Microcosme De La Pension Vauquer

de sa classe : le luxe n’est pas entré dans sa salle à manger où une table carrée, une chaise à patins garnie de coussins et deux fauteuils de canne n’ont rien de remarquable si ce n’est leur commodité. Une incurie annonciatrice du décor de la pension Vauquer, dans Le Père Goriot, menace même avec « le gros taffetas ciré que, par un usage immémorial, mademoiselle Gamard laissait pendant le déjeuner sur la table, sans avoir égard ni aux bords usés ni aux nombreuses cicatrices de cette couverture »13

chủ ngân hàng :Nam tước Nucingen Sau khi lấy chồng hai cô con gái và chồng của họ tìm đủ mọi cách để bòn rút tài sản của lão. Họ không chấp nhận địa vị thấp hèn của lão và đuổi lão ra khỏi nhà. Lão phải ra ở trọ trong quán trọ của mụ Vauquer Ở quán trọ của mụ Vauquer có một số khách thuê phòng dài hạn: Cô Victorine, con gái nhà tư sản Taillefer, bị cha ruồng bỏ để dồn của hồi môn cho con trai, tên tù khổ sai vượt ngục với tên Vautrin, anh chàng sinh viên luật Rastignac từ tỉnh lẻ đến học ở Paris

personnage malmené  Le XIXe s., avec ses rebondissements historiques et ses mutations sociales, laisse émerger des personnages atteints du «mal du siècle », affadis, fragiles, analysés sans ménagement à travers le regard lucide du romancier. Tout un microcosme voit le jour sous la plume de Stendhal, Balzac, Flaubert, Maupassant, Zola, peuplé d’êtres plus ou moins armés pour affronter le monde. Zola va jusqu’à déposséder ses personnages de toute volonté : ils ne sont que la résultante de circonstances

personnage malmené ☛ Le XIXe s., avec ses rebondissements historiques et ses mutations sociales, laisse émerger des personnages atteints du «mal du siècle », affadis, fragiles, analysés sans ménagement à travers le regard lucide du romancier. Tout un microcosme voit le jour sous la plume de Stendhal, Balzac, Flaubert, Maupassant, Zola, peuplé d’êtres plus ou moins armés pour affronter le monde. Zola va jusqu’à déposséder ses personnages de toute volonté : ils ne sont que la résultante de circonstances

personnage malmené ☛ Le XIXe s., avec ses rebondissements historiques et ses mutations sociales, laisse émerger des personnages atteints du «mal du siècle », affadis, fragiles, analysés sans ménagement à travers le regard lucide du romancier. Tout un microcosme voit le jour sous la plume de Stendhal, Balzac, Flaubert, Maupassant, Zola, peuplé d’êtres plus ou moins armés pour affronter le monde. Zola va jusqu’à déposséder ses personnages de toute volonté : ils ne sont que la résultante de circonstances

une forme de génie et de toute-puissance dans leurs entreprises néfastes, tel Vautrin ; voir aussi l’opposition entre la jeune fille pure et la femme ambitieuse et intrigante). Honoré de Balzac, Illusions perdues (1837) • Observer la pension Vauquer comme microcosme social. • La société parisienne est vue à travers les yeux d’un nouvel arrivant (Rastignac) qui doit en apprendre les codes. Il découvre notamment le règne de l’argent, et le conflit entre celuici et les valeurs traditionnelles qui lui

seigneurs. La supériorité du chevalier s’exprime symboliquement par sa position dominante d’écuyer perché sur son cheval. On pourra se fonder sur la symbolique multiple de la Table ronde pour montrer que, pour le Moyen Âge, ici-bas et au-delà, microcosme et macrocosme obéissent au même principe d’ordre, et que le monde terrestre reflète une ordonnance divine. ... à vous de circuler dans l’histoire... (p. 30) 1. La place de la lumière dans l’esthétique médiévale À ce stade de la découverte

d’actions du passé par rapport à un moment écrit également au passé. Dans ce récit de la visite d’une femme et de son fils, le voyage pour parvenir jusqu’à la maison du narrateur, la mort accidentelle du fils cadet et sa décision de mettre l’aîné en pension, sont antérieurs au récit au passé simple de cette visite : « elle fit même signe à la dame de se taire » (l. 13). L’utilisation du plus-que-parfait fait entendre la voix de la mère de Meaulnes comme l’indique la précision « à ce qu’elle nous

et, qu’à cela ne tienne, musicales. Il traduit le Traité des délits et des peines, de Beccaria et réfute le Commerce des blés, de Galiani. Ses amis le font entrer à l’Académie. C’est au moment où le fils du modeste marchand lyonnais peut jouir des pensions et des honneurs qu’il s’est acquis à la force du poignet qu’éclate la Révolution. La tourmente qui, rétrospectivement, nous semble couronner l’effort des philosophes, l’afflige et l’effare. L’Académie est supprimée, les riches protecteurs doivent

sociétés plus que d’une société, d’un monde qui évolue, la fiction peut montrer comment un personnage peut s’attacher à un monde disparu, éprouver la nostalgie d’une société qui n’existe plus au point de reconstituer le théâtre de ce véritable microcosme dominé par des codes et des rites désuets (textes 3 et 5). Par ce biais, le roman retrouve ses origines : faire renaître des personnages, reflets d’un monde disparu à jamais. Mais c’est encore le pouvoir du roman que d’en maintenir l’image.