Mercerie

(thème principal) , l'amitié, l'amour, l'angoisse, le désir, l'empoisonnement, la faiblesse, la haine, le meurtre, la maladie, le mariage, la séduction, la vieillesse. Le roman se passe à Paris . Mais nous n'avons pas de lieux précis à part la mercerie des Raquin ce qui va nous plonger dans l’intériorité des personnages .Il n'y a pas de date précise non plus mais grâce au vocabulaire comme « logis »,  « petitesse de la province », « écus » on en déduit que la roman se passe vers 1800. L'essentiel

court,long? Pourquoi ? Distribution tres traditionnelle avec le magasin de details indépendants avec des depositaires specialisés dans la vente d'habillement dans la milieu sportswear marin. Ces magasins surtout localisés le long des cotes, merceries ( magasins de laines ) , cooperatives maritimes (ouvertes il y a 20 ans au tourisme ), proposition d'un vetement professionnel. Développement des loisirs, avec ce pull tres fonctionnel « utile » , magasin independants le long des côtes , mais aussi

trouve une multitude métiers. Ils se développent principalement en ville au cours du siècle, là ou se trouvent la demande, celle des élites. Ils sont sous le contrôle du prévôt des marchands. On a notamment les marchands de vins, ou encore les merceries représentatif des métiers du négoce de marchandises. Ces corps ne concernent pas seulement les marchands ou artisans mais également les communautés de clercs par exemple. En effet, dès le XIVème siècle, il y a la création des universités qui sont

peu plus chic que le reste de la ville. Le quartier du Clos-des-Parts qui est très varié est décrit. Au plus l’épicerie des parents d’Annie D. est décrit. Il n’y a pas beaucoup de place et presque tout la maison est usé pour l’épicerie-mercerie-café . Les parents travaillent beaucoup dans le café et utilisent les temps plus calmes à l’après-midi pour faire un petit repos ou travailler au jardin. Au milieu des travailleurs on ne parle pas du « beau français », on parle comme

GALERIES LAFAYETTE Les Galeries Lafayette, un groupe leader très intéressant, tant sur un plan de stratégie de communication et marketing que sur un plan de management et d’organisation interne. Les Galeries Lafayette étaient initialement une mercerie créée par Alfonse Kahn et Théophile Bader. Ils y créent leurs premiers ateliers de confection de mode et commercialisent les produits fabriqués. De nos jours, après une évolution fulgurante et une position de leader sur le marché français (voire

remarque que la plupart des passages clefs se situent le jeudi comme la rencontre entre Laurent et Camille, "les soirées du jeudi soir" puis le suicide de Thérèse et Laurent. Zola a également insisté sur les décors puisqu'il décrit avec précision de la mercerie, la chambre de Laurent, le passage du Pont Neuf, les quais de la Seine et les différentes rues. 3. Le statut du narrateur :  Le narrateur est externe à l'histoire et le point de vue est omniscient puisque l'on peut savoir les pensées de Mme Raquin

réalisé un chiffre d’affaires d’environ 20 000 000€. Les fournisseurs sont sélectionnés par le bureau d’achat (siège) à Clichy. Monoprix dispose de ses propres marques et travaille également avec des marques nationales telles que DIM, Pletex, La Mercerie, Eaux distillées, Harlequin, Hachette, etc. La gamme des produits et services vendus est large. Monoprix est un magasin libre-service qui propose une large gamme de produits alimentaires, des vêtements, des produits cosmétiques, du maquillage

géographique Le réseau Les Galeries Lafayette comportent 61 magasins en France dont 8 magasins en région PACA Le magasin reçoit ses directives de la plateforme à Paris ( PARIS Haussmann ) . dates clés ( voir annexe ) 1894 Création d'une mercerie Galeries Lafayette par Théophile BADER et Alphonse KAHN 1908 premier magasin sur le Boulevar Haussmann ouvre ses portes 1916 Ouverture des 1er magasins Galerie Lafayette en province (Nice , Nantes , Montpellier) 1991 Acquisition des

légère, faite pour un peuple de clientes. En bas, dans la galerie centrale, après les soldes de la porte, il y avait les cravates, la ganterie, la soie ; la galerie Monsigny était occupée par le blanc et la rouennerie, la galerie Michodière par la mercerie, la bonneterie, la draperie et les lainages. Puis, au premier, se trouvaient les confections, la lingerie, les châles, les dentelles, d'autres rayons nouveaux, tandis qu'on avait relégué au second étage la literie, les tapis, les étoffes d'ameublement

d’autres éléments sont présents tels que le style littéraire propre de l’écrivain. Celui d’Emile Zola avec par exemple, naturaliste, s’attache à peindre la réalité et la physiologie des personnes. Dans « Thérèse Raquin », il peint les paysages, la mercerie, la chambre de Laurent, le passage du Pont Neuf, les quais de la Seine, et les différentes rues. Il s’attache aux tempéraments des personnages. Zola a choisi de développer la confrontation entre des personnages de caractères différents. L'un de tempérament