Mellin de Saint-Gelais

et reste à moitié sourd, il ne pourra donc pas faire une carrière militaire et devra s’engager dans les ordres. Il sera donc tonsuré, ce qui lui permettra de se consacrer à l’écriture Il fréquente le collège Coqueret (fondé au XV° sur la Montagne Sainte-Geneviève). Il aura comme professeur Jean Dorat, un spécialiste de Grecque qui fera découvrir à ses élèves Epicure (Philosophe grecque dont les principes reposent sur le retour à la nature, le gout de la douceur de vivre, sur l’ataraxie, sur le calme)

Possonnière àCouture-sur-Loir enVendômois,  Royaume de France | Décès | 28 décembre 1585 Prieuré de Saint-Cosme,Touraine,  Royaume de France | Langue d'écriture | Français | Mouvement | La Pléiade, Renaissance | modifier Pierre de Ronsard (né en septembre 15241 au Château de la Possonnière, près du village de Couture-sur-Loir en Vendômois et mort le 28 décembre 1585 auPrieuré de Saint-Cosme en Touraine2), est un des poètes français les plus importants du xvie siècle. « Prince des poètes

| |Pierre de Ronsard |[pic] | |Couture-sur-Loir, 11 Septembre 1524 - Saint-Côme-en l'Isle, 27 |Etienne Jodelle | |Décembre 1585 |Paris 1532 - Paris 1573 | |Poète

pour le vieil homme, qu’il appelle « mon père » et qu’il installe au Clos Lucé, à quelques centaines de mètres du château royal d’Amboise. Vinci apporte dans ses malles ses œuvres les plus célèbres tels La Joconde, La Vierge, l'Enfant Jésus et sainte Anne, Saint Jean Baptiste. Le roi lui confie diverses missions comme l’organisation des fêtes de la Cour à Amboise, la création de costumes ainsi que l’étude de divers projets. Vinci reste en France de 1516 jusqu’à sa mort en 1519 dans les bras du roi selon

vrant, les cheveux parviennent à engendrer un univers entier. Conclusion - - - (Le "blason" est un court poème célébrant une partie du corps féminin ("Blason du beau tétin" de Marot, "Le Front" de Maurice Scève", "Blason de l'oeil" de Mellin de Saint-Gelais, "Le Blason" de Georges Brassens, etc... ). Dans le même esprit, certains poèmes évoquent le corps entier en détaillant successivement ses différentes parties ("Marie, vous avez la joue aussi vermeille..." de Ronsard, "L'Union libre" de Breton)

réserves en faveur du poète, pour être équitable, mais dire en quoi la méthode est mauvaise, détestable, pour être vrai, voilà, si je ne me trompe, la ligne à suivre. Après Marot, un vrai poète ne pouvait songer à s'arrêter; car le bon goût de Mellin de Saint-Gelais n'est que timidité ingénieuse et pauvreté correcte. Les merveilles des arts, les modèles de Rome et d'Athènes retrouvés, la robuste jeunesse du siècle, l'humiliante supériorité d'une langue morte qui reprenait l'empire avec la vie, tout criait

pourquoi mon anthologie est si longue car le choix n’a jamais été mon fort ; et la poésie dans sa diversité a rendu mon choix encore plus difficile. Sommaire POESIE ORPHIQUE, POESIE LYRIQUE - « Il n’est point tant de barques à Venise… » Mellin de Saint Gelais - « sur le printemps de ma jeunesse folle » Clément Marot - « pleurez avec moi tendres fleurs » Agrippa d’Aubigné - « l’amour de moi s’y est enclose » Anonyme - « le lac » Alphonse de Lamartine - « elle avait pris ce pli dans son âge

fait ici la satire des exégèses savantes qui consistaient à tirer a posteriori des prophéties des textes bibliques. Comme son nom l’indique, il est las d’aller, de marcher depuis des mois et des mois sur les routes. Ces pèlerins sont allés invoquer saint Sébastien, qui est spécialiste de la peste. Grandgousier a horreur des prédicateurs qui colportent des stupidités sur la religion et qu'il appelle des cafards. Ce sont des hypocrites, qui font semblant d'être pieux mais qui agissent en fait comme des

intitulé Rimes se compose principalement de sonnets à la gloire de la femme aimée, Laure. Il est introduit en France dans la poésie de cour sous François Ier et Henri II, c’est-à-dire dans les années 1530-1540, avec des poètes comme Marot ou Mellin de Saint-Gelais. En 1548, Vasquin Philieul traduisit en français le Canzoniere et, en 1549-1550, du Bellay livra le premier recueil de sonnets français, l’Olive. Dans les années 1550, la forme se détache de la thématique amoureuse héritée de Pétrarque. En

soigneusement peint ; c’est les costumes des élégants de l’époque. Quant à la règle, elle tient tout entière dans ce précepte : « fays ce que vouldras ». Rabelais intercale ensuite, dans son livre, une « énigme prophétique », qu’il emprunte à Mellin de Saint-Gelais. Pantagruel, comme Gargantua, est précédé d’un dizain adressé par Maistre Hugues Salel, poète renommé, à l’auteur ; puis vient le Prologue, où Rabelais expose les merveilles que fit son œuvre dans la guérison des maladies. Le livre s’ouvre