Mickie James

Captain America A. Présenter et situer une œuvre. C’est une bande dessinée américaine intitulée « Captain America ». C’est le numéro 78 paru en septembre 1954 aux éditions Atlas Comics (Ancienne appellation de Marvel Comics). Le scénario est réalisé par Stan Lee et elle est dessinée par John Romita. Cette BD est née en décembre 1941 durant la seconde Guerre Mondial. Captain America affrontait alors les nazis et les japonais. Ce numéro parait pendant la guerre froide, ses principaux adversaires

enchaînés (Notorious) et Sueurs froides (Vertigo) – tous deux sur le thème de l'obsession et de la névrose d'hommes manipulant des femmes. Sueurs froides (Vertigo) explore en détail les relations entre le sexe et la mort. Dans ce film, bien que James Stewart sache que Kim Novak n'est qu'un accessoire du crime, ils ne peuvent s'empêcher de tomber amoureux l'un de l'autre. Le personnage de Stewart ressent un besoin violent de contrôler sa compagne, de l'habiller, d'adorer ses vêtements, ses chaussures

continent noir africain où il est remplacé par les scarifications. Le mot même de «tatouage», très récent en français, vient du tahitien tatau, qui signifie «dessin». L ’expression est composée de ta, qui veut dire «frapper, faire une incision». C’est James Cook qui transcrit le terme en tattow puis tattoo. De plus, en polynésien, ta signifie «dessin» et atours, «l’esprit ou les esprits». Le tatouage est un art abstrait esthétiquement structuré bien qu’il soit formé de points et de traits apparemment élémentaires

que se multiplient les découvertes : Wallis débarque à Tahiti en 1767, suivi par Bougainville en 1768, qui lui donne le nom idyllique de "Nouvelle Cythère", faisant ainsi fantasmer l'Europe sur ces îles lointaines du Pacifique Sud. Le Capitaine James Cook visite trois fois Tahiti de 1769 à 1777, ainsi que les Iles-sous-le-Vent, les Marquises et les Australes. L'histoire de la conquête du Pacifique est marquée par une lutte d'influence entre l'Angleterre et la France jusqu'à ce que la reine Pomare

utilisées pour le bouquet et une forme presque caricaturale. Le vase que l'on suppose en rocaille, une pierre brute où l'on incruste des coquillages, nous rappelle la composition et le style des toiles du célèbre peintre expressionniste Belge, James Ensor grâce aux couleurs vives, et dont la ligne fantaisiste renvoie aux enroulements d'un coquillage, objet très souvent représenté par Léon de Smet dans ses natures mortes et comme on peut l'observer sur cette toile a droite du vase. Bouquet

Critique cinématographique : « Skyfall » de Sam Mendes J’ai trouvé ce film très prenant et d’une originalité des plus surprenantes pour un « James Bond ». Tout d’abord, je trouve que le réalisateur parvient de manière remarquable à nous faire prendre conscience que James Bond n’est pas surhumain. En effet, c’est la première fois que l’on dévoile ses faiblesses, comme par exemple lorsqu’il réalise ses tests afin de pouvoir retourner sur le terrain, et que l’on s’aperçoit qu’il ne les a pas

aspirateur sans moteur il a inventée l’aspirateur motorisé avec sacs pour des raisons hygiénique et pour facilitée la vie des ménagers. Mais cette aspirateur été très grand, prenait de la place et il fallait le branchez a une prise donc pour cela James Dyson a inventé l’aspirateur balai sans fil qui est moins puissant mais plus efficace et plus confortable. Mais maintenant l’évolution des aspirateurs a beaucoup évoluer car depuis les années 2000 il y a des aspirateurs robots inventé par les américains

Timothée, étudiant d’une prestigieuse école de commerce parisienne, passionné de films d’espionnage, vient de gagner une forte somme au loto, en misant notamment sur les chiffres 0 et 7. Inconditionnel de James Bond, et disposant maintenant de moyens financiers importants, il a repéré sur E-Bay France une Aston Martin à vendre, une DB5 de 1962 gris métallisé, pour la somme de 10.000€. Le vendeur, Jean-Philippe, un viticulteur de Bordeaux amateur de Sean Connery récemment devenu fanatique de J.

est le Titanic et de voir par quel procédé cinématographique ce fait historique pouvait être recréé. Nous avons choisi le Titanic car la période correspond à notre programme d’histoire. De plus nous apprécions toutes les trois le film Titanic de James Cameron tiré de ce fait historique. A la quatrième séance nous avons défini clairement la problématique suivante : « Comment les arts (d’un point de vue cinématographique » permettent-ils de reconstituer l’histoire du Titanic ? » Pour répondre

Kealakekua Bay, 1778. Le capitaine James Cook a 50 ans quand il jette l'ancre de son navire aux Iles Sandwich (Hawaii). Sa troisième expédition au service de la marine royale anglaise a commencé deux ans plus tôt et, sur la route du retour, il mouille dans cette baie de Kealakekua. L'explorateur reconnaît le même type d'indigènes qu'il avait rencontrés lors de sa seconde expédition dans le Pacifique, aux Iles de la Société (Tahiti). Il remarque qu'eux aussi s'adonnent au plaisir des vagues. Ces