Meurs un autre jour

des voyages moi j'étais sédentaire Que je fasse des chansons qui m'emmènent au sourire J'y peux rien moi je n'ai que des larmes à leur dire Et des plaines de pluie pour unique empire Quand je serai parti que lira mes poèmes Un autre romantique qui se verra en moi il se dira s'en doute oh c'est beau comme il l'aime Mais qu'il sache que je n'ai jamais aimé que moi Qu'au lit ou dans le coeur l'égoïsme est la mère des générosités Que les femmes me pardonnent de n'être

vous. Point de serment, point de vaine promesse : Si jeune encore, on ne les connaît pas ; Son âme pure aimait avec ivresse, Et se livrait sans honte et sans combats. Elle a perdu son idole chérie ; Bonheur si doux a duré moins qu'un jour ! Elle n'est plus au printemps de sa vie : Elle est encore à son premier amour. Marceline Desbordes-Valmore. On a choisit ce poème parce qu’il parle d’une fille que pensait que son premier amour aller durer toute la vie mais elle s’est

qui vivez si peu, pourquoi cette promesse Qu'un élan d'espérance arrache à votre coeur, Vain défi qu'au néant vous jetez, dans l'ivresse D'un instant de bonheur ? Amants, autour de vous une voix inflexible Crie à tout ce qui naît : "Aime et meurs ici-bas ! " La mort est implacable et le ciel insensible ; Vous n'échapperez pas. Eh bien ! puisqu'il le faut, sans trouble et sans murmure, Forts de ce même amour dont vous vous enivrez Et perdus dans le sein de l'immense Nature, Aimez donc

1ère strophe 1- Adresse à la 2ème p.pluriel = un hymne qui s’adresse aux fusillés comme s’ils étaient encore vivants. 2- Succession de négation niant les marques d’honneur = humilité des fusillés, qui ont accompli leur devoir sans aspirer à autre chose. Solennité de la strophe ( oraison funèbre de ce poème composé à l’occasion d’e l’inauguration d’une plaque commémorative 3- Référence au passé et à leur exécution = 11 ans de quasi oubli (tant d’années pour reconnaître leur martyr)

XVI°siècle Pierre de RONSARD Les odes de jeunesse : XI. "A Cupidon" Le jour pousse la nuit, Et la nuit sombre Pousse le jour qui luit D'une obscure ombre. L'Autonne suit l'Esté, Et l'aspre rage Des vents n'a point esté Apres l'orage. Mais la fièvre d'amours Qui me tourmente, Demeure en moy tousjours, Et ne s'alente. Ce n'estoit pas moy, Dieu, Qu'il falloit poindre, Ta fleche en autre lieu Se devoit joindre. Poursuy les paresseux Et les amuse, Mais non pas moy, ne ceux Qu'aime

procède à une transmutation du langage, qui vivifie les lieux communs D. Dissertation Jean Cocteau définit dans les termes suivants l’effet que doit provoquer la poésie chez le lecteur : « lui montrer ce sur quoi son cœur, son œil glissent chaque jour, sous un angle et une vitesse tels qu’il lui paraît le voir et s’en émouvoir pour la première fois ». Dans quelle mesure partagez-vous cette conception de la poésie ? Vous répondrez à cette question en un développement argumenté, appuyé sur les textes

poème les attributs du temps sont toujours en fonction sujet, et jamais l'homme. - Le poème est formé de 24 alexandrins, le rythme es régulier, comme pour signifier que le temps est toujours le même, les 24 vers peuvent faire penser aux 24 heures d'un jour. II- Un avertissement contre la mort 1) L'horloge suggère à l'homme de profiter - l'horloge tutoie l'homme vers 3 "ton coeur" vers 25 "tout te dira" ce qui crée une proximité, mais le ton fatal ressenti dans le discours de l'horloge ne met pas

le réglage, l’entretien, le contrôle… C’est alors une limite de la division verticale du travail de l’OST qui séparait le travail de conception et d’exécution. Les idées de F.Herzberg ont permis de développer le management participatif, qui a vu le jour dans les années 1990 aux Etats-Unis. Le principe du management participatif est de faire participer les individus aux décisions notamment à propos de l’organisation du travail et de la répartition des tâches afin qu’ils deviennent plus performant.

 Emmanuel KantMémoires Saint-SimonPuyguilhem et le Roi Saint-SimonL'essai RousseauLettre à d'Alembert RousseauDiscours sur l'origine de l'inégalité RousseauDiscours sur l'origine de l'inégalité autre extraitRousseauDiscours sur l'origine de l'inégalité autre extraitRousseauDiscours sur l'origine de l'inégalité autre extraitRousseauLe paysan parvenu Incipit MarivauxTahiti ou le jardin d'Eden BougainvilleLettres d'une Péruvienne lettre 34 De GraffignyL'An 2440, Rêve s'il n'en fut jamais Chapitre VI L.S.

tien un glaive dans la main gauche construite par Arno Breker qui se trouve sur un socle a gauche de l’entrée de la nouvelle chancellerie a Berlin en 1939 Biographie de l’auteur Arno Breker nait le 19 juillet 1900 dans sa ville natal a Elberfeld et meurs le 13 février 1991 a Düsseldorf Fils d'un sculpteur et tailleur sur pierre, il étudie les beaux-arts dans sa ville natale d'Elberfeld (Rhénanie du Nord) puis à Düsseldorf. D'abord intéressé par l'art abstrait, il se tourne progressivement vers les