Mercerie

histoire: -Vernon, lieu d’enfance de Camille, Thérèse et Laurent. Il y a que le chapitre 2 qui se déroule à cet endroit. -Paris, lieu de toutes les actions à part le meurtre de Camille. 29 chapitres se déroulent au total dans cette ville (la mercerie, le passage du Pont Neuf, appartement des Raquin, chambre de Laurent, atelier de Laurent et son ami, le marchand de vin et la morgue.) -Saint Ouen, lieu du meurtre de Camille, seul le chapitre 11 en parle. Mais il y a un lien à tout ces lieux:

Camille. Lorsque Thérèse a 21 ans, Madame Raquin marie les deux cousins. Camille souhaite aller vivre à Paris et travailler dans une administration. Madame Raquin trouve une boutique et un appartement au passage du Pont Neuf. Les femmes y ouvrent une mercerie tandis que Camille trouve un emploi dans l'administration du chemin de fer d'Orléans. Pour Thérèse commencent trois années de vie monotone, ponctuées tous les jeudis soir par la visite des mêmes invités : le vieux Michaud, commissaire de police retraité

Paris « Huit jours après son mariage, Camille déclara nettement à sa mère qu'il entendait quitte Vernon et aller vivre à Paris. » (chapitre III) Et Mme Raquin en bonne mère lui céda ce caprice « J'irai à Paris demain; je chercherai un petit fonds de mercerie, et nous nous remettrons, Thérèse et moi, à vendre du fil et des aiguilles. » (chapitre III). De plus Mme Raquin lui versa toute ces économies, afin que le ménage de Camille et Thérèse ne manque de rien quand elle ne serai plus la. Plus tard dans

jusque là. - les frissons qu’elle ressent face à Laurent. Cependant Laurent a reconnu depuis le début de la rencontre la femme de Camille et se souvient de Thérèse étant petite. A la fin de la soirée, Laurent trouve un prétexte pour revenir à la mercerie qui pour lui est un endroit- bien confortable et qui ne coûte rien : il décide de faire le portrait de Camille ayant quelques expériences en tant que peintre. Cette décision amène aux prochaines rencontres. 1.2. Les rencontres suivantes (à partir

commerce a fait naître des initiatives révolutionnaires pour l’époque sur les grands boulevards. Enfin des magasins de nouveautés proposent pour la première fois sous la même enseigne tout le nécessaire à la toilette féminine : draperie, soierie, mercerie, bonneterie, dentelles, fleurs… La deuxième moitié du 19ème siècle vit à la fois l'arrivée du fer et de principes commerciaux nouveaux : vendre beaucoup et à bas prix, permettre l'entrée libre des clients, afficher des prix fixes (alors qu'ils

Camille et Thérèse se marient sans aucune opposition de la part de l’épouse. Camille, lassé par la campagne, décide de monter à Paris avec sa femme afin de pouvoir travailler au sein d’une administration renommée. Thérèse et sa tante ouvrent une petite mercerie dans les locaux qui se situent au passage du Pont Neuf. Ces événements sont suivis de trois longues années monotones et répétitives pour la jeune mariée. Seule la visite d’invités le jeudi soir rythme sa vie. Ces invités sont: le vieux Michaud qui

produits on ne peut distinguer la qualité de ces derniers. Boucicaut apprend les rudiments du métier et décide de s’associer en 1852 avec Paul Videau, propriétaire du Bon marché. Ce magasin de « nouveauté » propose des draps du tissu des articles de mercerie, des matelas et des parapluies. Pq peut-on dire alors qu’Aristide Boucicaut est un génie du marketing ? Cet homme à enfaite poser les fondements de la grande distribution, c’est-à-dire le libre accès du magasin aux consommateurs, sans obligations

Huit jours après le mariage, il eut assez de la province, et voulut aller vivre à Paris pour travailler dans une grande administration. Madame Raquin trouva, au passage du Pont-Neuf, une sinistre galerie souterraine sombre et humide, une boutique de mercerie et un appartement où ils s'installèrent tous les trois, Thérèse ayant l’impression qu’on l’y enterrait. Camille trouva vite un travail dans l'administration du chemin de fer d'Orléans. Pour Thérèse, commence une vie monotone rythmée tous les jeudis

vers le guichet pour prendre un billet. Son coeur bat à tout rompre. Dans le train pour Saint-Étienne, il l’imagine. Elle est belle, grande, d'âge mûr, toute vêtue de noir... Ou alors, elle est rousse, ou blonde aux yeux bleus, et elle tient une mercerie... À Saint-Étienne, il prend un autre train pour le village de sa marraine. La gare où il descend est déserte. Il déjeune dans un café-restaurant et demande où est la rue des Coquelicots. On lui indique le quartier ouvrier. En chemin, il hésite

œuvre 7.2 Liens externes Biographie[modifier le code] Formation et voyages en Europe[modifier le code] Edward Hopper naît à Nyack, ville de l'État de New York, au sein d’une famille modeste de commerçants qui vendent des articles de mercerie. Il reçoit une éducation baptiste1 et fréquente une école privée, puis le lycée de sa ville natale. Il s’installe ensuite à New York, où il se forme au métier d’illustrateur dans la New York School of Illustrating2. Il entre à la New York School