Mercerie

Découverte • Hypothèse des étudiants Qu’est-ce que les Galeries Lafayette ? Pourquoi ce nom ? • Document 1 Historique En 1893, deux cousins, Théophile Bader et Alphonse Kahn, décident d'établir un magasin de nouveautés dans une petite mercerie située à l'angle de la rue La Fayette et de la rue de la Chaussée d'Antin. Si le pari est audacieux, l'emplacement est idéal : la proximité de l'Opéra et des Grands boulevards, la gare Saint-Lazare récemment achevée et les commerces avoisinants

Thérèse partage l‘enfance et l‘adolescence. Lorsque Thérèse a 21 ans, Madame Raquin marie les deux cousins. Camille souhaitant aller vivre à Paris, Madame Raquin trouve une boutique et un appartement au passage du Pont-Neuf. Les femmes y ouvrent une mercerie. Pour Thérèse commencent trois années de vie monotone, ponctuées tous les jeudis soir par la visite des mêmes invités. Un soir, Camille amène un nouvel invité, Laurent. L'étude de ce texte portera sur un passage du chapitre V. Au cours de cette

à coté du bureau de poste, du trésor public, des bureaux de la communauté de communes. Dans ce centre bourg, il y a également deux boulangeries, un bureau de tabac, un salon de coiffure, une auto-école, un salon de toilettage pour chiens, une mercerie... Tous les jeudi et samedi : marché avec des producteurs locaux : fruits et légumes, fromages de chèvres, poissonnier, huîtres ... DESCRIPTION DU LOCAL Le local a une superficie totale d'environ 200 m², toilettes et cuisine compris ;

par la campagne, décide de monter à la capitale avec sa femme. Il ambitionne de travailler au sein d’une administration renommée. Thérèse, devenue Madame Raquin, trouve une boutique ainsi qu’un appartement. Thérèse et sa tante ouvrent une petite mercerie. Ces événements sont suivis de trois longues années monotones et sombres pour la jeune mariée, Thérèse. Seule la visite d’invités le jeudi soir rythme sa vie. Ces invités sont les suivants : le vieux Michaud qui exerce la fonction de commissaire

 En 1893, deux cousins, Théophile Bader et Alphonse Kahn, décident d'établir un magasin de nouveautés dans une petite mercerie située à l'angle de la rue La Fayette et de la rue de la Chaussée d'Antin. Aujourd’hui il y a quatre branches majeures : Galeries Lafayette/ Nouvelles Galeries, BHV, Monoprix et Laser. Les Galeries Lafayette ont une vocation pour la mode et la nouveauté avec différents secteurs qui sont le prêt-à-porter féminin ainsi que masculin, l’accessoire, l’enfant, la vaisselle

naturaliste étude de « tempéraments » évoluant dans un « milieu » qui a sur eux une influence. Caractère scientifique de la démarche Situation de l’extrait : Thérèse qui jusque là restait muette et impassible derrière le comptoir de la mercerie tombe amoureuse de Laurent et lui cède à la première occasion. Ils se fixent alors leurs premiers rendez-vous et au cours de ces moments de volupté, Thérèse se livre dans un flot de paroles nouveau. Dans notre extrait elle tente d’expliquer ce qui

lumineux et très réalistes bien qu’elle ait été un petit peu longue. I. Biographie d’Edward HOPPER Edward Hopper, né le 22 juillet 1882 à Nyack dans l’État de New York au sein d’une famille modeste de commerçants qui vendaient des articles de mercerie. Il est mort le 15 mai 1967 à New York. Il reçoit une éducation baptiste[] et fréquente une école privée, puis le lycée de sa ville natale. Il s’installe ensuite à New York, où il se forme au métier d’illustrateur dans la New York School of Illustrating[]

Lorsque Thérèse a 21 ans, Madame Raquin marie les deux cousins. Camille souhaite aller vivre à Paris et travailler dans une administration. Madame Raquin trouve une boutique et un appartement au passage du Pont-Neuf. Les deux femmes y ouvrent une mercerie tandis que Camille trouve un emploi dans l'administration du chemin de fer d'Orléans. Pour Thérèse, commencent trois années de vie monotone, ponctuées tous les jeudis soir par la visite des mêmes invités : le vieux Michaud, commissaire de police

période de 6 ans, dans les années 1860-1870, principalement dans le Paris de cette époque. 3) A Le milieu social dans lequel évoluent les personnages est assez aisé et riche. Zola nous décrit très précisément les paysages ou les lieux comme la mercerie, la chambre de Laurent, le passage du Pont Neuf, les quais de la Seine, et les différentes rues du Paris de cette époque là. Il nous immerge dans cette période de la vie Parisienne de la fin du 19ème siècle. B Au cours de cette tragédie, chacun

sa mort, ne reste pas dans les mémoires. b. Les romanciers qui l'ont choisit. → Tout d'abord Émile Zola, auteur de cette citation qui maître incontesté du naturalisme qui se dit « observateur ». Dans Thérèse Raquin, l’héroïne travaille dans une mercerie et vie avec sa belle-mère et son mari très fragile physiquement. Elle décide avec son amant de tuer son mari pour vivre heureuse avec son amant. Mais tout deux vont être pris de remords après cet acte et vont finir pas mettre fin a leurs jours.