Mercerie

Le Rapport de Brodeck.Philippe ClaudelTEMPSDébut de l’automne / la guerre avait cessé depuis 1 an / 3 mois presque jour pour jour après que l’Anderer était arrivé chez nous p23PERSONNAGESBrodeck : a fait des études (petites études et même pas fini), s’est écrire. Possède une machine à écrire (très vieille) qu’il manque des touches mais pas assez de sous pour réparer. Il aurait pu se taire … Menacé d’écrire (poings fermés et main dans les manches qui serrées leur couteau). P14

aurait été montrée jusque dans des salons bourgeois. Trace de cette empreinte qu'elle a faite dans les esprits, des chansons ont été composée sur elle, ainsi que la Venus Hottentote, un vaudeville écrit par Théaulon de Lambert, Dartois et Brasier. Une mercerie de luxe aurait également porté son nom. Ce corps étrange qui tant fascinait les publics et qui était montré comme un objet de divertissement a aussi marqué d’autres sphères de la société de son temps : Autre que devenir un objet de spectacle, elle

tu ne sais pas l'histoire de Morin, et tu es de La Rochelle ? J'avouai que je ne savais pas l'histoire de Morin. Alors Labarbe se frotta les mains et commença son récit. - Tu as connu Morin, n'est-ce pas, et tu te rappelles son grand magasin de mercerie sur le quai de La Rochelle ? - Oui, parfaitement. - Eh bien, sache qu'en 1862 ou 63 Morin alla passer quinze jours à Paris, pour son plaisir, ou ses plaisirs, mais sous prétexte de renouveler ses approvisionnements. Tu sais ce que sont, pour un

Rougon-Macquart. Présentation du livre. Thérèse a été élevée par sa tante dans le but d'épouser son cousin, un homme au tempérament maladif. Bientôt, elle ne supporte plus cette vie cloîtrée, ni ce sinistre passage du Pont-Neuf où Mme Raquin installe sa mercerie. Toute sa sensualité refoulée s'éveille au contact de Laurent, un peintre raté dont elle devient la maîtresse. Les amants décident de noyer le mari. L'âpreté, la sexualité, le crime. Zola est déjà Zola dans ce mélange puissant de roman noir et de

l’exposition à la catastrophe finale : le double suicide des amants. a) L’exposition * Emile Zola nous fait d’abord découvrir le lieu de l’action, en partant d’un plan large, le passage du Pont-Neuf, pour en venir à la description de la mercerie. Il décrit l’environnement sombre et oppressant de Thérèse, d’abord simplement désignée comme « la jeune femme » (chapitre I, page 20). Le lecteur sait qu’elle s’appelle Thérèse Raquin uniquement parce que son nom est inscrit sur les vitres de la

affectionne tout particulièrement le luxe et le savoir-faire à la française. B) Création des «  Galeries Lafayette  » Les débuts à aujourd’hui Créées par Alfonse Kahn et Théophile Bader en 1895, les Galeries Lafayette furent au départ, une mercerie connue sous le nom de « Aux Galeries Lafayette ». Ils y créent leurs premiers ateliers de confection de mode et commercialisent les produits fabriqués. En 1896 Il achète la totalité de l’immeuble du 1, rue La Fayette, 4 ans plus tard naît la société

De nombreuses marques y sont présentes quelque soit le domaine, on y trouve du livre comme du jouet en passant par le jeu vidéo. Le magasin est organisé par secteur d’activité (zone littéraire, zone jeu vidéo, zone musique, zone papeterie, zone mercerie, zone art et loisir créatif adulte et la zone jouet et loisir créatif et éducatif enfant) L'approvisionnement: cultura fonctionne a l’aide d’une centrale d’achat, les livraisons s’effectuent du lundi au vendredi par différents transporteurs

parapluies et des articles de mercerie - c’est la naissance de la boutique « Au Bon Marché », installée à l’angle de la rue de Sèvres et la rue du Bac dans le 7ème arrondissement de Paris. En 1845, les frères emploient un certain Aristide Boucicaut, qui était un vendeur au magasin de nouveautés, le Petit Saint-Thomas, situe rue du Bac, et vers l’année 1852 une association entre les trois hommes commence. Boucicaut se montre comme un génie des affaires, sous son impulsion la mercerie se métamorphose en seulement

260-262) Rois sans royaumes Après qu'est parut le livre de Péchon de Ruby, il a été interdit de se qualifier « roi des merciers ». Il en existait pourtant un à la tête de la corporation des merciers, mais on l'appelait désormais « Grand maître de la mercerie ». Cette confrérie des merciers était en réalité une institution de solidarité, pieuse et charitable. L'auteur compare enfin l'expression « Roi des merciers » à celle de « roi des pélerins » au sein de la confrérie de Saint-Jacques, titre ne conférant

expérience, qui a déclaré vouloir s’implanter dans la ville. Il prend rapidement contact avec la maison Badin-Defforey pour son approvisionnement en produits alimentaires et ouvre, dès janvier 1960 une épicerie dans le petit sous-sol de son magasin de mercerie rue Vaugelas. Son franc succès provoque le besoin de grandir, concrétisé par l’ouverture d’un supermarché, en juin 1960, au carrefour de l’Avenue Parmelan et de l’avenue André Theuriet, et par une association avec les familles Badin-Defforey pour