Messieurs les jurés

procureur pour son apparente indifférence à l’enterrement de sa mère. I/ Théâtralité du discours du procureur qui emportera l’adhésion des jurés Narrateur en position d’accusé, c’est lui qui entend et rapporte le discours, évoque ses propres sensations « je n’ai senti que la chaleur du soleil », discours du procureur rapporté au style direct « Messieurs les jurés » => mélange entre style indirect/meursault et direct/procureur. Distance du personnage vis-à-vis de son « adversaire » => discours direct

SGANARELLE.- Enseignez-nous un peu le chemin qui mène à la ville. LE PAUVRE.- Vous n'avez qu'à suivre cette route, Messieurs, et détourner à main droite quand vous serez au bout de la forêt. Mais je vous donne avis que vous devez vous tenir sur vos gardes, et que depuis quelque temps il y a des voleurs ici autour. DOM JUAN.- Je te suis bien obligé, mon ami, et je te rends grâce de tout mon cœur. LE PAUVRE.- Si vous vouliez, Monsieur, me secourir de quelque aumône. DOM JUAN.- Ah, ah, ton avis

réactions à ce discours, offusquées chez le juge, émues chez les femmes suggère que le discours du jeune homme provoque de vives réactions: il est le centre de la parole et a quelque chose d’héroïque. - Discours très organisé: a. D’une adresse « Messieurs les jurés » b. D’une introduction: la raison qui « me fait prendre la parole » c. D’un exposé de son propre cas : « Mon crime est atroce » d. D’une thèse plus générale: « Décourager à jamais cette classe de jeune gens » e. D’une conclusion: « Voilà

pêcheur caché par les roseaux et qui a assisté de loin à toute la scène, Thérèse et Laurent ont pu être arrêté et jugé. La sanction doit être à la mesure de l’action ignoble commise sur une personne malade et faible et je vous demande Messieurs et Mesdames les jurés de les condamner à passer le reste de leur vie en prison sans espoir de sortie.

lignes la plaidoirie de l’avocat de Claude Gueux. Après avoir rappeler le passé de votre client, ses épreuves, son attitude, vous développerez trois arguments pour obtenir la clémence du jury. Votre texte commencera par :" Monsieur le Président, messieurs les jurés,..."

pour accentuer la déshumanisation de l'acte. Écriture d'invention : Thérèse vêtue de noir, était assise sur un vieux banc usé dont le vernis s'écaillait. Elle sentit une main sur son épaule, c'était son tour, elle devait affronter le juge et les jurés. Elle n'avait même pas entendu qu'on parlait d'elle, ni même le réquisitoire de l'avocat général. Elle était ailleurs, elle était encore sur cette barque, et entendait les gémissements de Camille. Quand bien même elle ne l'avait jamais aimé, lui l'avait

Monsieur le Président, mesdames et messieurs les jurés, je vous prierais de bien vouloir attentivement m'écouter quelques instants car je souhaiterais dénoncer l'abominable injustice qui a lieu icimême : dans ce tribunal. Je préciserais d'abord que mon discours n'a pour intention que de porter un éclairage sur la vérité tout en dénonçant la manipulation effectuée par le procureur ici présent. Sivous me le permettez, j’aimerais commencer par traiter des circonstances atténuantes dont monsieur Meursault

Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres du jury, j'ai l'honneur de me présenter devant vous pour la défense de mon client Monsieur Ricouart. En premier,lieux j'aimerais évoquer le procé injuste dont il a été victime. Il est vrai que cet homme a tuer quelqu'un,il est vrai qu'il a agit avec préméditation,mais il est vrai aussi qu'il a été condamné a tort. Permettez moi de vous rappelez certain faits, en octobre 1947 mon client Jean Ricouart fut appeler a répondre de c'est faits

DOM JUAN : acte 3 scène 2 : La scène du pauvre. Personnages : Sganarelle, le pauvre, dom Juan. Sg. Enseignez-nous un peu le chemin qui mène à la ville. Le P. Vous n’avez qu’à suivre cette route, messieurs, et détourner à main droite quand vous serez au bout de la forêt. Mais je vous gardes, et que,depuis quelques temps, il y a des voleurs ici autour. DJ .Je te suis bien obligé, mon ami, et je te rends grâce de tout mon cœur. Le P. si vous vouliez, Monsieur, me secourir de quelque

Monsieur le Président et Messieurs les jurés, je me présente, Je suis l’avocat de Monsieur Claude Gueux, qui est assis à ma droite. J’espère que vous le voyez bien ; alors maintenant une simplequestion à laquelle je vous demande de répondre sans réfléchir : « Lorsque vous l’avez vu pour la première fois, qu’avez-vous pensé de cet homme ? » Je suppose que vous vous êtes d’abord dis qu’unhomme de cette apparence ne pouvait qu’être réduit à voler. Son front haut, déjà ridé, quelques cheveux, le