Microalgue

métal dans la fabrication des voitures. On nous annonce cependant depuis la fin du XXe siècle que cette énergie est vouée à la disparition. L'or vert remplacera-t-il l'or noir ? Or vert : L'or vert est un « carburant de synthèse à base de microalgues, aussi puissant que les énergies fossiles.[I] » C'est dans la Silicon Valley que cette algue est transformée en combustible, en huile, elle est utilisée dans l'industrie chimique et elle est aussi de vocation alimentaire. De plus, elle a une autre

biocarburant : La palme de l’énergie la plus étrange est attribuée à… l’énergie à base d’algue. Par photosynthèse, les microalgues oléagineuses (riches en huile) produisent des triglycérides, susceptibles d'être transformés en biocarburant. Un processus naturel que les chercheurs tentent d'intensifier en différentes étapes. Comme vous l'aurez donc compris, les microalgues pourraient présenter un véritable potentiel dans la recherche du carburant "parfait". Serait-ce donc une simple question de

d'avenir à quelles conditions ? - themavision.fr http://www.themavision.fr/jcms/rw_348681/les-algues-filiere-... Pourquoi ce site ? La création de biocarburants de 3ème génération à base de biomas une réalité, mais elle nécessite la culture de microalgues à grande échelle encore des problèmes. Bactéries marines Accès abonnés Identifiant •••••••••••• Mémoriser Mot de passe oublié ? OK Ces bactéries contribuent à la fabrication des biopolymères ou des biosourcés sont destinés à remplacer

laboratoire de génie des procédés environnement alimentaire, à Nantes, travaille sur les microalgues. L’une d’entre elles, la Chlamydomonas reinhardtii, est capable de produire de l’hydrogène. Or l’hydrogène se substitue au pétrole comme carburant, c’est une solution très écologique puisque les voitures ne rejettent que de l’eau. Selon certaines hypothèses, il suffirait de couvrir 1% de la surface de la France de cette microalgue pour satisfaire aux besoins énergétiques de notre pays. La voiture hybride

filière « huile » (c’est pour le Diesel).  Les microalgues peuvent accumuler des acides gras jusqu'à 80% de leur poids sec ce qui pourrait permettre des rendements à l'hectare supérieurs à 30 fois celles d’espèces oléagineuses terrestres (colza, tournesol). La biodiversité des microalgues est énorme : on estime qu’il y a entre 200 000 et plusieurs millions d’espèces. Cette diversité constitue un fort potentiel pour la recherche et l’industrie. Ces microalgues répondent à de nombreux problèmes environnementaux

huile De nombreuses espèces végétales sont oléifères comme par exemple le karanj, la pourghère (Jatropha curcas), le palmier à huile, le tournesol ou le colza. Les rendements à l'hectare varient d'une espèce à l'autre et sont exceptionnels avec les microalgues[5] [6] [7] [8][9]. À noter que des huiles de fritures usagées, des huiles d'abattoirs ou de poissonneries, des huiles de vidange peuvent également être utilisées[10]. Un homme d'affaires norvégien, Lauri Venoy, s'intéresse d'ailleurs à l'utilisation

l’eau ; C’est le procédé dit à lit mélanger. L’eau qui en sort a une trais faible conductibilité, elle est débarrassé des électrolytes mais elle n’est pas « propre », d’autant moins que les résines sont souvent souillées par des bactéries et des microalgues qui s’y développent. 3. L’eau stérilisée : L’eau stérilisée est a la fois déminéralisé et débarrassés de tous les microorganismes. Elle peut être obtenue de façon : • Par distillation : c’est-à-dire par ébullition suivies d’une condensation

d’une lessive standard avec un cycle court, une eau de dureté moyenne et un linge moyennement sale. Nous avons réalisé trois tests complémentaires incluant le monde animal (microcrustacés des familles daphnies et cériodaphnies) et le monde végétal (microalgues) ainsi que des toxicités à court, moyen et long terme. Nous avons recherché quelle concentration du bain de lavage était capable : 1) d’immobiliser des daphnies (espèce daphnia magna) sur quarantehuit heures ( toxicité aïgue à court terme) ; 2)

alimentaire. En effet l'absorption d'espèces filtreuses ( comme le plancton ) dans lesquelles s'accumulent les toxines entraîne la contamination de certains gros mammifères (baleines) et donc leur décès. Cependant certaines espèces de levure et de microalgues appelées «hydrocarbunoclastes» possèdent des enzymes capables de digérer les molécules présentes dans le pétrole par des phénomènes d'oxydation. La nature participe donc à la dégradation et à la disparition du pétrole. 

riches en glucides (bettrave, canne à sucre, blé maïs, pomme de terre) dont la fermantation libère de l’éthanol ; soit ils résultent de la transformation de végétaux non alimentaires tels que les résidus du bois, les déchets agricoles ou bien les microalgues marines. Nous connaissons « Boire ou conduire, il faut choisir ! » Maintenant, on entend « Manger ou conduire, il faut choisir ! » Qu ‘en est-il vraiment ? I. Des problèmes à résoudre, des défis à relever Premièrement, la population mondiale est