Memoire Protection Sociale

La décentralisation de l’action sociale L’irrésistible ascension du « département providence » Robert Lafore* Dans le cadre large de « l’Acte II de la décentralisation » ouvert au début 2003 par la révision constitutionnelle du 17 mars de cette même année, l’action sociale a fait l’objet d’une modification sensible de la répartition des compétences publiques. On attendait de longue date, compte tenu des difficultés générées par les partages stabilisés avec la réforme des années 19821983, un «

Titre 1 : Les principes généraux Chapitre 1 : Notion de protection sociale Section 1 : Le régime de base de la sécurité sociale -I- Présentation générale L a protection sociale, en France, comporte les régimes de base de la sécurité sociale, les régimes complémentaires de retraite et de prévoyance, l’assurance chômage (instituée par l’accord interprofessionnel du 31 décembre 1958 et il a été créé en marge de la sécurité sociale). L’assurance chômage est régie par le droit du travail en

Economie Générale Question 1 : Le modèle sociale français se décrit comme une certaine forme d’intégration républicaine et de promotion sociale. L’Etat est présent pour soutenir l’égalité en matière d’assurance chômage, de sécurité sociale qui sont deux composantes géré à la fois par le patronat et les syndicaux. L’aspect social prend toute son importance dans le modèle sociale français. Le système français est très attaché au système de protection sociale, aux institutions éducatives, de formations

consiste à utiliser le budget de l’Etat pour atteindre certains objectifs, en faisant varier les dépenses et les recettes. 917, 7 milliards d’euros (soit 53,8% du PIB) ont été consacrés en 2005 aux dépenses publiques dont 387,7 milliards à la protection sociale : retraite, chômage, famille, exclusion… La politique de l’Etat dans le domaine de la création monétaire et de la politique budgétaire, fait l’objet de nombreux débats entre économistes, notamment à l’approche des élections présidentielles

la banque « Crédit Immobilier et Hôtelier » (CIH), suite au choix du tourisme comme secteur prioritaire. Plus tard en créant le RCAR (Régime Collectif D’Allocation de Retraites) la CDG a participé à la politique d’élargissement de la couverture sociale des salariées initiée par l’Etat dans le cadre de la nationalisation des secteurs de l’industrie et des services en 1973. Durant la période d’austérité imposée par le FMI par le biais du Plan d’Ajustement Structurel la CDG opte pour une politique

redistribution est la redistribution de revenus (revenus de transfert) vers une partie de /ou toute la population. Il existe deux redistributions : la redistribution horizontale qui permet de maintenir les ressources de personnes touchées par des risques sociaux qui font baisser le revenu (la vieillesse, le chômage, la maladie et avoir des enfants). Cette redistribution obéit à une logique d'assurances c'est à dire qu'il faut avoir cotisé pour bénéficier de cette redistribution. En outre, il y a la redistribution

L’Etat oriente l’économie par la planification incitative, décide de stratégies d’ensembles en soutenant l’activité et en encourageant la recherche, nationalise les secteurs de base comme l’énergie, les transports, les banques et propose des avantages sociaux : c’est l’époque de l’Etat-providence. Les entreprises se concentrent en conglomérats, en firmes multinationales qui ignorent les frontières et fond naitre la division mondiale du travail. Le plan Marshall et la construction de l’Europe créent de

graves, entre autres : . des troubles mentaux et psychologiques ( dépressions, insomnies, migraines, etc.) ; . des troubles physiques et vieillissement prématuré ; . des toxicomanies ( tabagismes, alcoolisme, drogues, etc.). B . Les enjeux sociaux  Le chômage a des répercussions importantes sur l’entourage et la famille du chômeur. C’est souvent le déclencheur de problèmes qui peuvent prendre un tour grave, non seulement pour les familles de chômeur ( rupture, violences, démission parentale

L’Etat providence désigne l’ensemble des interventions de l’État dans le domaine économique et social visant à garantir un niveau minimum de bien-être à l’ensemble de la population, en particulier à travers un système étendu de protection sociale. En 1945, initié par le juriste Pierre Laroque, un système de sécurité sociale a été créé. C’est un système généralisé, centralisé et global fondé sur les cotisations des travailleurs et du patronat. Il protège les travailleurs des interruptions d’activité

quotidiennement confrontés les travailleurs en Afrique, où, dans de nombreux pays, moins de 10 pour cent de la population active bénéficient d'une couverture sociale, y compris une assurance santé. La sécurité sociale – généralement définie comme un système de protection santé-retraite-chômage, en retour de contributions, et d'avantages sociaux, financés par des recettes fiscales – a, de tout temps, été considérée par les Nations Unies comme un droit fondamental, dont ne jouit que relativement peu