Metaphore Nazi La Peste

  le   déclin  d’une  civilisation.       Affiche  du  film  Nosferatu   Le  thème  du  mal  :  on  a  à  la  fois  un  vampire  et   une  épidémie  de  peste.   Le   surnaturel,   autre   thème   important   du   film.   Sous-­‐titre   célébrissime  :   «  Quand   il   eu   passé   le   pont,   les   fantômes   vinrent   à   sa   rencontre

à la saignée de la guerre de 14-18 d'où sorti- Mais l'Occupation allemande fait naître des mouvements ront le communisme soviétique avec Lénine puis Staline de Résistance qui ont aussi l'ambition de transformer la et les fascismes mussolinien puis nazi. L'après-guerre France, ce qu'entreprend le gouvernement du général de est en effet un temps de tensions internationales et so- Gaulle à la Libération avec des nationalisations éconociales avec des crises économiques graves (1929) et des miques et une

» = colloque. On va d'abord mettre en évidence que les métaphores et les processus de métaphorisation sont très importantes dans l'écriture juridique. D'autre part, on va s'intéresser au droit comme roman collectif. Le concept de personne nous vient du droit romain , son origine est le masque, métaphore qui vient des romains. Les métaphores ont beaucoup plus de place qu'on ne le pense, c'est une manière d'amener vers un concept. Une métaphore est une comparaison sans outil de comparaison, c'est une

essentielle du droit ceci dés l’antiquité. * TEXTE 16 : Ethique à Nicomaque : Aristote « éthique » = synonyme moral livre écris par Aristote à son fils Nicomaque «  En cas contestation ont a recours aux juge » En gros il utilise métaphore suivante : dans un rapport entre 2 individu chacun à celui qui lui revient «  a chacun ce qui lui revient de droit » * Ce que mon voisin possède psk il l’a acquis  légalement : situation inégalité = situation inégalité proportionnel *

sens vraiment maître des dieux. Mercure Alors vous voilà vraiment homme !… Allez-y ! Mercure disparaît. Jean Giraudoux, Amphitryon 38, acte I, scène 5, 1929. Texte 2 Dans une petite ville, les habitants se transforment peu à peu en rhinocéros, métaphore de la barbarie. Bérenger, venu rendre visite à son ami Jean, assiste à cette transformation. Bérenger Parlez plus distinctement. Je ne comprends pas. Vous articulez mal. Jean (toujours de la salle de bains) Ouvrez vos oreilles ! Bérenger Comment

la pègre de Chicago. Candide eut le mérite de le distraire. Adolf Hitler: Dictateur, arrivé au pouvoir en Allemagne par hasard, il fit pire que tout ce que la pire imagination aurait pu imaginer. Albert Camus : Ecrivain français, auteur de « La Peste ». Cacambo : Jeune noir américain que Candide sauva de la mort. Ami du héros. Candide : Héros de l’Histoire qui ne vieillit pas. Amoureux inconditionnel de la Paix et un peu de Cunégonde. Cunégonde : Fille du baron de Westphalie. Candide en est

monde inconstant, soumis à des métamorphoses et au jeu des apparences. Le Texte 2 présente des associations surprenantes entre des réalités à première vue dissemblables par le jeu des comparaisons (La terre est bleue comme une orange, v. 1) et des métaphores (Les guêpes fleurissent vert, v. 10 ; Un collier de fenêtres, v. 12) : on reconnaît aisément la logique associative et poétique du surréalisme. L’emploi du vers libre, l’absence quasi totale de ponctuation, la technique du « collage » entre les

sacrifice par le feu d’un animal après immolation, qui fut pratiqué par les Grecs dans le cadre des rituels chtoniens, comme par les Hébreux. En 1894, Bernard Lazare avait utilisé le terme pour parler des juifs brûlés vifs pendant la peste noire, au Moyen Âge : «Quand la peste noire ou la faim sévissait, on offrait les Juifs en holocauste à la divinité irritée.» (‘ ’L’antisémitisme. Son histoire et ses causes’’ ). Cependant, pour la tradition juive, un holocauste est un sacrifice

sacrifice par le feu d’un animal après immolation, qui fut pratiqué par les Grecs dans le cadre des rituels chtoniens, comme par les Hébreux. En 1894, Bernard Lazare avait utilisé le terme pour parler des juifs brûlés vifs pendant la peste noire, au Moyen Âge : «Quand la peste noire ou la faim sévissait, on offrait les Juifs en holocauste à la divinité irritée.» (‘’L’antisémitisme. Son histoire et ses causes’’). Cependant, pour la tradition juive, un holocauste est un sacrifice offert à Dieu pour lui être

sacrifice par le feu d’un animal après immolation, qui fut pratiqué par les Grecs dans le cadre des rituels chtoniens, comme par les Hébreux. En 1894, Bernard Lazare avait utilisé le terme pour parler des juifs brûlés vifs pendant la peste noire, au Moyen Âge : «Quand la peste noire ou la faim sévissait, on offrait les Juifs en holocauste à la divinité irritée.» (‘’L’antisémitisme. Son histoire et ses causes’’). Cependant, pour la tradition juive, un holocauste est un sacrifice offert à Dieu pour lui