent un effet réaliste au texte et dans un deuxième temps les réalités de la mine grâce à sa dimension symbolique. En quoi ce texte critique-t-il et dénonce-t-il les conditions de travail dans la mine ? Nous traiterons ce commentaire en deux points fondamentaux. En première partie