Mercerie

parapharmacie, hygiène femme, P.WC/mouchoirs, collant, accessoires. Épicerie, boissons, frais, divers. Lessives, assouplissants, soins du linge,vaisselles, produits ménagers, accessoires ménage,droguerie,énergie, papeterie, accessoires cuisines, mercerie. Chiens, chat, autres animaux,accessoires. Produits divers. Produits Frais Produits surgelés Petits déjeuners Épicerie sucrée Épicerie salée Sans alcools Vins alcools Bébé Soins/hygiène Cacher Entretiens Animaux Bio Marques

NSP bricolage jardinage 88 Annikids Annikids.com 1 100 925 19% 61 000 42 9 NSP loisirs culture 89 Familytrip SAS Familytrip.fr 1 020 800 28% NC 540 0 NSP voyage 90 Ma petite mercerie Mapetitemercerie.com 1 000 400 150% 32 000 52 10 NSP habillement 91 SAS Tais Scottage.fr 797 707 13% NC 75 3 NSP habillement 92 Krea Krea.fr 573 500 15% NC 282

a vicoli angusti e sporchi, a case buie con cortili sudici, a bettole e locande rumorose. Ebbe un’infanzia solitaria, difficili rapporti con la madre e le tre sorelle e soprattutto con il padre, presenza massiccia schiacciante di commerciante in mercerie e chincaglierie, fattosi da se, estroverso e collerico, tutto dedito agli affari e in netto contrasto con l’introversione e la fragilità del figlio. Il giovane frequentò il liceo ginnasio e nel 1901 si iscrisse alla facoltà di legge dell’università

DLC. 1929 : G. Guichard prend sa retraite et ses enfants sont nommés gérants. A cette date, Casino exploite 20 usines, 9 entrepôts, 998 succursales et 505 concessions. Mise en place des cours de formation professionnelle en épicerie, œnologie, mercerie et bonneterie. 1931 : Création du « Bonhomme Casino », emblème stylisé du gérant. 1934 : Création de la Fondation de M. et Mme G. Guichard en faveur des familles nombreuses. 1939 : Casino exploite 1670 succursales et 839 concessions. 1940 : Décès

complémentaires I. Analyse S.W.O.T des Galeries Lafayette Les Galeries Lafayette est une grande enseigne familiale française ayant apparu à la fin de XIXème siècle. A ses débuts dans la vie parisienne, les Galeries Lafayette n’étaient qu’une mercerie. Devant le succès grandissant de cette dernière, le tout premier grand magasin « Galeries Lafayette » ouvrit en 1912 en plein cœur de la capitale, boulevard Hausmann. Au fil du temps, l’enseigne a su diversifier ses biens de consommation, passant

réunion dans la vieille forteresse et entend un discours où l’on calomnie les Juifs. Il quitte la salle tandis que N reste. Chapitre 8 – La balle (1933) Le N lance sa balle en caoutchouc à Frédéric et il manque la balle qui brise la vitrine de la mercerie. On accuse donc Frédéric et il est injurié parce qu’il est Juif. M. Schneider arrive et dit qu’il va rembourser les dégâts. Chapitre 9 – Dans l’escalier (1933) M. Resch arrive devant M. Schneider sans le saluer, demande au père du N d’être le

Il y a quelques années, en face de cette marchande, se trouvait une boutique dont les boiseries d'un vert bouteille suaient l'humidité par toutes leurs fentes. L'enseigne, faite d'une planche étroite et longue, portait, en lettres noires, le mot Mercerie, et sur une des vitres de la porte était écrit un nom de femme : Thérèse Raquin, en caractères rouges. A droite et à gauche s'enfonçaient des vitrines profondes, tapissées de papier bleu. Pendant le jour, le regard ne pouvait distinguer que l'étalage

l’ambroisie : gastronomique * Quartier où magasins ouvert le dimanche * Galeries tendances (idem 3ème arrondissement) * Rue des Francs Bourgeois (à cheval entre le 3ème et 4ème arrondissement) avec d’anciennes enseignes (boulangerie, mercerie) qui ont fait places à des boutiques à la mode comme l’Eclaireur, Jo Malone, Les Petites, Zadig et Voltaire… * Hôtels Particuliers comme Hôtel de Sully (début 17ème)  maison bourgeoise de 3/4 étages * Les Archives Nationales (documents produits

bâtiment du Printemps de la Mode. Inauguration des nouveaux magasins du Printemps par Binet, en 1910 © Archives de Paris Les Galeries Lafayette Deux cousins, Théophile Bader et Alphonse Kahn, créent en 1893 un magasin de nouveautés dans une petite mercerie située à l’angle de la rue la Fayette et de la rue de la Chaussée d’Antin. De l’emplacement et de la configuration du magasin naissent le nom de Galeries Lafayette. En 1896, la société achète la totalité de l’immeuble du 1, rue de La Fayette et,

suis, j’y reste ! ». MOURET souhaite étendre son commerce à une plus large gamme de produits « En bas, il y avait les cravates, la ganterie, la soie ; la galerie Montsigny était occupée par le blanc, et la rouennerie, la galerie Michodière par la mercerie, la bonneterie, la draperie et les lainages. Puis au premier se trouvaient les confections, la lingerie, les châles, les dentelles, d'autres rayons nouveaux, tandis qu'on avait relégué au second étage la literie, les tapis, les étoffes d'ameublement