Microcrédit Outil De Lutte Contre La Pauvreté

les populations les plus démunies ou exclues des circuits financiers traditionnels. Les individus les plus pauvres sont confrontés à des risques particuliers et sont plus vulnérables du fait de leur pauvreté. Aujourd’hui près de quatre millions de personnes vivent en dessous du seuil de pauvreté. Dans les pays dits développés, ce sont les exclus des circuits financiers qui sont les plus vulnérables. Les entreprises d’assurance ont donc « du pain sur la planche ». Les assureurs présents sur

taux bruts de scolarisation sont passés de 41 à 84% pour les filles et de 53 à 88 % pour les garçons au cours de la même période (voir Figure 1, p.3). La sédentarisation des populations nomades (qui représentaient 12% de la population en 1988, contre 73 % en 1965) a bien facilité la scolarisation des enfants, mais la baisse marquée des disparités correspond surtout à la mise en œuvre d’une politique publique qui a fait de l’enseignement fondamental une priorité. L’une des mesures les plus

: LES OUTILS D’AIDE A LA DECISION SECTION I : LE TABLEAU DE BORD ET LE PLAN MARKETING A) Le tableau de bord B) Le plan marketing SECTION II : LES RATIOS PRUDENTIELS COBAC A) Les ratios prudentiels B) Les règles prudentielles SECTION III : LES NORMES DE GESTION A) Les ratios d’analyse de la qualité du portefeuille B) Les ratios d’analyse de l’efficacité de l’EMF Conclusion Aujourd’hui le secteur de la Microfinance apparaît comme un des vecteurs majeurs de lutte contre la pauvreté

quartier 18 2.4.3. La plateforme de services 19 2.4.4. Le troc 20 2.4.5. Les achats collectifs 20 2.4.6. Le système de rémunération des volontaires d’Abaquar 20 2.5. L’aide aux projets 22 2.5.1. Une aide personnalisée 22 2.5.2. Le microcrédit 23 2.5.3. La formation 24 2.6. Les « hortas colectivo-individuales » 24 2.7. Le développement de la phytothérapie a Santo Antonio 25 2.8. Implantation de la stévia 26 2.9. La « réorganisation » d’Abaquar 27 III. LE MANAGEMENT INTERCULTUREL

Même si les approches ne sont pas encore unifiées entre les trois champs économique, environne mentalsocial, la théorie économique apporte certaines réponses et dans chacun de ces trois domaines. Le travail à mener est alors une mise en cohérence des outils et des concepts afin d'identif ier démarche économique globale pour servir le dévelop une pement durable. L'approche économique du développement durable comme fondement d'une hiérarchisation des biens collectifs globaux La nécessaire réconciliation

UMOA : Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest : Commission Bancaire de l'UMOA : Consultative Group to Assist the Poor : Distributeur Automatique de Billets : Etablissement Teneur de Comptes : Fédération Nationale des Associations de Microcrédit. : Institution de MicroFinance : Programme d'Appui à la Réglementation des Mutuelles d'Epargne et de Crédit dans l'UMOA. : Real Time Gross Settlement : Systèmes Financiers Décentralisés : Système Interbancaire de Compensation Automatisée de l'UEMOA

Introduction 6 Avertissement méthodologique 9 Objectif 1 : Réduction de l’extrême pauvreté et de la faim 10 Cible 1.A : Réduire de moitié, entre 1990 et 2015, la proportion de la population dont le revenu est inférieur à un dollar par jour 10 1. 2. Le diagnostic L’analyse des contraintes et obstacles à la réduction de la pauvreté 10 14 15 16 3. Les propositions d’orientation pour améliorer le rythme de réduction de la pauvreté 4. Les perspectives Cible 1.B : Assurer le plein-emploi et la possibilité

répertorier les actions antérieures des organismes nationaux ou internationaux et en faire ressortir les bons coups et les échecs; 2- Analyser la responsabilité sociale des acteurs impliqués dans le secteur agroalimentaire et dans la lutte contre la faim et la pauvreté au Burundi; 3- Repérer les mécanismes de coopération entre les services publics et les instances internationales ainsi que l’implication de la société civile 4- Connaître les forces et les faiblesses de la population burundaise ainsi

progressivement. L’étude des nouvelles approches qui se font jour dans le domaine de la lutte contre la pauvreté illustre cette évolution en cours. Les notes de l’Institut — Janvier 2010 9 L’entreprise de l’après-crise – Renouveler la contribution de l’entreprise à la cohésion sociale L’émergence des « market-based solutions » relève en effet d’un renouvellement profond de l’action des entreprises contre la pauvreté, à travers deux types de mécanisme qui se placent dans le prolongement de leur

histoire. Des systèmes de tontines existent depuis plusieurs siècles en Afrique et en Asie. En Irlande, lors des grandes famines du 17éme et du 18éme siècle, le penseur Jonathan Swift prône le principe du micro prêt, qui permet de rompre le cycle de la pauvreté. Il met en place le système irlandais de fonds pour prêt qui soutiendra jusqu’à 20% des familles irlandaises chaque année. En Allemagne, en 1848, le maire Friedrich Raiffeissen cherche à freiner les usuriers dans leur méthode d’application d’intérêt